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Voici le portrait vivant de ce noble Messager d'Allah tel que nous
r
15 novembre 2006 14:12
Salam Aleikum,

Quand j'ai lu ce texte, j'ai pleuré....et j'ai eu des frissons, j'espère que vous aussi
ressentirez la même chose....




Voici le portrait vivant de ce noble Messager d'Allah tel que nous l'a transmit la tradition la plus honnête et la plus concordante.



Muhammad , avait une tête massive couverte d'une chevelure abondante et soignée. Ses cheveux n'étaient ni crépus comme ceux des Abyssins, ni totalement lisses comme ceux des Hindous. Sa barbe était aussi fournie que sa chevelure et, jusqu'à sa mort, on pouvait compter ses cheveux blancs sur les doigts de la main. Son visage au teint très clair rayonnait carrément de lumière. Au milieu de ce visage ovale au front large et bombé se dressait un nez légèrement aquilin. Ses yeux larges et sombres avaient une certaine rougeur. Ses sourcils fins formaient deux grands arcs qui ce touchaient presque. Ses cils étaient longs et noirs. Sa bouche assez grande et charnue s'ouvrait sur une double rangée de dent ayant la blancheur de la neige.



Il souriait souvent mais n'allait jamais jusqu'au rire. Son silence était imposant et son parler le rendait plus beau encore. Vue de loin ou de près, il tranchait sur tous par sa beauté remarquable. Il n'était ni taciturne, ni bavard et ses paroles se succèdent comme des perles savamment enfilées. Il étais toujours doux et amène mais ne tombait jamais dans la familiarité vulgaire. Il était constamment entouré de ses compagnons fidèles. Dès qu'il parlait, ils étaient tout oreilles et, dès qu'il donnait un ordre, ils s'empressaient de l'exécuter.

Il avait le coeur le plus magnanime, le langage le plus véridique, le caractère le plus sociable et la compagnie la plus généreuse. Celui qui le voyait à l'improviste le respectait et celui qui le fréquentait tous les jours l'aimait. Tous ceux qui parlaient de lui disaient unanimement n'avoir jamais vu son pareil ni avant lui ni après lui. Il gardait longtemps le silence et ne parlait jamais sans raison. Ses paroles étaient un trésor de sagesse et un modèle d'éloquence. Il était concis, sans débordement inutile ni parcimonie nuisible à la compréhension. Il ne se fâchait jamais pour son propre compte mais, si un usurpateur violait le bon droit, rien ne l'arrêtait plus tant qu'il n'avait pas eu raison de lui et tant que la justice n'avait pas prévalu.



Il ne se servait jamais que d'arguments véridiques et ne faisait jamais triompher la vérité par le mensonge. Il ne se moquait jamais de personne ni en sa présence ni en absence. Il n'était ni humblement petit ni orgueilleusement grand et, que de taille moyenne, sa large carrure et le port droit de sa tête le faisaient paraître toujours le plus grand. Quand il voulait regarder en arrière il se retournait tout d'une pièce et il percevait même sans se retourner ce qui passait derrière lui. Il était d'une force exceptionnelle et fut le seul de son temps à terrasser le célèbre lutteur Rokana.



Il ne s'est jamais sauvé au combat et voici ce que dit de lui Ali dont on connaît pourtant la force et le courage: " Lorsque la bataille faisait rage et que les yeux voyaient rouge, nous nous mettions tous derrière le Prophète qui était toujours le plus près de l'ennemi " -

Voici encore ce que dit de lui Al Abbas , oncle du Prophète :

" Lorsque les Musulmans rencontrèrent les Païens à la terrible bataille de Honéin, ils battirent tous en retraite. Seul le Prophète se lança à l'assaut de l'ennemi en faisant galoper sa mule que j'avais peine à retenir par la bride "



Il ne mangeait jamais à satiété. Il dormait peu et avait souvent des rêves. Il ne s'est pas vengé des Mecquois qui lui avaient brisé une dent à la guerre, mais il leur pardonna et invoqua même sur eux la bénédiction divine. Quand à la bataille d'Ouhoud, les Koraïchites barbares tuèrent et profanèrent ses meilleurs compagnons, les Musulmans lui demandèrent d'invoquer la malédiction divine sur ses ennemis. Mais il se contenta de dire: " Dieu, pardonnez à mon peuple, il est ignorant ".

On lui amena une fois un Bédouin farouche qui avait essayé de l'assassiner. Il lui mit la main sur l'épaule et lui dit souriant : "On ne t'effrayera plus, on ne t'effrayera plus ! "



Il disait souvent : " Informez-moi des requêtes de ceux qui ne peuvent m'atteindre; celui qui fait parvenir les doléances de son frère incapable sera en sécurité au jour de la plus grande frayeur "... Une fois ses Compagnons se levèrent respectueusement à son arrivée. Il leur dit aussitôt : " Ne vous levez pas les uns pour les autres comme le font les autres peuples qui se déifient entre eux. Je ne suis qu'un esclave (de Dieu) mangeant comme les esclaves et m'asseyant comme eux "



Il marchait toujours derrière ses Compagnons et rendait visite à tous les malades pauvres ou riches, Croyants ou infidèles et il suivait les cortèges funèbres. Il répondait à l'appel de l'esclave et saluait les humbles. Ils aimait la plaisanterie mais ne disait jamais que la vérité. Une fois il dit à une vieille femme pieuse qu'elle n'entrerais jamais si vieille au Paradis. Elle se mit à pleurer de désespoir et lui de dire en riant : " Tu auras auparavant recouvré ta plus belle jeunesse "



Sa générosité étais proverbiale. On lui apporta un jour sa part de butin s'élevant à quatre vingt dix mille Dirhams. Il les distribua tous et n'en garda pas un seul pour lui. Il passait pourtant des nuits entières sans avoir rien à manger. Sa femme Aicha [ Qu'Allah soit satisfait d'elle ] nous rapporte qu'il dormait sans dîner et jeûnait le lendemain quand même. " Je pleurais de pitié pour lui et lui disais: " Mon pauvre ami, tu pouvais au moins garder de quoi apaiser ta faim "- Il me disait : - " O Aicha ! Qu'ai-je à faire de biens de ce monde ? "



On lui apporta cependant bien des trésors ; il était devenu maître du Hedjaz, du riche Yémen et de la presque totalité de la péninsule arabique. Il avait conquis toutes les régions limitrophes de la Syrie et de l'Irak. IL avait légalement droit au cinquième des capitations et aumônes de tous ces pays et plus d'un roi lui envoyèrent rente des cadeaux mirifique. Il n'a jamais rien gardé de tout cela et en enrichit les autres. Malgré toute cette humilité et cette vie d'ascète, il dégageait une majesté troublante qui fit trembler à ses pieds les ambassadeurs du roi des Perses et des autres tyrans, habitués pourtant aux plus grandes pompes.



Ce portrait n'est nullement démenti par ses faits et gestes qui transparaissent clairement à travers ses Hadiths. L'étude sincère du Coran nous montre que cette oeuvre parfaite ne peut être que divine et que celui qui l'a transmise en toute loyauté ne peut être que le meilleur être de toutes les créatures. Il allia en effet la vie la plus pauvre à la plus grande richesse, la générosité la plus magnicide au plus grand dénuement, le pardon le plus inespéré à la victoire la plus complète, le courage le plus héroïque à la longanimité la plus patiente et la personnalité la plus forte à l'effacement le plus humble et le plus distingué.



Quel autre que lui fut capable dans toute l'histoire des Hommes de bâtir en si peu de temps et avec si peu de moyens matériels un empire aussi vaste marqué d'une emprunte aussi profonde et aussi ineffaçable ?

Quel autre que lui a fait et fera toujours vibrer le plus profond des âmes par ces résonances divines qu'est le Coran psalmodié ?

Ô Allah ! accorde Tes bénédictions et Ton salut éternels à notre Messager Muhammad et fait nous dignes de son intercession efficace au jour terrible et sûr ou la maman en oublie son bébé et ou l'enfant le plus jeune voit ses cheveux blanchir !





Rania
r
15 novembre 2006 16:33
aucun commentaire sad smiley
r
15 novembre 2006 16:46
Mashallah !!

tres beau portrait !! merci pour ton poste !
r
15 novembre 2006 19:13
soubhannallah, je l'ai lu pas plus tard qu'hier

merci smiling smiley
b
15 novembre 2006 19:34
C'est notre amour de prophète sala allahou 3alayi wassalama. smiling smiley
r
15 novembre 2006 19:39
el habib winking smiley
p
15 novembre 2006 19:47
Citation
rania55 a écrit:
Salam Aleikum,

Quand j'ai lu ce texte, j'ai pleuré....et j'ai eu des frissons, j'espère que vous aussi
ressentirez la même chose....




Voici le portrait vivant de ce noble Messager d'Allah tel que nous l'a transmit la tradition la plus honnête et la plus concordante.



Muhammad , avait une tête massive couverte d'une chevelure abondante et soignée. Ses cheveux n'étaient ni crépus comme ceux des Abyssins, ni totalement lisses comme ceux des Hindous. Sa barbe était aussi fournie que sa chevelure et, jusqu'à sa mort, on pouvait compter ses cheveux blancs sur les doigts de la main. Son visage au teint très clair rayonnait carrément de lumière. Au milieu de ce visage ovale au front large et bombé se dressait un nez légèrement aquilin. Ses yeux larges et sombres avaient une certaine rougeur. Ses sourcils fins formaient deux grands arcs qui ce touchaient presque. Ses cils étaient longs et noirs. Sa bouche assez grande et charnue s'ouvrait sur une double rangée de dent ayant la blancheur de la neige.



Il souriait souvent mais n'allait jamais jusqu'au rire. Son silence était imposant et son parler le rendait plus beau encore. Vue de loin ou de près, il tranchait sur tous par sa beauté remarquable. Il n'était ni taciturne, ni bavard et ses paroles se succèdent comme des perles savamment enfilées. Il étais toujours doux et amène mais ne tombait jamais dans la familiarité vulgaire. Il était constamment entouré de ses compagnons fidèles. Dès qu'il parlait, ils étaient tout oreilles et, dès qu'il donnait un ordre, ils s'empressaient de l'exécuter.

Il avait le coeur le plus magnanime, le langage le plus véridique, le caractère le plus sociable et la compagnie la plus généreuse. Celui qui le voyait à l'improviste le respectait et celui qui le fréquentait tous les jours l'aimait. Tous ceux qui parlaient de lui disaient unanimement n'avoir jamais vu son pareil ni avant lui ni après lui. Il gardait longtemps le silence et ne parlait jamais sans raison. Ses paroles étaient un trésor de sagesse et un modèle d'éloquence. Il était concis, sans débordement inutile ni parcimonie nuisible à la compréhension. Il ne se fâchait jamais pour son propre compte mais, si un usurpateur violait le bon droit, rien ne l'arrêtait plus tant qu'il n'avait pas eu raison de lui et tant que la justice n'avait pas prévalu.



Il ne se servait jamais que d'arguments véridiques et ne faisait jamais triompher la vérité par le mensonge. Il ne se moquait jamais de personne ni en sa présence ni en absence. Il n'était ni humblement petit ni orgueilleusement grand et, que de taille moyenne, sa large carrure et le port droit de sa tête le faisaient paraître toujours le plus grand. Quand il voulait regarder en arrière il se retournait tout d'une pièce et il percevait même sans se retourner ce qui passait derrière lui. Il était d'une force exceptionnelle et fut le seul de son temps à terrasser le célèbre lutteur Rokana.



Il ne s'est jamais sauvé au combat et voici ce que dit de lui Ali dont on connaît pourtant la force et le courage: " Lorsque la bataille faisait rage et que les yeux voyaient rouge, nous nous mettions tous derrière le Prophète qui était toujours le plus près de l'ennemi " -

Voici encore ce que dit de lui Al Abbas , oncle du Prophète :

" Lorsque les Musulmans rencontrèrent les Païens à la terrible bataille de Honéin, ils battirent tous en retraite. Seul le Prophète se lança à l'assaut de l'ennemi en faisant galoper sa mule que j'avais peine à retenir par la bride "



Il ne mangeait jamais à satiété. Il dormait peu et avait souvent des rêves. Il ne s'est pas vengé des Mecquois qui lui avaient brisé une dent à la guerre, mais il leur pardonna et invoqua même sur eux la bénédiction divine. Quand à la bataille d'Ouhoud, les Koraïchites barbares tuèrent et profanèrent ses meilleurs compagnons, les Musulmans lui demandèrent d'invoquer la malédiction divine sur ses ennemis. Mais il se contenta de dire: " Dieu, pardonnez à mon peuple, il est ignorant ".

On lui amena une fois un Bédouin farouche qui avait essayé de l'assassiner. Il lui mit la main sur l'épaule et lui dit souriant : "On ne t'effrayera plus, on ne t'effrayera plus ! "



Il disait souvent : " Informez-moi des requêtes de ceux qui ne peuvent m'atteindre; celui qui fait parvenir les doléances de son frère incapable sera en sécurité au jour de la plus grande frayeur "... Une fois ses Compagnons se levèrent respectueusement à son arrivée. Il leur dit aussitôt : " Ne vous levez pas les uns pour les autres comme le font les autres peuples qui se déifient entre eux. Je ne suis qu'un esclave (de Dieu) mangeant comme les esclaves et m'asseyant comme eux "



Il marchait toujours derrière ses Compagnons et rendait visite à tous les malades pauvres ou riches, Croyants ou infidèles et il suivait les cortèges funèbres. Il répondait à l'appel de l'esclave et saluait les humbles. Ils aimait la plaisanterie mais ne disait jamais que la vérité. Une fois il dit à une vieille femme pieuse qu'elle n'entrerais jamais si vieille au Paradis. Elle se mit à pleurer de désespoir et lui de dire en riant : " Tu auras auparavant recouvré ta plus belle jeunesse "



Sa générosité étais proverbiale. On lui apporta un jour sa part de butin s'élevant à quatre vingt dix mille Dirhams. Il les distribua tous et n'en garda pas un seul pour lui. Il passait pourtant des nuits entières sans avoir rien à manger. Sa femme Aicha [ Qu'Allah soit satisfait d'elle ] nous rapporte qu'il dormait sans dîner et jeûnait le lendemain quand même. " Je pleurais de pitié pour lui et lui disais: " Mon pauvre ami, tu pouvais au moins garder de quoi apaiser ta faim "- Il me disait : - " O Aicha ! Qu'ai-je à faire de biens de ce monde ? "



On lui apporta cependant bien des trésors ; il était devenu maître du Hedjaz, du riche Yémen et de la presque totalité de la péninsule arabique. Il avait conquis toutes les régions limitrophes de la Syrie et de l'Irak. IL avait légalement droit au cinquième des capitations et aumônes de tous ces pays et plus d'un roi lui envoyèrent rente des cadeaux mirifique. Il n'a jamais rien gardé de tout cela et en enrichit les autres. Malgré toute cette humilité et cette vie d'ascète, il dégageait une majesté troublante qui fit trembler à ses pieds les ambassadeurs du roi des Perses et des autres tyrans, habitués pourtant aux plus grandes pompes.



Ce portrait n'est nullement démenti par ses faits et gestes qui transparaissent clairement à travers ses Hadiths. L'étude sincère du Coran nous montre que cette oeuvre parfaite ne peut être que divine et que celui qui l'a transmise en toute loyauté ne peut être que le meilleur être de toutes les créatures. Il allia en effet la vie la plus pauvre à la plus grande richesse, la générosité la plus magnicide au plus grand dénuement, le pardon le plus inespéré à la victoire la plus complète, le courage le plus héroïque à la longanimité la plus patiente et la personnalité la plus forte à l'effacement le plus humble et le plus distingué.



Quel autre que lui fut capable dans toute l'histoire des Hommes de bâtir en si peu de temps et avec si peu de moyens matériels un empire aussi vaste marqué d'une emprunte aussi profonde et aussi ineffaçable ?

Quel autre que lui a fait et fera toujours vibrer le plus profond des âmes par ces résonances divines qu'est le Coran psalmodié ?

Ô Allah ! accorde Tes bénédictions et Ton salut éternels à notre Messager Muhammad et fait nous dignes de son intercession efficace au jour terrible et sûr ou la maman en oublie son bébé et ou l'enfant le plus jeune voit ses cheveux blanchir !





Rania




merci rania pr ce trés bo texte sur Notre bien-aimé Le Prophète (BP sur lui)
jazaki lahou koli khayr
j'ai entendu sur une emission une rés belle histoire sur l'amour du Prophète (BP sur lui) pr sa femme aicha radiya lahou anha,
aicha une fois elle etait malade,elle a bu d'un vers d'eau notre Prophète (BP sur lui) a repris le meme ver d'eau et il a cherché ou a bu aicha radiya lahou anha et il a bu de la meme place a bu aicha radiya lahou anha pr la consoler
masha allah
' Sois attentif envers Dieu tu Le trouveras devant toi. Rappelle-toi Dieu dans l'aisance, Il se rappellera de toi dans l'adversité. Sache que ce qui t'as manqué ne t'était pas destiné, et que ce qui t'a atteint ne pouvait te manquer. Sache que la victoire accompagne l'endurance, que le soulagement arrive après l'affliction comme la facilité après la difficulté. ' Hadith rapporté par At-Tirmidhî.
m
15 novembre 2006 22:16
salam
barak ALLAH O fik c magnifique mashallah wa salat et wa salam 3la nabi ina mohamed


wa aleykoum salam
a
16 novembre 2006 12:24
c'est tres beau,

Il est bon de lire et de le relire...
barak Allah o fik

merci Rania
l
16 novembre 2006 13:19
Salemaleykom,barak'Allaho fik


j'In love ce passage:




"Il marchait toujours derrière ses Compagnons et rendait visite à tous les malades pauvres ou riches, Croyants ou infidèles et il suivait les cortèges funèbres. Il répondait à l'appel de l'esclave et saluait les humbles. Ils aimait la plaisanterie mais ne disait jamais que la vérité. Une fois il dit à une vieille femme pieuse qu'elle n'entrerais jamais si vieille au Paradis. Elle se mit à pleurer de désespoir et lui de dire en riant : " Tu auras auparavant recouvré ta plus belle jeunesse "

Preuve d'humilité!
T
16 novembre 2006 16:06
Qu'Allah nous accorde l'amour du messager ! amîn

as salâm
h
16 novembre 2006 16:37
Magnifiquement décris telle une personne honnête et véridique SUBHANALAH
 
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