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a toi
w
30 octobre 2004 11:23
Cette distance réduite d'un clic

Me parait encore bien ennuyeuse

Cette personne au prénom de A....

Suscite en moi de pensées merveilleuses

Sachez fort bien mademoiselle

Qu'aucun de mes sens ne voudraient vous ignorer

Vous êtes, j'en suis convaincu, très belle

Et le plus chevronné de ces sens serait de vous touché !

................smiling smiley
B
30 octobre 2004 12:24
Juste une petite question. A qui tu écris ces poèmes ????
Ben quoi 0-°
r
30 octobre 2004 14:21
exacte belle !! cest ki A ???? smiling smiley

surment une jolie demoiselle smiling smiley
w
31 octobre 2004 00:22
........met un point final .


************************** T H E E N D ******************************
s
sa
31 octobre 2004 00:31
Hein j'ai pas compris ? eye rolling smiley

Après m'avoir dévisagé, il est juste de m'envisager...
B
31 octobre 2004 05:53
sa a écrit:
-------------------------------------------------------
> Hein j'ai pas compris ?
>

sad smileysad smileysad smiley moi aussi rien compris grinning smiley
Ben quoi 0-°
31 octobre 2004 11:19
Vous n’avez rien compris les filles, c'est de moi qu'il s'agit, whiteangel a écrit : Cette personne au prénom de A.... ,en rajoutant les lettres manquantes cela fait « aicha » maintenant circuler il n'y a rien à voir, laisser moi seule avec cet ange blanc tombé du ciel, mais à propos c'est une fille ou un garçon ???? mais qu'importe-moi aussi je vais lui dédier un poème

My white angel
Au bord du crépuscule à l'heure
où le jour chante à demi-voix,
où ni le jour, où ni la nuit
ne peuvent se départager,
à l'heure même où l'on hésite
à croire que l'on existe,
à l'ombre de mon ombre, un ange,
le plus beau qui se puisse voir,
un ange de toute blancheur,
-- ange de neige, ange d'hiver --
est venu soudain murmurer
mon nom, dans l'ombre que j'étais.
C'était l'heure du crépuscule,
où l'on prend peur, où l'on hésite
à croire que l'on fut, un jour,
celui qui voulut nous survivre.

Il fallait cette solitude
du jour qui chante à demi-voix,
cette minute, ce silence
où, d'un côté, le jour s'égare,
où, de l'autre, la nuit attend.
Mais lorsque l'ange eut dit mon nom
il ne fit plus ni nuit ni jour;
tout avait changé de couleur,
tout revenait d'un autre monde
-- d'un monde où l'on est sans regard,
où la main n'est plus une main,
où l'ombre ne cherche plus l'ombre
pour devenir ce qu'elle était.

L'ange avait replié ses ailes
pour ressembler à tout le monde;
il les tenait entre ses bras:
elles eussent pu s'envoler.
Il mettait ses pas dans les miens,
et ses pas étaient de silence,
d'un silence de jour de neige
quand c'était un soir de printemps.
Le bel ange blanc, dans mon ombre,
ne laissait briller sous ses pas
qu'un long sillage d'ombres blanches.

Il avait dit mon nom. Ce fut
une étoile qui vint au ciel
et puis une autre, une autre encore
et tant et tant qu'on ne vit plus
le ciel, mais un buisson d'étoiles
dont les plus belles écrivaient
toutes les lettres de mon nom.
Et, maintenant, il faisait nuit,
et je marchais les yeux fermés,
la main dans la main de mon ange.

Tout le silence était de neige,
comme une neige de printemps,
toute la nuit était silence
et le silence était en moi
qui n'était plus que mon silence,
lorsque mon ange de silence,
mon ange de neige et d'hiver
quitta mon ombre pour la sienne
et déploya toutes ses ailes
et me prit dans leur transparence
et m'emporta si loin du ciel
que je crus mourir de moi-même.

Alors, soudain, je vis paraître
tous ceux qui portaient mon visage
et qui ne me ressemblaient plus,
ceux que je n'avais pas été,
ceux qu'en moi j'avais espérés,
ceux qu'ailleurs j'avais attendus,
ceux qui m'avaient en vain cherché
et ne m'avaient pas reconnu,
ceux qui portent toujours le masque
des rendez-vous imprévisibles,
ceux du hasard, du coup de foudre,
ceux que l'on tient contre son cœur
et que le cœur doit ignorer,
ceux dont on peut mourir d'amour
quand l'amour est cette blessure,
cette absence, la solitude
qu'on est seul à pouvoir entendre.
Ils étaient là, tous mes visages
que je n'avais pas su subir.
Ils étaient à ma ressemblance
mais je ne les connaissais pas.

Une voix cherchait dans la mienne
toutes les voix de ces visages
et j'écoutais toutes ces voix
dans les chansons que l'ange blanc
chantait au fond du grand ciel noir.
Et j'écoutais toutes ces voix
dans celles que j'avais fait taire,
sans le savoir, sans les entendre,
un soir de mon adolescence
où j'avais cru tenir en moi
tous ceux pour qui j'etait voué,
tous ceux à qui j'étais promis,
sans le savoir, au cœur des limbes,
au cœur des limbes bienheureuses
où il ne fait ni nuit ni jour
-- un soir de mon adolescence
à l'heure où le jour et la nuit
ignorent qu'il est un partage
plus difficile qu'un aveu,
où l'on se trompe de mystère
-- où mon mystère rassemblait
tant de visages sur le mien,
tant de visages sans regard
qu'il ne m'eût pas été permis
de leur donner chair et regard.

Alors, l'ange réapparut
et me dit: "Ne regrette rien
quand tu n'as rien a regretter!
Qui t'a donné le droit de vivre?
Tu n'as pas eu le droit de vivre
puisqu'on ne l'accorde à personne,
puisqu'on ne l'achète qu'avec
le plomb de la fausse monnaie.
Il faut accepter de subir
tout ce que nous devons subir
pour étouffer notre existence.
Tu n'as pas eu le droit de vivre.
Tu n'as pas eu le temps du choix
puisque pour vivre il faut choisir.
Tu n'as pas choisi ton visage,
ton cœur, ton sang, ton apparence;
tu n'as pas choisi ton fantôme,
ni ton double, ni ton témoin;
tu n'as pas choisi ta souffrance,
tu n'as pas choisi cet enfant
qui décida de ton destin
(il était debout, contre un arbre,
et regardait, entre les branches,
les chemins qui menaient au ciel
quand la nuit les multipliait);
tu n'as pas choisi ton amour,
ni même l'ombre de l'amour
-- tu ne t'es même pas choisi
parmi ceux dont tu désirais
l'accomplissement infini.
Mais celui qu'en toi tu respires
celui qu'invisible je vois,
celui qui fait battre mes ailes
dans le vent précis de ton cœur,
celui qui guette ton silence
pour n'être plus que le silence
auquel tu dois être voué,
au cœur des limbes toutes blanches,
au cœur des limbes bienheureuses,
celui que tu n'as pas pu vaincre,
me diras-tu, cœur contre cœur,
ce que tes remords en ont fait?"
Et l'ange a fait battre ses ailes
et s'est enfui comme l'on meurt
en répétant tout bas mon nom
-- mon nom qui se multipliait
dans un royaume de nuages
où mon corps se multipliait
et qu'il n'était plus d'autre étoile
que la mienne au ciel de mon nom.

Et, depuis, lorsque revient l'heure
où le ciel chante à demi-voix,
où ni le jour, ou ni la nuit
ne peuvent se départager,
où je me trompe de mystère,
je sens passer sur mon visage
l'ombre de tant de ressemblances
et de tant de profils perdus
que je ne sais plus qui je suis:
cet étranger qui me regarde
de tous les yeux qu'il m'a donnés
et qui ne peuvent plus s'ouvrir
où l'inconnu que je regarde
d'un regard qui n'est pas à moi
et qui ne me révèle rien
qu'une ombre ou mon ombre se perd.




Modifié 3 fois. Dernière modification le 31/10/04 11:42 par aicha.
La vie est un CDD. lorsque tu seras DCD, l'au delà sera ton CDI ,améliores ton CV en attendant ton Entretien.Allah punit les injustes tot ou tard !
B
31 octobre 2004 12:09
Auteur: aicha (IP enregistrée)
Date: le 31 octobre 2004 à 11h19


>>>>Vous n’avez rien compris les filles, c'est de moi qu'il s'agit, whiteangel a écrit : Cette personne au prénom de A.... ,en rajoutant les lettres manquantes cela fait « aicha » maintenant circuler il n'y a rien à voir,

Aicha tongue sticking out smileytongue sticking out smileytongue sticking out smileytongue sticking out smiley

Tout le monde à un admirateur grinning smileygrinning smileygrinning smiley sauf mouaaaaaaaaa
sad smileysad smileysad smileysad smileysad smileysad smileysad smileysad smileysad smileysad smileysad smileysad smileysad smileysad smileysad smileysad smileysad smileysad smileysad smileysad smileysad smileysad smileysad smileysad smileysad smileysad smileysad smileysad smileysad smileysad smileysad smileysad smiley:
Ben quoi 0-°
31 octobre 2004 12:25
Belle tu sais j'ai dit ça pour plaisanté, car je ne crois pas que whiteangel s'adresse à moi en particulier, mais ses poèmes sont tellement beaux que pour une fois que je pouvez mettre mon grain de sel, je ne me suis pas gêner.
J'espère qu'il ou elle ne m'en voudra pas de trop, et je voudrai aussi l'encourager à continuer, même s'il n'y a pas de réponse à ses sujets cela ne veut pas dire que cela ne plait pas, mais simplement qu'il y a des personnes qui préfères ne pas répondre, que de répondre n'importe quoi
La vie est un CDD. lorsque tu seras DCD, l'au delà sera ton CDI ,améliores ton CV en attendant ton Entretien.Allah punit les injustes tot ou tard !
r
31 octobre 2004 12:50
snif snif et moi!!!!
r
31 octobre 2004 14:57
Auteur: aicha (IP enregistrée)
Date: le 31 octobre 2004 à 11h19


Vous n’avez rien compris les filles, c'est de moi qu'il s'agit, whiteangel a écrit : Cette personne au prénom de A.... ,en rajoutant les lettres manquantes cela fait « aicha » maintenant circuler il n'y a rien à voir, laisser moi seule avec cet ange blanc tombé du ciel, mais à propos c'est une fille ou un garçon ???? mais qu'importe-moi aussi je vais lui dédier un poème


laisse moi te dire tres chère aicha
whiteangel est mon ange du yab et ke ce poème est destiné a une personne de son choix

sur ce je te laisse tres chère aicha en te souhaitant un bon ftor winking smiley

amicalement rifia1 smiling smiley

salam whiteangel smiling smiley ...
31 octobre 2004 17:52
rifia qui te dit que whiteangel, n'est pas le mari d’aicha !
Soyez surtout capables de ressentir, au plus profond de vous-mêmes, toute injustice commise contre quiconque en quelque partie du monde. C’est la plus belle vertu d’un révolutionnaire
r
31 octobre 2004 18:15
draco

<<rifia qui te dit que whiteangel, n'est pas le mari d’aicha <<<


porque je le connais!!! grinning smiley

cest lange du yab smiling smiley et il n'est point marié winking smiley

sacré dragon djamel grinning smiley
31 octobre 2004 18:33
tu dois avoir une belle liste d'hommes célibataire marier sans que tu le sache, tu es bien naïf rifia sur Internet personne ne connait personne et ton ange et peut être un démon dans la réalité, et toi-même tu fais la petite sainte, mais je connait les filles de ton espèce il y en a plein mon lycée.
Soyez surtout capables de ressentir, au plus profond de vous-mêmes, toute injustice commise contre quiconque en quelque partie du monde. C’est la plus belle vertu d’un révolutionnaire
r
31 octobre 2004 19:37
draco

<<il y en a plein mon lycée.<<

oh le petit étudiant !!!! et tu viens jouer ds la cours des grands !!!!

to to to to c pas bien sa !! allez retourne a tes devoir et laisse les grands parler grinning smiley

tu as bcp de choses a apprendre grinning smiley

oust !!!!

s
sa
31 octobre 2004 21:52
Belle a écrit:
-------------------------------------------------------
> sa a écrit:
> --------------------------------------------------
> -----
> > Hein j'ai pas compris ?
> >
>
> moi aussi rien compris


grinning smiley grinning smiley grinning smiley peut etre qu'il n'y a rien a comprendre très chere Belle

smiling smiley

Tres jolies les trois poemes pour "toi"


Après m'avoir dévisagé, il est juste de m'envisager...
l
31 octobre 2004 22:07
Belle a écrit:
-------------------------------------------------------
> Auteur: aicha (IP enregistrée)
> Date: le 31 octobre 2004 à 11h19
>
>
> >>>>Vous n’avez rien compris les
> filles, c'est de moi qu'il s'agit, whiteangel a
> écrit : Cette personne au prénom de A.... ,en
> rajoutant les lettres manquantes cela fait « aicha
> » maintenant circuler il n'y a rien à voir,
>
> Aicha
>
> Tout le monde à un admirateur sauf mouaaaaaaaaa
> :
>
>
> __________________________________________________
> ___________________
>
> L'impossible amour d'une Belle et d'une Bête.
> Deux êtres que tout sépare vont unir leurs âmes en
> un chant sacré.
> Ils vont s'élever l'un et l'autre au delà des
> lois, des préjugés.
> Nous avons tous un peu d'elle, un peu de lui


voila tu est servie : je t'admire
"Hé ! bonjour, Monsieur du Corbeau. Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau ! Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le Phénix des hôtes de ces bois."
B
1 novembre 2004 06:13
l9bi7 a écrit:
-------------------------------------------------------
> voila tu est servie : je t'admire
>

l9bi7 smiling smiley

Je suis toute rouge. Faut pas que tu crois que je suis la fille dans rencontre.
sad smileysad smiley



Ben quoi 0-°
S
4 novembre 2004 19:14


Daha wa daha, wallahe ima khalaha ....white Angel Moulaha !!! you you youyyyye

winking smiley winking smiley winking smiley
l
5 novembre 2004 13:11
Belle a écrit:
-------------------------------------------------------
> l9bi7 a écrit:
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> > voila tu est servie : je t'admire
> >
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> l9bi7
>
> Je suis toute rouge. Faut pas que tu crois que je
> suis la fille dans rencontre.
>
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>
> L'impossible amour d'une Belle et d'une Bête.
> Deux êtres que tout sépare vont unir leurs âmes en
> un chant sacré.
> Ils vont s'élever l'un et l'autre au delà des
> lois, des préjugés.
> Nous avons tous un peu d'elle, un peu de lui



si je voulais lui parler a elle, je laurais fait a travers le site rencontre et pas par le forum winking smiley
"Hé ! bonjour, Monsieur du Corbeau. Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau ! Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le Phénix des hôtes de ces bois."
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