Le pédophile espagnol Daniel Galvàn a rejeté les accusations à son encontre au tribunal de Torrevieja en Espagne samedi. Son avocat, Manuel Maza, parle d’une histoire «inventée» et estime que les déclarations des parents de la jeune fille qui aurait été abusée sont «contradictoires». Pire, les accusations au Maroc seraient sur le point d’être balayées. Le département de la
Plus les jours se succèdent, plus on en sait sur Daniel Galvàn. Le pédophile espagnol gracié par «erreur» par le Maroc doit également répondre devant un tribunal espagnol, vendredi prochain, pour d’autres abus sexuels sur mineure. Aujourd’hui, c’est le site Laverdad qui livre de nouvelles révélations sur celui qui serait né Salaheddine Gadbhan Binia un 1er juillet 1950 en Irak. A en croire la
Une jolie publicité faite pour notre cher royaume enchanté. Il faut dire que j’ai sous-estimé l’esprit créatif de ces ombres qui nous gouvernent de là-haut. Nous sommes, grâce aux saints et aux esprits de l’abîme, le seul pays au monde où on gracie les délinquants sexuels et les pédophiles. Par qui ? Bah vous l’avez bien deviné….
Le roi Juan Carlos a demandé, lors de sa visite au Maroc mi-juillet, du roi Mohammed VI de gracier des détenus espagnols. Mardi, une quarantaine d’entre-eux ont été libérés. Parmi eux un violeur de onze enfants marocains ?
Intoxication alimentaire, boycott des repas, manifestations des étudiants réclamant l’ouverture d’une enquête et interventions des forces de l’ordre, c’est quasiment le quotidien à l’université de Kénitra, et ce, depuis fin mars.
Sur la route qui le mène à Casablanca, nous avons pu joindre par téléphone Khalid Gueddar. Quelques heures auparavant, le caricaturiste venait juste d’être libéré. Son procès s’ouvrira le 13 juin, non pas pour avoir publié une caricature d’un membre de la famille royale mais pour «état d’ébriété sur la voie publique» et «insultes aux policiers».
Une dame vient de s’immoler par le feu à Kénitra. A l’origine de ce drame, une histoire de favoritisme administratif qui a mis son fils derrière les barreaux.