Le mega projet d’implantation de centrale électrique solaire et éolienne dans le Sahara et en particulier au Maroc touche le fond. La direction de l’alliance industrielle annonce qu’elle renonce à exporter vers l’Europe l’électricité qu’elle prévoyait d’y produire.
Le Maroc a choisi pour la centrale solaire de Ouarzazate la technologie solaire la plus coûteuse, s'alarme un spécialiste des énergies renouvelables. Entre avantages comparés, coût et lobbying, les enjeux du choix technologique fait par le Maroc est plus complexe qu'il n'y parait.
L'Agence marocaine pour l'énergie solaire devrait publié dans les tous prochains jours un nouvel appel d'offre. En jeu: la construction de la deuxième phase de la méga centrale solaire de Ouarzazate. L'agence veut intégrer 30% d'industriels marocains à sa construction.
Une journée vient encore de s'écouler sans que le nom du consortium de sociétés adjudicataires de l'appel d'offre lancé par le MASEN pour construire la première partie de la centrale solaire de Ouarzazate n'ait été rendu public. Le Maroc attend depuis plusieurs mois cette annonce qui conditionne toute la mise en oeuvre du projet.
La Banque mondiale participe au financement de la première phase du projet de centrale solaire à Ouarzazate. Elle a annoncé hier avoir approuvé un prêt de 297 millions d’euros sur un total de 2,1 à 2,3 milliards d’euros nécessaires pour la réalisation entière de la centrale.