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HakiLeVoyageur a écrit:
Il y avait peut-être
peut-être
peut-être
peut-être
peut-être
peut-être
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Bibouda le retour a écrit:
Je laisse toutes les portes ouvertes et j'essaie d'en ouvrir plus
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Jevo a écrit:
Salam Aleykum,
Si on pose le postulat que la dimension "temps" est une donnée relative, oui il y a un blocage mental. Mais comparons le comparable et les limites auto-suggérées s'effritent (et ne se frittent pas).
Hors du temps, les notions d'avant ou d'après, n'ont plus de sens. De même que l'on comprend que si on parle existence, cela ne peut pas être conditionné.
Pour le comparatif croyant/non-croyant, certains ont peur de passer des portes qu'ils ne sont ni en mesure d'ouvrir, ni en mesure de reconnaître.
Car reconnaître signifie tolérer sa propre existence et orienter son "temps" terrestre dans la direction naturelle et laisser tomber définitivement l'illusion de la maîtrise.
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Xavier33* a écrit:
Eliminer la variable temps résout le problème mais cela reste une vue de l'esprit puisque nous sommes soumis au temps qui, pour nous, s'écoule inexorablement dans un seul sens.
Que l'on imagine un créateur ou un univers éternel, notre réalité reste soumise au temps.
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Jevo a écrit:
Ton commentaire illustre bien mon propos.
Tant que l'on ne passe pas ce que notre frère appelle "blocage" ou porte si et lorsqu'elle s'ouvre à soi, on reste sur son pas.
On peut vouloir s'acharner à lier le "soi" à une quelconque signifiance marquée par un temps terrestre et quantifiable, au-delà et en deçà duquel "soi" n'est pas.
Mais poussant cette pensée contre ses coins, on saisis à un moment que l'on ne peut pas à la fois être et ne pas l'être..
Soit on reconnais être par la Volonté Suprême qui donne, à l'esprit limité par l'illusion de l'effet, une notion de temporalité pour organiser notre expérience;
Soit on continue à se confire dans des échappatoires réflexifs en attribuant le pouvoir à l'inertie qu'elle soit iconique, astrale ou "recyclique".
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Jevo a écrit:
Ton commentaire illustre bien mon propos.
Tant que l'on ne passe pas ce que notre frère appelle "blocage" ou porte si et lorsqu'elle s'ouvre à soi, on reste sur son pas.
On peut vouloir s'acharner à lier le "soi" à une quelconque signifiance marquée par un temps terrestre et quantifiable, au-delà et en deçà duquel "soi" n'est pas.
Mais poussant cette pensée contre ses coins, on saisis à un moment que l'on ne peut pas à la fois être et ne pas l'être..
Soit on reconnais être par la Volonté Suprême qui donne, à l'esprit limité par l'illusion de l'effet, une notion de temporalité pour organiser notre expérience;
Soit on continue à se confire dans des échappatoires réflexifs en attribuant le pouvoir à l'inertie qu'elle soit iconique, astrale ou "recyclique".