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Le Yabi Café
P
10 avril 2020 22:05
Le but est d'écrire, et de lire.

Bienvenue sur le post.
Citation
SDreams off a écrit:
J'ai la flemme de tout lire c'est quoi encore le but de ce sujet ? confused smiley
S
10 avril 2020 22:07
Écrire sur n'importe quoi ?
Citation
Pensée sauvage a écrit:
Le but est d'écrire, et de lire.

Bienvenue sur le post.
P
10 avril 2020 22:09
Oui, ce que tu veux.
Citation
SDreams off a écrit:
Écrire sur n'importe quoi ?
S
10 avril 2020 22:12
Intéressant, je vais y songer tongue sticking out smiley
Citation
Pensée sauvage a écrit:
Oui, ce que tu veux.
b
10 avril 2020 22:52
Excellent,
Les gradations de la perception du temps : temps, réel, temps imaginaire, temps contraint du confinement, celui de l'instant pris entre un passé et un devenir,.

Un temps des contraintes et un temps des libertés, de l'insoumission ..

Un temps celui de la mémoire heureuse qui disparait, un temps présent qui emporte, qui confine un temps qui s'arrête emprisonne et qui libère le rêve.
Un temps vécu en apnée, hors du temps, de la vie florissante ...

Une prise de conscience et une remise en question, du temps précieux qui fuit, qui nous enchaine pour entrevoir de nouveaux horizons, ceux du rêve, des projets, du futur.

Je vais essayé de mon coté d'apporter ma pierre.
Le temps du bonheur : l'amour ?
Le temps perdu ?

Citation
Jade* a écrit:
Des doigts suspendus sur un clavier, hésitant sur la tournure des mots, le besoin d’écrire, et ce sentiment étrange et non identifié du pourquoi. Je les interrogeais, de quoi voulez vous me causer aujourd’hui ? ils tapotaient, muets, exécuteurs étaient-ils de mon flux cérébral, de mon monologue, de mes pensées.

Les notes du Oud s’élevaient, accompagnant la voix douce de la chanteuse « ya m’safer wahdek », voyager c’était cela, partir loin dans le temps et l’espace, où ? là où mes pensées, ne subissant aucune restriction à leur liberté, au-delà d'un confinement physique terriblement restrictif, pouvaient m’emmener...

J’interrogeais mes pensées, à travers un sourire candide :

- Et si vous me parliez du temps ?

- Lequel me dirent-elles ?

- Celui des poètes, le temps s’en va, le temps s'en va, ma dame disait Ronsard …
Et des amours desquelles nous parlons, Quand serons morts, n’en sera plus nouvelle...

- Ah … vous voulez parler de celui qui fuit ? de ce temps qui ne reviendra plus …

- Oui le fatal, celui qui coule emportant tout sur son passage, nos rires et nos larmes, nos réussites et nos regrets, nos joies et nos peines, celui qui n’a aucun regard pour nous, qui avance, qui court et qui s’en va, libérateur ? … dites-moi, il disparaitra avec nous vous croyez ?

- Hum … (réflexion) … vous pensez que lorsque l’homme ne sera plus, pour mettre des piles dans les horloges et changer d’agenda, le temps disparaitra ? Grand Dieu … l’être humain quel nombrilisme …

Voilà que mes propres pensées se moquaient de moi … le confinement était censé être juste physique … j’essayais de me rattraper néanmoins, à la vue de la magnifique pomme posée sur ma table :

- Alors parlez-moi de celui du maintenant, de la minute exaltante, de la vie trépidante, celui pour lequel le passé est passé englouti, parti sans un regard et sans regrets, celui pour lequel demain est trop loin, invisible, impalpable …

En disant cela je respirais un grand coup, je me sentais d’un coup revivre, ivre de l'air ambiant, c’était tellement jouissif de ne penser qu'à vivre l’instant présent, le chérir, l’embellir, libre, léger et insouciant …

Mais mes pensées me rattrapaient, impitoyables …

- Qui a dit que le passé n’était plus et que le futur ne pourrait encore être ?

Mon regard posa accusateur sur ma pomme, hésitant à la croquer … ok ça attendra un peu …

J’essayais de mettre de l’ordre dans ma tête, chassant au loin cette lettre qui provoquait un tel vacarme et un tel capharnaüm, qui me narguait en me Souriant, Sifflant le chaos …

Sans succès, mes pensées partaient dans tous les sens, elles n’étaient pas d’accord entre elles, les unes tentant de raisonner les autres et les retenir, puis tels les pigeons de la fontaine, "l’un d’eux s’ennuyant au logis, fut assez fou pour entreprendre, un voyage en lointain pays " …

Ainsi dépitée, je voyais une partie s’accrocher à la droiture fatale, tandis que l'autre voulant braver les lois, partit loin, loin, dans les confins de l’univers, fuyant les limites, se délestant du poids de l'interdit … folle, rebelle, défiant la linéarité, cherchant à la dompter, la courber, l’assouplir pour donner du sens à la vie … je la regardais pensive s'envoler, me demandant si sa missive arrivera un jour, ou finira par se perdre … me demandant si j'étais ou je serais ou peut -être aucun des deux ...

Je secouais la tête, trêve de plaisanteries ! il faut trancher à présent ... le temps … une prison à ciel ouvert ? hum… une condition subjective de l’intuition humaine ? sensible, présent et palpable tant que nous y faisons attention … loin, inexistant dès que nous ne le regardons plus ? …. une illusion ? … oui c’est cela le temps … une flèche immobile.
*
10 avril 2020 23:01
Merci. Welcome

Mais aussi celui de Ronsard et de Héraclite, de Newton, Godel ou Einstein, celui du S du désordre et des pardoxes allant des jumeaux vers la flèche ....

Le temps physique en temps de confinement physique dans toute sa splendeur.


Citation
blagueur a écrit:
Excellent,
Les gradations de la perception du temps : temps, réel, temps imaginaire, temps contraint du confinement, celui de l'instant pris entre un passé et un devenir,.

Un temps des contraintes et un temps des libertés, de l'insoumission ..

Un temps celui de la mémoire heureuse qui disparait, un temps présent qui emporte, qui confine un temps qui s'arrête emprisonne et qui libère le rêve.
Un temps vécu en apnée, hors du temps, de la vie florissante ...

Une prise de conscience et une remise en question, du temps précieux qui fuit, qui nous enchaine pour entrevoir de nouveaux horizons, ceux du rêve, des projets, du futur.

Je vais essayé de mon coté d'apporter ma pierre.
Le temps du bonheur : l'amour ?
Le temps perdu ?
*
11 avril 2020 09:42
Aux intéressés : la solution aux énigmes.

Des doigts suspendus sur un clavier, hésitant sur la tournure des mots, le besoin d’écrire, et ce sentiment étrange et non identifié du pourquoi. Je les interrogeais, de quoi voulez vous me causer aujourd’hui ? ils tapotaient, muets, exécuteurs étaient-ils de mon flux cérébral, de mon monologue, de mes pensées.

Les notes du Oud s’élevaient, accompagnant la voix douce de la chanteuse « ya m’safer wahdek », voyager c’était cela, partir loin dans le temps et l’espace, où ? là où mes pensées, ne subissant aucune restriction à leur liberté, au-delà d'un confinement physique terriblement restrictif, pouvaient m’emmener...

J’interrogeais mes pensées ( voyage intérieur, cérébral) , à travers un sourire candide :

- Et si vous me parliez du temps ?

- Lequel me dirent-elles ?

- Celui des poètes, le temps s’en va, le temps s'en va, ma dame disait Ronsard …
Et des amours desquelles nous parlons, Quand serons morts, n’en sera plus nouvelle...

- Ah … vous voulez parler de celui qui fuit ? de ce temps qui ne reviendra plus …

- Oui le fatal, celui qui coule emportant tout sur son passage, nos rires et nos larmes, nos réussites et nos regrets, nos joies et nos peines, celui qui n’a aucun regard pour nous, qui avance, qui court et qui s’en va, libérateur ? … dites-moi, il disparaitra avec nous vous croyez ?

- Hum … (réflexion) … vous pensez que lorsque l’homme ne sera plus, pour mettre des piles dans les horloges et changer d’agenda, le temps disparaitra ? Grand Dieu … l’être humain quel nombrilisme …

Pour Héraclès ou Ronsard, le temps est irréversible, il coule, indépendant de notre réalité.

Voilà que mes propres pensées se moquaient de moi … le confinement était censé être juste physique … j’essayais de me rattraper néanmoins, à la vue de la magnifique pomme posée sur ma table :

- Alors parlez-moi de celui du maintenant, de la minute exaltante, de la vie trépidante, celui pour lequel le passé est passé englouti, parti sans un regard et sans regrets, celui pour lequel demain est trop loin, invisible, impalpable …

En disant cela je respirais un grand coup, je me sentais d’un coup revivre, ivre de l'air ambiant, c’était tellement jouissif de ne penser qu'à vivre l’instant présent, le chérir, l’embellir, libre, léger et insouciant …

Le temps de Newton, celui de l'instant en physique classique, clin d'œil à la pomme.

Mais mes pensées me rattrapaient, impitoyables …

- Qui a dit que le passé n’était plus et que le futur ne pourrait encore être ?

Mon regard se posa accusateur sur ma pomme, hésitant à la croquer … ok ça attendra un peu … Non je n'ai aucune action chez Apple grinning smiley ...

J’essayais de mettre de l’ordre dans ma tête, chassant au loin cette lettre qui provoquait un tel vacarme et un tel capharnaüm, qui me narguait en me Souriant, Sifflant le chaos …

Le S de l'entropie, signant le désordre, second principe de thermodynamique fondement de l'irréversibilité du temps)

Sans succès, mes pensées partaient dans tous les sens, elles n’étaient pas d’accord entre elles, les unes tentant de raisonner les autres et les retenir, puis tels les pigeons de la fontaine, "l’un d’eux s’ennuyant au logis, fut assez fou pour entreprendre, un voyage en lointain pays " …

( le temps, géométrie de l'espace vs temps en deux dimensions (J'aurais même dû faire un clin d'œil à Euclide et Pythagore tiens ), voyage dans le futur=> Einstein: relativité générale, paradoxe des jumeaux/ici les pigeons voyageurs.)

Ainsi dépitée, je voyais une partie s’accrocher à la droiture fatale, tandis que l'autre voulant braver les lois, partit loin, loin, dans les confins de l’univers, fuyant les limites, se délestant du poids de l'interdit … folle, rebelle, défiant la linéarité, cherchant à la dompter, la courber, l’assouplir pour donner du sens à la vie ( Einstein vs Newton: remplacement du concept de gravitation par la courbure de l'espace-temps) … je la regardais pensive s'envoler, me demandant si sa missive arrivera un jour, ou finira par se perdre … me demandant si j'étais ( possibilité de voyage vers le passé, clin d'œil à l'univers de Gödel: mise en pratique des équations de la relativité d'Einstein) ou je serais ou peut -être aucun des deux ...

Je secouais la tête, trêve de plaisanteries ! il faut trancher à présent ... le temps … une prison à ciel ouvert ? hum… une condition subjective de l’intuition humaine ? sensible, présent et palpable tant que nous y faisons attention … loin, inexistant dès que nous ne le regardons plus ? ( le temps des philosophes, Kant et compagnie) …une illusion ? … oui c’est cela le temps … une flèche immobile.( Le paradoxe de la flèche par Zénon d'Elée: l'inexistence du temps)[/c



Modifié 3 fois. Dernière modification le 11/04/20 10:28 par Jade*.
b
11 avril 2020 10:56
L’amour,

Le souvenir du temps du bonheur ..

Un terme galvaudé, banalisé, instrumentalisé à des fins autres que celles que son sens porte.

Un don divin, un don merveilleux quand il est vrai et partagé.

Il oppresse, réconforte, rend fou et fougueux, sauvage parfois. Il attache et libère, inonde l’âme, s’empare de la mémoire comme des rêves, du temps, comme de l’espace. Il dilate le temps au gré de l’impatience et de l’attente, il contracte l’espace autour de la bien-aimée.

Il prend aux tripes semant le doute et l’inquiétude comme l’émoi. Il inhibe la raison pour exacerber l’émotion, les sentiments sur le chemin semé d’embûche, celui d’une quête de l’accomplissement, de la plénitude, de la sérénité. Il déchire aussi parfois pris entre routines, obligations et rêves.

Aller vers l’autre, son parfum, son sourire, l’écho de sa voix en semant tendresse et caresse, couvrant d’attentions et de soins l’âme de l’autre, chassant cette solitude et cette tristesse qui oppresse en sont les signes discrets d’une passion exaltée, exubérante comme la vie …

L’amour fou, celui qui embrase l’âme, bouleverse, remplit l’univers de couleurs, d’arômes, de la douce mélodie de la vie, du tendre regard jeté sur l’autre à son insu, celui de la passion, du don de soi, fait valser le monde en une effrénée danse langoureuse et lascive en hommage à cette vie intense, foisonnante. Celui qui déchaine, libère des chaines, fais dérailler le train du quotidien démultipliant l’espoir, l’envie, le don de soi, le plaisir de vivre, de revivre pleinement ...

Traitre ? Il semble tromper parfois car il ne se trompe jamais, poursuit son chemin, celui de Cupidon, celui de la flèche, du paradoxe de cette flèche qui est immobile et pourtant tue parfois.

Un amour qui sait reconnaitre, l'éclat du rutilant rubis, le désamour comme celui naissant en un bourgeon en plein essor ou une graine ensemencée sur un autre terreau. Il n’a rien à excuser, c’est sa nature folle, rebelle aux conventions, aux convenances.

Si d’autres l’instrumentalisent en le simulant pour conquérir ou "chérir' il n’en est pas responsable.

C’est la perversité qui est en cause, le manque de franchise, l’absence d’acceptation, l’unilatéralité, la tromperie …

Temps du bonheur, temps des amours et des feuilles mortes, temps du souvenir de l’espoir …

Instants merveilleux, éclairant la voie de l’accomplissement, en la quête d’une vie intense …

Bye à l’amour … Bye à l’espoir, Bye à la vie intense, bienvenue routine quotidienne fade …

Bye au temps qui fuit qui nous traine à contre cœur ….

Bye au bonheur ...
12 avril 2020 07:27
Khoroto, roi des parasites,
À quand le couronnement ?
Tu ne disposes d'aucun mérite,
Mais tu te penses intelligent.

Les yeux vers l'avenir ?
Le genou esquinté.
Bientôt l'heure de partir.
Mais qu'as-tu préparé ?

Quelques vers débiles,
Quelques mots bien agencés,
Rien de plus futile,
Que cette prose écervelée.

La paresse, mère de tous tes vices
Se prépare à enfanter,
Occupe-toi bien de ses fils,
Avant que ne viennent les regrets.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 12/04/20 07:46 par Khoroto vert.
L
12 avril 2020 09:08
autant le début était bien mais là, je pense que t'as foiré.... le pire c'est que tu sais que tu peux faire largement mieux, mais merci pour cette petite suite ...
Citation
Mon père va me tuer a écrit:
Je m'excuse, j'ai mis un temps fou à publier la suite. C'est pas cool de ma part.

Par respect je vous raconte la fin rapidement.

Pour ceux qui ont lu la première partie, vous vous en doutez que les douaniers allaient nous prendre pour les fuyards et c'est ce qu'il s'est passé.

Lorsqu'on est arrivé à leur niveau, le branle bas de combat a été déclenché. On nous a mis en joue, on nous a sorti par la force. J'ai protesté et je me suis pris un coup de poing en plein visage.

On nous a conduit au poste frontière et on nous enfermé dans une cellule sans chaussures, sans ceinture, sans collier et sans manteau. Je me souviens qu'un des douaniers m'avait répondu, après que je clamais notre innocence, qu'on avait de bonnes têtes de coupable.

Mais au bout d'une heure, ils avaient choppé les vrais coupables en France....

On nous a relâchés et quelques semaines tard j'ai décroché un rencard avec Rania.

Mais ca, je vous le raconterai dans un futur poste grinning smiley
17 avril 2020 00:47
Je veux un smoothie aux fruits rouges,
la mer à perte de vue,
un hamac à l'ombre,
et le chant des oiseaux qui me berce



Modifié 1 fois. Dernière modification le 17/04/20 00:54 par Sarah*.
K
17 avril 2020 00:50
C'est pour moi ?...oh..t croquante gourmande..
Citation
Sarah* a écrit:
You and I must make a pact
We must bring salvation back,
Where there is love, I'll be there

I'll reach out my hand to you
I'll have faith in all you do.
Just call my name and I'll be there

(...)

I'll be there with a love that's strong,
I'll be your strength,
I'll keep holdin' on
Yes I will, yes I will

Let me fill your heart with joy and laughter,
Togetherness, well, is all I'm after,
Whenever you need me, I'll be there

(...)

If you should ever find someone new
I know she better be good to you
'Cause if she doesn't
I'll be there
17 avril 2020 00:55
Tout à fait
Citation
100Coeur® a écrit:
C'est pour moi ?...oh..t croquante gourmande..
17 avril 2020 00:57
Les sujets sur yabiladi sont de plus en plus Ill
K
17 avril 2020 01:05
À moi

I whisky to you
No me and me et you in the sleep sunshine in sushi
Oh my girl,i need you in my poumons bécasse im dingue of duty free
Yes or not,wy not?

You com white me in the saloon
Citation
Sarah* a écrit:
Tout à fait
K
17 avril 2020 01:06
Oui..c le manque de ventoline qui fait ça...sad smiley
Citation
Sarah* a écrit:
Les sujets sur yabiladi sont de plus en plus Ill
17 avril 2020 01:07
ptdr ptdr j'ai pouffé de rire



À moi, en rifain :

Hfgybf jhrdghy ryjvfed
Zfygde ffhbjur
Fthbcz
Citation
100Coeur® a écrit:
À moi

I whisky to you
No me and me et you in the sleep sunshine in sushi
Oh my girl,i need you in my poumons bécasse im dingue of duty free
Yes or not,wy not?

You com white me in the saloon
17 avril 2020 01:10
Il faut réapprovisionner en masse
Citation
100Coeur® a écrit:
Oui..c le manque de ventoline qui fait ça...sad smiley
K
17 avril 2020 11:18
C pas vrai,mdr
Hamdoulilah j'ai pas de pbm pulmonaires.
Citation
Sarah* a écrit:
Il faut réapprovisionner en masse
17 avril 2020 12:19
J'ai compris que tu parlais des yabis et non de toi.
Citation
100Coeur® a écrit:
C pas vrai,mdr
Hamdoulilah j'ai pas de pbm pulmonaires.
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