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Cawit a écrit:
Mais j'ai tout lu moic'st bien pour ça que j'ai dit que j'étais pas d'accord, d'ailleurs toi tu en penses quoi?
Mdrrr oui si tu savais le nombre de fou rire que je me tape
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PunkyBrewster a écrit:
Salam aleykoum,
Quand nous tissons des liens que ce soit amicaux ou dans un projet de mariage, il y'a la phase de connaissance. Les protagonistes apprennent à se connaître, à se poser tout pleins de questions. Mais bien souvent, ce que l'on recherche à travers les réponses de l'autre c'est le fait que cela puisse répondre à nos propres attentes. Quand on vous demande ce que vous aimez chez l'autre, pour beaucoup ça sera il est gentil avec moi, il me flatte, il panse mes peines ( j'ai pris le cas d'une relation dite "amoureuse"ou alors tout simplement, je l'aime sans raison!
Combien ont connus véritablement des personnes au point que si l' on parle d'elle à une tiers personne nous arrivons à sentir ce qu'elle est réellement?
Nous apprécions au final que ce que l'autre nous renvoie. L'autre est devenu un réceptacle face à nos propres frustrations, un exutoire où entretenir une relation nous permet d'oublier ou alors un miroir s'aimer soi-même à travers l'autre.
Je reste stupéfaite des personnes qui ne demandent pas ce que l'autre à fait comme études, comment a été son enfance, sa place dans la fratrie.... Le passé si il est évoqué c'est simplement pour s'assurer qu'une fdeha ne nous revienne pas en pleine face, que le mal de l'autre ne puisse pas nous déshonoré. Encore une fois, on s'assure que l'autre puisse bien correspondre à nos attentes ou plutôt à la check list établi depuis des lustres! Pour les personnes éprouvées, n'attendez pas quelconque compassion. On vous posera des questions juste pour l'expérience. "Ah ouais ça fais quoi???"
On en revient toujours à la fameuse consommation qui a touché les liens sociaux. Si le crédit immobilier s'est démocratisé et au sein même de notre communauté. Elle a également touché les liens entres nous. Je te parle, j'envisage de m'unir ou de copiner avec toi car j'ai un intérêt.
Alors il est légitime de vouloir chez l'autre le bien et c'est même honorable mais faire fit de qui elle est réellement c'est moyen.
De ma modeste expérience, j'ai eu le privilège de connaitre une personne pour ce qu'elle est réellement et soubhan Allah elle a eut cette même démarche à mon égard. Cette même personne a rencontré des personnes au long de sa vie qui lorsqu'elle m'en parle j'arrive à percevoir les qualités de celles-ci.
Alors avez vous connu une personne pour ce qu'elle est réellement ou pour ce qu'elle parait être?
Merci pour les courageux(se) qui ont tout lu
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Pensée sauvage a écrit:
Pour ma part, je ne ressens pas les choses comme ça dans mes relations.
En amour, c'est la personne que j'aime, pour ce qu'elle est.
Pareil en amitié (j'ai très peu d'amis)
Après le mariage est sensé nous apporter quelque chose de positif, on aime aussi son conjoint pour ce qu'il nous apporte, pour ce qu'il fait pour nous.
L'amitié aussi et nourri de bienfaisance.
Je ne tisse pas de liens d'intérêt, car je suis assez indépendante.
Je ne me permets pas de demander quelque chose pour mon intérêt à quelqu'un qui ne fait pas parti de mes proches, et c'est plutôt de l'entraide.
Le sentiment amoureux est nourri d'émotions positives.
Donc le fait qu'une personne soit gentille avec nous, nous aide, nous valorise, etc, ça peut faire naître le sentiment amoureux ou le nourrir, mais ça ne suffit pas à un amour véritable et durable.
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freeAssange a écrit:
Je suis complètement d'accord avec sa logique, ou sa perception du lien et du comment on devrait procédé.
Dans son 1er paragraphe elle expose un aspect d'une grande ampleur sur la relation, et qui avait qlq peu été sujet de mes réflexions y'a un temps.
e ne suis pas contre l'idée du questionnaire auquel on a l'habitude d'entendre dans les débuts, mais je me dis que qq part ça rétracte la personne, laquelle personne agira dans l'optique de plaire à défaut du soi original, de cette future ouverture et symbiose, puisque le procédé ne le permet pas.
Donc je suis parvenu à l'idée que si la majorité des couples ne sont pas dans le confort interne, c'est peut être dû à cet automatisme tant morale et comportementale qui colle à la société.
On souhaite tous être avec qqn qui cherche à découvrir ce qu'on est dans le fond, cet être en cage en notre sein etc, qqn qui fait sortir le meilleur en nous, c'est ça le confort interne, rare sont ceux qui y parviennent.
Anyway, me faudra écrire un livre pour arriver au bout de ce sujet, puis comme on est dans l'époque de la choucroute à cause du manque d'originalité, les gens peuvent crever.
Ouais il est long mon texte quand même.
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PunkyBrewster a écrit:
Salam aleykoum a ouma ino,
C'est tout à fait ça tu as comme une autre posteuse Ahwal je crois, su comprendre où je voulais en venir.
Un point de vue masculin est toujours empreint au pragmatisme et cela apporte une certaine complémentarité.
Merci
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simplissime75 a écrit:
J'ai déjà lu ce texte dans une étude les mêmes phrases, mots .
Quelques mots à toi différencies l'étude que j'ai lue et ce texte .
On a lu la même étude ?
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