La «dream team» du duo Yazami / Boussouf est au cœur de nombreuses discussions passionnées. Chacun y va de son appréciation. C’est étrange, les rangs des mécontents ne cesse de gonfler et la température monte, monte,…
Enfin ! Après de longues semaines d'attente, la constitution de la liste des représentants de la communauté marocaine à l'étranger vient d'être dévoilée. A première vue, l'équilibre géographique a été respecté. On ne peut pas en dire de même au niveau intergénérationnel. Cependant, il faut souligner l'effort consenti par les promoteurs du casting (dont l'identité demeure un mystère) sur le respect de la parité.
«Démissionner ou on vous obligera à le faire dans les plus brefs délais», tel est le message clair et précis adressé par les membres du bureau politique au Premier secrétaire du parti USFP et à son adjoint Abdelouhed Radi, dimanche soir. Pris la tourmente, les deux ministres socialistes du gouvernement El Fassi 1 (car un remaniement est prévisible) ont pris la poudre d’escampette en déposant les armes, lundi, aux pieds des protagonistes de cette «affaire».
Le Premier secrétaire Mohamed El Yazghi et le secrétaire général adjoint, Abdelouhed Radi sont sous la pression des militants socialistes. En effet, une nouvelle fronde ce dimanche, a ciblé le duo Yazghi-Radi, responsables selon la base de la situation du parti et de son positionnement sur l'échiquier politique. La question aujourd'hui qui reste en suspend est leur possible démission.
Que penser du gouvernement aux affaires ? Peu de choses. Si ce n’est qu’il a réussi à perdre de sa pseudo crédibilité en un temps record. En effet, l'opinion publique, qui avait déjà envoyé un message clair à l’Etat le 7 septembre dernier (en boudant les urnes), se montre totalement indifférente aux discours de l’exécutif en place. L'équipe gouvernementale ne s'en souci pas, comme si tout le monde vivait, cohabitait, dans la plus grande…indifférence.
Au lendemain du discours du roi Mohammed VI, le 6 novembre dernier, dans le cadre du 32ème anniversaire de la marche verte (et en pleine effervescence autour de la visite du roi Juan Carlos à Sebta et Melillia), une frange de la population marocaine s’est fortement mobilisée dans la perspective de la création du Conseil Supérieur des Marocains du monde, prévu pour la fin de l’année 2006, selon l’exigence royale.
Dans son discours dédié au 32ème anniversaire de la marche verte, le Roi Mohammed VI a consacré une large majorité de son allocution à la diaspora marocaine installée dans de nombreux pays de résidence des cinq continents. Comme prévu et annoncé lors de ses précédents discours pour le 30ème et 31ème anniversaire de la marche verte, cette communauté pourra désormais prendre part à la vie politique nationale, exercer pleinement sa citoyenneté et apporter sa contribution «à
Que faut-il lire, interpréter, du «conflit» diplomatique entre Rabat et Madrid ? Que le Roi Juan Carlos ne doit pas «transgresser» l’accord tacite (entre les deux pays) sur la neutralité des enclaves de Melillia et de Sebta et que, de facto, sa visite (qui répond à un agenda royal établi de longue date), première du genre, n’a pas lieu d’être.
Si Nicolas Sarkozy comptait sur sa visite d’Etat comme instrument de mesure de sa popularité au Maroc, le président français a dû se trouver rassuré voir littéralement comblé. En effet, c’est en grande pompe que le Roi Mohammed VI l’a accueilli, plus de 48 heures durant, à Marrakech, Rabat ou encore Tanger.
C’est demain, vendredi 26 octobre 2007 à Rabat, dans le cadre de la 28ème assemblée générale du Conseil Consultatif des Droits de l’Homme (CCDH), que la question des Marocains du monde et la création du Conseil supérieur dédié à la diaspora, sera débattu, ou plutôt présentée aux sociétaires de l’ONG.