Les voyages maritimes ont repris et les agences de voyages sont déjà surbookées. Seulement, l’absence de la Comarit sur les lignes reliant le Maroc et l’Europe se fera sentir. La Compagnie marocaine était l’une des rares à appliquer le système des prix fixes selon la période. Par conséquent, les passagers vont devoir s’y prendre tôt au risque de débourser de grosses sommes.
Bloqués dans le port d’Algéciras depuis cinq mois, les marins de la Comarit ont décidé faire recours à la justice. Si plusieurs d’entre eux étaient au bord des larmes lors de leur première action médiatique [voir notre article], les marins de Comarit à Algésiras prennent désormais leur courage à deux mains pour affronter leur employeur. Au milieu de tous leurs déboires, ils ont
Les autorités marocaines ont finalement réagi et ont répondu à la demande des marins. Les hommes de mer marocains ont reçu leurs bons de débarquement. Mais sans moyens financiers, ils ont le moral complètement à plat, surtout après le drame qu'ils ont failli vivre quelques jours plutôt et qui est passé inaperçu dans les médias.
Grandi Navi Veloci (GNV) a bel et bien commencé ses navettes entre la France et le Maroc ce lundi matin. Les navires marocains n’ont cependant pas encore été déplacés pour céder la place à ceux de la compagnie italienne.
C’est bien connu. Les clients de la Comarit censés voyager en janvier dernier à bord du Biladi, du Marrakech et du Bni Nsar, sous saisie conservatoire dans le port de Sète, n’ont jamais été indemnisés. L’Association des usagers à Sète fait actuellement des pieds et des mains pour que cette affaire soit résolue au point de contacter…GNV.
Les Marins de la Comarit montent au créneau. Malgré le compromis proposé par les autorités portuaires de Sète, les matelots marocains demandent une garantie de l’Etat pour leurs arriérés de salaires, condition sine qua non au déplacement de leurs navires pour faire place à ceux de l’armateur italien Grandi Navi Veloci (GNV). Parrallèlement, de nombreux soucis demeurent et pour le syndicat ITF, «le
Pour faire face à la hausse de l’activité prévue cet été, la RAM vient de mettre en place un dispositif logistique considérable : plusieurs Airbus, 747 et 767 ont été loués par la compagnie pour la période estivale. S’il doit permettre le transport des MRE et des touristes, attendus massivement cet été, ce dispositif révèle l’impératif de flexibilité que la