Un responsable d'une grande ONG internationale au Maroc est impliqué dans une sombre affaire de trafic de migrants. Principale victime, la communauté camerounaise a saisi la justice marocaine.
A partir de fin 2014, les associations d’aide aux migrants ont soudain vu débarquer un grand nombre de jeunes mineurs guinéens au Maroc. Une étude rendue publique le 19 septembre dernier cherche à comprendre ce phénomène nouveau. Compte rendu.
L’action sociale de l’Eglise catholique au Maroc a signé le 21 mars 2016 une convention avec l’Entraide nationale marocaine. Caritas, comme le HCR avant elle, tente de passer le témoin d'une politique migratoire complète à l'Etat.
Depuis 4 mois, des associations soutiennent comme elles peuvent les migrants qui sont arrêtés par la police au nord et relâchés à Casablanca et Rabat pour les empêcher de passer illégalement en Espagne. Hier, la première d’entre elles, submergée par des centaines de demandes, a dû fermer son centre.
Les Marocains représentent la deuxième communauté d’immigrés établis légalement en Italie. C’est ce que vient de révéler un nouveau rapport, publié mardi par l’association catholique Caritas, analysant la situation de l’immigration dans la péninsule, touchée actuellement par une des plus graves crises économiques de l’histoire.
L’organisation catholique Caritas a publié le mercredi 28 octobre, son rapport annuel sur l'immigration en Italie, a-t-on appris auprès des nombreux médias italiens. Selon cette étude, l’immigration dans ce pays a augmenté de 13,4% en 2008 malgré la crise économique, pour atteindre actuellement quelques 4,3 millions de personnes établis légalement, soit 7,2% de la population totale. Environ 10,4% des ces étrangers sont des Marocains.