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La trajectoire professionelle
1 octobre 2013 21:45
Hello

Sans pour autant dévoiler votre vie professionnelle, pensez-vous faire le même métier toute votre vie ?

Yen a t il parmi vous qui se sont reconverti, qui ne font pas le métier pour lequel ils étaient destinés ou formés ?

De plus en plus de français quittent leur confort pro pour faire ce dont ils ont toujours rêvé quit à gagner moins d'argent, travailler plus, déménager etc ...; y a t il donc un problème de formation chez les étudiants ou nos aspirations pro évoluent avec le temps en fonction de différents facteurs (famille, argent, passions etc...) ?

Est-ce un luxe de changer d'orientation pro ou un parcours du combattant décourageant ?

Ou à l'inverse, vous ne quitteriez pour rien au monde votre petit confort quotidien ?
P
1 octobre 2013 22:00
Slt

Pour ma part ma vie professionnelle n'a rien à voir avec les études que j'ai entreprises.

Mais hamdullah je n'ai pas à me plaindre.

Faire ce que je fais toute ma vie... Non. J'ai déjà suppression d avoir fait le tour de ce que je dois savoir.

D'autres pistes en vue sans avoir besoin de changer de boîte pour le moment. Ça reste un avantage confortable, même si j'ai des inconvénients d'un autre côté.

Réorienaction professionnelle en France, ou alors virage à 360° ?
C'est chaud, mais faisable. En France si t es boulanger et que tu veux devenir comptable, on va te dire que ton parcours est incohérent et t'as pas l'air de savoir ce tu veux.
Moi je réponds faux !!!
Un boulanger (artisan) est un gérant à part entière, il fait de la finance, du rh, du social, du commercial.
Qu'y a t il d'incoherent ?

Le système latin est borné aux diplômes et sans ça tu n'accèdes pas (ou peu facilement) à n'importe quel poste.

Contrairement au système anglo saxon qui prive sur l expérience.
Tu fais tes preuves, c'est ok
Tu fais pas tes preuves, tu vas voir ailleurs

C'est pas plus mal

Je connais une fille qui avait un CAP coiffure en France, elle est partie en Angleterre, à tenté sa chance, et est maintenant devenue auditeur financier

Cherchez lerreur ?
Il faut dissocier l'erreur humaine de la c.onnerie humaine
2 octobre 2013 12:38
salam,

je voulais faire un truc près de la nature, alors forcément quand on est en 3ème et que l'on dit à son père (ancien sera7) : "papa, je veux faire le lycée agricole", ton père il devient fou et te dis "fella7? non jamais, tu seras abouca oula doctor oula fkih, mais pas fella7"

bon autour de moi, tout le monde est d'accord pour dire que j'ai réussi, pas dans ce que voulait mon père exactement, enfin pas moi, mais frères et sœurs sont pas mal, hmdl...

voilà tu es derrière un bureau, tu fais des choses que pas beaucoup de monde comprend, tu es en sorte un Walter White en puissance, mais tu sers la cause de la finance mondiale, toi qui rêvait d'être proche de la terre et des gens, mais bon ton salaire paie le crédit de ta résidence principale, calme les caprices de madame et les enfants, ton statut en jette dans le quartier pourri de ton origine.

alors que faire? attendre que ton global vp manager te dit "digage saloupar"?

je me met à rêver de tout quitter, pas de devenir fella7, mais d'être plus près des gens, je me met à jalouser les artisans, le mec qui sait même pas ce qu'est une fonction affine, mais il n'a pas d'hypertension, il ne sait pas ce que c'est le stress, ni l’arythmie du cœur, ni à supporter un chefaillon, et les moqueries de la "haute" envers les petites gens.

voilà, si tu devais choisir, fais un truc qui te plais, ingénieur salarié d'un employeur c'est comme mon père OS dans une usine, tu fais ce que veut ton chef ;-)
2 octobre 2013 13:00
Salam

Ma vie professionnelle maintenant, n' a rien avoir avec les études que j' ai fais avant, et si j' aurai une proposition à changer de métier aujourd’hui, je le changerai sans hésitation mais pour un poste plus important que celui que j' occupe en ce moment. J' aime avancer en tout et jamais baisser les bras.
2 octobre 2013 14:04
Citation
heywa a écrit:
Hello

Sans pour autant dévoiler votre vie professionnelle, pensez-vous faire le même métier toute votre vie ?

Yen a t il parmi vous qui se sont reconverti, qui ne font pas le métier pour lequel ils étaient destinés ou formés ?

De plus en plus de français quittent leur confort pro pour faire ce dont ils ont toujours rêvé quit à gagner moins d'argent, travailler plus, déménager etc ...; y a t il donc un problème de formation chez les étudiants ou nos aspirations pro évoluent avec le temps en fonction de différents facteurs (famille, argent, passions etc...) ?

Est-ce un luxe de changer d'orientation pro ou un parcours du combattant décourageant ?

Ou à l'inverse, vous ne quitteriez pour rien au monde votre petit confort quotidien ?

salam
oui je pense faire le meme metier tout ma vie, je ne me vois pas ailleurs, et depuis le collegue je savais ce qui me correspondait .
sauf que bien sur , j'aspire a évoluer dans le domaine dans lequel je suis.
j'ai encore quelques compétences a acquerir avant de pouvoir donner les ordes ( chef) lol...

oui il y a un probleme de formation chez les jeunes, ils vont a la fac mais ne savent pas pourquoi.
et la fac il n'y a pas de selection , tout le monde peut y acceder ; et parfois tu en ressors sans diplome .
c'etait juste un ex.
mais oui c'est un luxe de changer d'orientation , car une fois que tu travailles , tu es dans le bain, ca me semble un peu difficile de tout recommencer quand tu n'as pas trop les moyens.
mais j'en connais qui l'ont fait des annés apres, qui ont repris des etudes meme de 4/5 ans alors qu'ils etait eté diplomés dans un autre domaine. quand il y a la motivation , c'est faisable.
enfin pour moi, je ne le ferais jamais . car rien d'autres qui m'interesse pour le moment .

salam
a
3 octobre 2013 10:13
Salam Bye

Pour ma part, j'ai eu un parcoure scolaire assez chaotique, j'ai grandi dans une Cité ou je vie encore
et comme beaucoup j'ai était formaté au "" Mais c'est bon avec vos études, il y a pas de travail pour nous
regarde comme les grand frères galère avec leurs bac+8, j'avais des arguments
bidon mais des exemples concret, au lieu de me mettre des gifles
on mais laissé dans mon délire, et je me suis bien cassé la figure.
J'ai mis fin à mes études à 18ans, et je suis partie a l'aventure ....... heu lol on peut appeler ça comme ça
car dans ma jungle de béton, j’étais ce macaque parmi des centaines.

Al hadoulillah, j'avais ma passion, mon crevè galère comme j'aimais bien la décrire.
C’était l'informatique (:
J'ai découvert cet univers qui ma impressionné, j'avais soif de connaissance car ça évolue constatent
moi qui n'avait jamais lu un Livre de ma vie, je me suis mis a lire des milliers de pages
avec un appétit d'ogre.

Cela ma pousser plus loin que l’informatique, j'ai explorer tous ce qui pouvez m’intéresser
j'en ai donc tirer le meilleur, et aujourd’hui je suis en quelque sorte un Multitâche, car

Je suis technicien informatique, vidéaste, Graphiste, et web designer.

Cela me plait beaucoup, et je n'ai pas besoin de reconversion car je jongle habillement entre eux tous.

Aujourd'hui, après la tempête le beau Temps est la,
3 octobre 2013 15:56
Salâm Heywa,

Intéressant comme post.
Je me disais justement il y a peu que ma trajectoire n'a jamais été et ne sera jamais droite. Je la trouve au contraire méandrique (ça existe ?)mais cohérente. Et elle me plaît bien comme ça...



Citation
heywa a écrit:
Hello

Sans pour autant dévoiler votre vie professionnelle, pensez-vous faire le même métier toute votre vie ?

Je n'ai pas encore de métier.
Faire le même métier toute ma vie ne me dérangerait pas. En revanche, il faudrait que ce soit un métier dans un domaine en mutation permanente, où ma curiosité ne cesserait d'être toujours plus grandissante, et où je pourrais en apprendre constamment. Un métier où je serais exigeante avec moi-même, où je pourrais apprendre des autres et où en retour je pourrais apporter un nouveau regard.

Mais je pourrais aussi être du genre à décider à 40 ans par exemple de tout plaquer pour tout recommencer, et me lancer dans quelques chose de tout à fait différent. Trapéziste ou couturière... Malgré mon arthrose !


Yen a t il parmi vous qui se sont reconverti, qui ne font pas le métier pour lequel ils étaient destinés ou formés ?

Je suis au stade où je me forme encore. Mais à en juger par mon parcours, je me suis réorientée deux fois (bon, c'est pas un grand écart non plus !), mais bizarrement toujours dans une même logique.
Je trouve toujours une certaine cohérence dans ce que je fais, je suis toujours un même fil conducteur.

De plus en plus de français quittent leur confort pro pour faire ce dont ils ont toujours rêvé quit à gagner moins d'argent, travailler plus, déménager etc ...;

C'est ici une question d'aspirations... Quand on est jeune on a certains objectifs, certains rêves... Avec le temps, les ambitions s'affinent... Les rêves sont plus mûrs.
Il arrive forcément un moment où on se remet en question professionnellement... Certains se rendent compte qu'ils se trouvent dans un schéma qu'ils ont choisi plus jeune, mais qui ne leur correspond plus une fois avancés dans la vie. Alors, oui, vient le moment peut-être d'opérer un nouveau tournant dans leur vie... Et ils ont bien raison !


y a t il donc un problème de formation chez les étudiants, ou nos aspirations pro évoluent avec le temps en fonction de différents facteurs (famille, argent, passions etc...) ?

Bonne question et beau paradoxe aussi.
Tout le monde s'accorde à dire que la formation des étudiants souffre de nombreux problèmes (d'orientation, de moyens, de compétition fac-grandes écoles, de débouchés...). Et bizarrement, les solutions apportées ne font qu’entériner ces mêmes-problèmes.
A-t-on vraiment envie de faire quelque chose pour mieux accompagner les étudiants ?

J'ai à plusieurs reprises remarqué que c'est qu'une fois que les étudiants sont en fin de cursus qu'ils ouvrent les yeux sur la réalité de leur formation. C'est en L3 qu'on découvre que les Masters sont sélectifs et qu'il n'y a pas de place pour tout le monde. C'est en M2 qu'on se rend compte que le doctorat, faut pas compter dessus. Donc après 5 ans dans une filière, il faut revoir ses critères à la baisse.
J'ai une amie qui a fait une Licence Histoire de l'art, puis un double master : Sauvegarde du Patrimoine / Archéologie. Elle n'a pas pu s'inscrire en thèse.
Aujourd'hui (3 ans après obtention de son diplôme), elle garde des enfants en attendant de postuler pour bosser dans un musée, où elle n'aura pas un poste à la hauteur de ses études.

Il est où le souci ? Il provient tant de la formation qui recrute des étudiants et qui les abandonne après s'être servis d'eux, que de la politique incapable de répondre à leurs besoins, que des étudiants eux-mêmes qui ne pensent pas à se remettre en question et qui s'entêtent dans une voie qu'ils savent sans issue.

Pour éviter ce genre de déconvenues mille fois observées, peut-être faudrait-il traiter les problèmes en amont de la sortie au baccalauréat... En France du moins.

En France, je ne sais pourquoi, on s'entête à envoyer le plus de monde possible en Général afin de passer le bac (au rabais).
Je me souviens de quand j'étais lycéenne, on nous classait en fonction de nos résultats et non de nos aspirations. Parce que dans notre système français, seul comptent les notes, le prestige et les mentions. Pas les aptitudes, pas les rêves, pas la personnalité de l'élève et encore moins ses besoins.
C'était : "t'as les notes pour aller en Scientifique, tu vas en S... T'as les notes pour aller en Scientifique, mais tu veux suivre une Littéraire... Ben coupons la poire en deux, tu iras en Eco-Société... Tu veux faire une ES, mais t'as pas les notes... Va en L !". Et ensuite, une fois que t'as bien commencé ton année, les bruits de couloir t'apprennent que les Littéraires c'est des feignasses qui ne feront pas grand chose de leur vie, les S, c'est l'élite, futurs médecins... Et les ES, ceux qui iront à la fac, en droit ou en éco. Les meilleurs tiendront le rythme, et les moins bons iront bosser à Mcdo !

Au collège, c'est la même chose. Je prends l'exemple de mon ptit frère.
En 3ème, il a assurée le minimum (au maximum !!!).
Les cours ont débuté en septembre.
Fin du deuxième trimestre : avis défavorable pour aller en 2nde Générale.
En avril, à deux mois du brevet, de la fin de l'année et en pleine orientation, on nous fait parvenir (via mon ptit frère, sans rendez-vous donc !), une liste de voeux à remplir pour des CFE ou des CAP.
Mi-mai, mon ptit frère est convoqué chez la conseillère d'orientation, qui juge bon de lui demander ce qu'il a envie de faire dans la vie. Il lui répond qu'il a étudié les offres de CAP et qu'il entend postuler pour un CAP Menuiserie, et que pour mettre les chances de son côté il a décidé de mettre les bouchées double et de faire un bon troisième trimestre. Elle lui répond que c'est bien, mais que comme il lui faut trois voeux d'affectation il doit réfléchir encore.
Début juin, ma mère est convoquée chez le principal qui réunit les parents de ceux qui n'iront pas en Général (la générale est une affection de droit alors que les autres se font au travers d'une sélection).
Mon frère en prend pour sa pomme, le principal ne se garde pas de nous raconter toutes les pitreries de mon frère, qu'il n'aura pas son brevet, qu'il ne sait pas ce qu'il veut faire de sa vie, et qu'il y a que très peu de chance pour qu'il soit accepté dans un autre lycée... Ce à quoi je réponds "qu'attendiez-vous pour nous convoquer ?". C'est vrai, pourquoi le faire en juin, quand tout est fini ?
Fin juin, mon frère passe son brevet, les affectations sont faites. On reçoit la réponse quelques jours après : refusé dans ses trois choix (et j'approuve la décision des lycées de l'avoir refusé, puisque d'autres ont su se montrer plus méritants, pkus sérieux tout au long de l'année);

Début juillet : ma mère est convoquée chez la conseillère d'orientation qui lui propose d'autres solutions pour ne pas qu'il se retrouve à la rue. Assister à des formations, ou formation en alternance pendant 6 mois... Et donc quitter le système scolaire. Pour un gamin de 16 ans immature, complètement perdu.
Je ne tiens plus ma langue et fais part de quelques réflexions à la conseillère d'orientation. Je lui fais remarquer en me basant sur mon expérience, sur celle de ma soeur et celle de mon frère que le système éducatif souffre de grands dysfonctionnements, et plutôt que de tenir pour responsable l'éducation nationale sur qui on aime bien taper (à juste titre), c'était d'abord le collège-même qui avait des failles (j'ai pour ma part été dans un collège différent, et donc je pouvais me permettre de jouer les critiques !).
Ce qui aurait dû être fait, dans un premier temps, c'est de convoquer les parents des turbulents mais aussi ceux des élèves en grandes difficultés (qui ne sont pas forcément ceux qu'on entend le plus, parce qu'ils ne se font pas remarquer) dès la fin du premier semestre (en décembre).
Parallèlement, convoquer les élèves concernés et les suivre, en les réunissant par exemple tous les mois (faut pas trop leur en demander non plus, hein !), ensemble, histoire de leur faire sentir qu'ils ne sont pas les seuls à être perdus, qu'ils ne doivent nourrir aucune honte parce qu'ils ont des difficultés à suivre. Les prendre également individuellement pour voir ce qui ne va pas et comment les aider.
A l'issue du deuxième semestre, lorsque l'avis premier pour les affectations tombe, prendre réellement les choses en main. Il ne leur reste qu'un semestre. Un élève qui sur deux semestres n'a pu avoir un avis favorable pour une Général, ne pourra que difficilement l'avoir au troisième semestre.
Donc commencer dès ce moment-là à démarcher les alternatives : CAP / CFE / Professionnel / redoublement...
Bref, tant de choses, je lui dis, auraient pu être faites.
Et je pointe ce qui n'a JAMAIS été fait : s'intéresser à l'élève en question. Plutôt que de faire un fixette sur ses notes, ses bulletins, ses remarques dans le carnet, essayer de le comprendre. Lui demander qu'elles sont ses désirs, ses besoins, ses rêves. Lui éclairer la pensée : lui montrer quels sont ses atouts, ses forces, et non pas que ses faiblesses. Le sonder, le faire parler.
De même pour les turbulents, les absents, les effacés qui sont en difficultés. Voir ce qui les tracasse. Peut-être ont-ils des problèmes à la maison, peut-être ont-ils des problèmes personnels... C'est le temps de l’adolescence...

Bref, j'ai bousculé, mais en douceur la conseillère d'orientation, qui ne m'en a pas tenu rigueur d'ailleurs.
Puis, les résultats du brevet tombent : mon frère a son brevet, alors que tout le monde ne jurait que par son échec. Le même jour, on reçoit un coup de fil d'un lycée, qui nous dit que suite à un désistement, il accorde à mon ptit frère le voeu qu'il avait formulé : CAP Menuiserie. Mon ptit frère était sur liste d'attente, et ils attendaient les résultats du brevet pour trancher. Al hamdullah...

Ceci pour montrer l’aberration de notre système français, qui ne jure que par les notes et les résultats.
Les bons élèves dans certaines voies (université, Sciences Po, Grandes écoles...), les moins bons dans d'autres (CAP, BTS, Formations qualifiantes...).

Est-ce que c'est ainsi qu'on devrait classer les étudiants ? Non.
On devrait plutôt les classer en fonction de leurs aspirations, de leurs attentes, de leurs aptitudes pas seulement scolaires, mais aussi personnelles, physiques. Et les classer dès le collège.

Il faudrait arrêter de cliver les formations : non, aller en Général n'est pas plus prestigieux que d'aller en CAP. Et non, être plombier n'est pas moins gratifiant que d'être prof, et être infirmière n'est pas moins gratifiant qu'être avocat.

Tout ne devrait dépendre, non pas des notes et des résultats des élèves ou de la profession de leurs parents, mais bien des capacités et aptitudes physiques (plombier), intellectuelles (prof), relationnelles (infirmière ou avocat)... Si chacun visait en fonction de ce pourquoi il est bon et doué, et selon ce qui lui plaît, et non en fonction d'une hiérarchie désabusée, on aurait moins de problèmes quant à ta question.

La honte, c'est qu'un étudiant avec les capacités de faire un métier A se retrouve à faire un intérim Z... Et c'est tellement courant.



Est-ce un luxe de changer d'orientation pro ou un parcours du combattant décourageant ?

Non... Pas un luxe. Un désir à concrétiser si on en a l'envie et la force...
Si demain, mon orientation ne me convenait pas, je changerai sans une once de culpabilité ou de regret... Tant que ça me plait et que je m'y sens bien, je reste et je m'améliore... Le jour où j'aurais des envies d'ailleurs, je m'en irai...

Mais, relativise mes propos... Je ne suis pas mariée, et n'ai pas d'enfants... Donc pas de responsabilités à proprement parler.


Ou à l'inverse, vous ne quitteriez pour rien au monde votre petit confort quotidien ?
Les études, le métier m'apportent... J'apprends...
Mais si les aléas de demain faisaient que je doive retrousser mes manches pour aller faire du ménage... Je le ferai... Et je continuerai à satisfaire ma curiosité...

Waw... J'ai été longue !!! Pas grave, c'est un bon sujet.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 03/10/13 16:00 par Sarazinement Vôtre.
 
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