Le 3 août 2011, une jeune femme se rend chez la Guardia Civil en accusant son patron d’abus sexuels. Il avait d’après elle, réussit à la maintenir de force, après qu’elle a refusé un acte sexuel, et à déchiré sa chemise pour lui toucher les seins, malgré que cela se soit passé en plein jour à 8h30 du matin, moment où les bureaux sont pleins.
Par chance pour l’accusé, il avait enregistré des discussions entre lui et la présumée victime. Après avoir appris qu’il allait la renvoyer, elle est partie le voir dans son bureau en criant, elle avait tenté de harceler son patron, face à face mais aussi au téléphone. Par la suite elle aurait tenté de lui voler son téléphone pour effacer l’enregistrement.
Trois ans après, la jeune femme est appelée devant la justice pour expliquer son harcèlement et ses mensonges racontés aux gardes civils. Elle devrait se rendre devant le juge le 14 octobre prochain dès 10h20 du matin. Elle sera jugée pour dénonciation de fausses accusations. Le parquet a requis contre elle une amende étalée sur 17 mois à hauteur de 10 euros par jour, soit près de 5 000 euros en tout.