Désormais, s’immoler est passible de peines d’emprisonnement. Une tendance au durcissement commence à se dégager avec les auteurs de ce genre de tentative. L’exemple nous vient de Tanger où son tribunal de première instance a condamné, mercredi, trois diplômés sans emploi, H.T à trois mois ferme, Z.O et A.H à deux mois avec sursis. Cette affaire remonte au 20 février dernier, lorsque le principal mis en cause dans ce dossier, a tenté, au cours d’un sit-in de protestation, de s’immoler devant le siège de l’Agence nationale de la promotion de l’emploi des compétences (ANAPEC).