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RenAmamiya a écrit:
Un peuple saint d'esprit n'est-ce pas
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Ihya31 a écrit:
Il ne faudra pas passer un seul jour de ce ramadan sans en profiter pour invoquer intensément contre le peuple criminel et en faveur des palestiniens.
Que tout les coupables puissent périrent ici bas et dans l'au delà.
Ils n'échapperont pas à Dieu
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enicnaY a écrit:
par William Van Wagenen
Les artisans de la guerre d’Irak, tels Cambone, Rumsfeld, Feith & Wolfowitz, ont vu la dévastation engendrée comme un moyen d’arriver à leurs fins : neutraliser les menaces potentielles pour Israël.
La torture et les mauvais traitements infligés par Israël aux Palestiniens peuvent être comparés aux tactiques employées par les États-Unis pendant l’occupation de l’Irak, mais un examen plus approfondi révèle leurs origines distinctes, enracinées dans l’entité sioniste.
Les artisans de la guerre d’Irak, comme Cambone, Rumsfeld, Feith & Wolfowitz, considéraient la dévastation engendrée comme un moyen d’arriver à leurs fins : neutraliser les menaces potentielles pour Israël.
Cinq jours seulement après le début de la guerre contre Gaza, des soldats et des colons israéliens ont arrêté trois Palestiniens dans le village de Wadi al-Seeq, en Cisjordanie occupée. Déshabillés jusqu’à leurs sous-vêtements, ils ont eu les yeux bandés, ont été sauvagement battus avec un tuyau de métal, ont été photographiés pendant qu’ils subissaient leur humiliation et ont été soumis à l’indignité ultime : on leur a uriné dessus.
L’une des victimes, Mohammad Matar, racontant son calvaire au journal israélien Haaretz, a comparé cette barbarie au tristement célèbre scandale d’Abou Ghraib en Irak. «C’est exactement ce qui s’est passé là-bas», a-t-il déclaré. «Abou Ghraib avec l’armée [israélienne]».
Les humiliations sexuelles et les tortures infligées aux Palestiniens se sont poursuivies – et amplifiées – après l’invasion terrestre de Gaza par Israël deux semaines plus tard. Rapidement, les soldats israéliens ont détenu et humilié un grand nombre d’hommes et de femmes palestiniens, les soumettant à des abus sexuels dans divers centres de détention.
Le 21 février, Khaled al-Shawish a été le neuvième Palestinien mort dans les prisons israéliennes depuis le 7 octobre, probablement sous la torture.
Toutefois, les similitudes entre les tortures perpétrées contre les Palestiniens aujourd’hui et contre les Irakiens 20 ans plus tôt en Irak ne sont pas surprenantes. Israël et les techniques de torture mises au point par ses services de renseignement au cours de décennies d’occupation ont joué un rôle important et largement ignoré dans le scandale de la prison d’Abou Ghraib en 2004, notamment en recourant à l’humiliation sexuelle et au viol.
Les sous-traitants civils
Au lendemain de l’invasion illégale de l’Irak par les États-Unis en 2003, le général de brigade Janis Karpinski, qui n’avait aucune expérience préalable de la gestion des prisons, s’est retrouvée à superviser Abu Ghraib et d’autres centres de détention – 15 au total, dans le sud et le centre de l’Irak. Bien que la police militaire sous son commandement soit mal équipée pour les interrogatoires, le général de division Geoffrey Miller, tristement célèbre pour son mandat au camp X-Ray de Guantanamo Bay, a plaidé en faveur de leur implication dans le processus.
Karpinski a déclaré qu’après la visite de Miller, un grand nombre de contractants civils ont commencé à arriver à Abu Ghraib pour conduire des interrogatoires. Ces prestataires civils ont ensuite donné des ordres aux policiers militaires réservistes subalternes qui ont pratiqué les tortures décrites d’après les fameuses photos de torture publiées par la suite dans les médias.
Elle note en outre que les policiers militaires que l’on voit torturer et humilier des Irakiens sur les images divulguées ont été déployés à Abou Ghraib juste avant que les premières photos ne soient prises. Cela signifie qu’ils ont commencé à torturer les prisonniers irakiens de manière sophistiquée dès leur arrivée à la prison :
«Ils ont remplacé l’unité de la garde nationale qui y servait parce qu’elle était en mission depuis un an. Les soldats ne décident pas un beau matin d’aller torturer des prisonniers… Certaines photographies sont datées de la fin octobre ou du mois de novembre. Que s’est-il passé ?»
Parmi les sous-traitants chargés d’interroger les prisonniers se trouvaient des employés de la société de sécurité privée CACI. L’un des interrogateurs, Eric Fair, était en poste à la prison d’Abu Ghraib et dans la ville instable de Fallujah en 2004. Il a déclaré que les interrogateurs en Irak avaient appris à utiliser un instrument de torture connu sous le nom de «chaise palestinienne» par l’armée israélienne au cours d’un exercice de formation commun.
En janvier de la même année, le président de la CACI, Jack London, s’est rendu en Israël dans le cadre d’une délégation de hauts fonctionnaires du Congrès américain, de sous-traitants de la Défense et de lobbyistes pro-israéliens.
Au cours de cette visite, le ministre israélien de la défense de l’époque, Shaul Mofaz, a remis à London un prix lors d’un dîner de gala pour ses «réalisations dans le domaine de la défense et de la sécurité nationale».
La suite sur :
[ssofidelis.substack.com]
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Yehouda a écrit:
Exact, d'ailleurs ils leur proposent du café sans sucre.
Des sauvages !
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enicnaY a écrit:
Israël a torturé des employés de l’UNRWA pour qu’ils admettent faussement leurs liens avec le Hamas (Rapport)
L’agence des Nations Unies pour les réfugiés palestiniens affirme que certains de ses employés ont été torturés par le régime occupant pour admettre faussement que l’agence avait des liens avec le Hamas et ses opérations de représailles en octobre de l’année dernière.
Cette affirmation a été faite dans un rapport de février de l’Office de secours et de travaux des Nations Unies (UNRWA) qui détaillait divers cas de mauvais traitements dans les centres de détention israéliens contre des Palestiniens, dont plusieurs travaillant pour l’agence.
Le document indique que plusieurs membres du personnel palestinien de l’UNRWA ont été arrêtés par l’armée d’occupation israélienne à Gaza et que les mauvais traitements et les abus qu’ils affirment avoir subis comprenaient de graves passages à tabac, des simulations de noyade et des menaces de violence contre les membres de leur famille.
«Les membres du personnel de l’Agence ont fait l’objet de menaces et de coercition de la part des autorités israéliennes pendant leur détention, et ont fait l’objet de pressions pour faire de fausses déclarations contre l’UNRWA, notamment en affirmant que l’Agence a des affiliations avec le Hamas et que des membres du personnel de l’UNRWA ont participé à l’attaque du 7 octobre 2023», indique le rapport.
Outre les abus confirmés par les membres du personnel de l’UNRWA, les détenus palestiniens ont décrit de manière plus générale des allégations d’abus, notamment des passages à tabac, des humiliations, des menaces, des attaques de chiens, des violences sexuelles et la mort de détenus privés de soins médicaux, souligne le rapport de l’UNRWA.
Juliette Touma, directrice des communications de l’UNRWA, a déclaré que l’agence prévoyait de transmettre les informations contenues dans ce rapport non publié de 11 pages à des agences à l’intérieur et à l’extérieur de l’ONU spécialisées dans la documentation des violations des droits de l’homme pendant la guerre israélienne contre Gaza.
«Lorsque la guerre prendra fin, il faudra mener une série d’enquêtes pour enquêter sur toutes les violations des droits de l’homme», a déclaré Touma.
Plus tôt cette année, le régime israélien a affirmé que 12 employés de l’UNRWA étaient impliqués dans l’attaque de représailles menée par le Hamas contre les territoires occupés le 7 octobre.
Tel-Aviv a également affirmé que 10% des 12 000 employés de l’UNRWA avaient des liens avec le Hamas.
Les allégations du régime contre l’UNRWA, qui n’ont pas été étayées publiquement par des preuves, ont incité plus de dix pays donateurs, dont les États-Unis, l’Allemagne, l’Union européenne, le Canada et le Japon, à suspendre leur soutien financier.
Le financement de ces pays constitue la majeure partie de tous les financements reçus par l’agence des Nations Unies.
Israël a lancé la guerre contre Gaza le 7 octobre après que des groupes de résistance palestiniens ont mené une opération surprise contre l’entité occupante en réponse à l’intensification de sa violence contre les Palestiniens.
Depuis le début de la guerre génocidaire, le régime de Tel-Aviv a tué 30 878 Palestiniens et en a blessé 72 402 autres.
source : [french.presstv.ir]- pour-qu-ils-admettent-de-faux-liens-avec-le-Hamas
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Yehouda a écrit:
Tu es sérieux ? Tu veux parler sérieusement ? Et ne pas t'appuyer sur des infos de propagande vérolées ? Est tu prêt à un tel exercice ? Sinon, seuls sarcasme et moquerie auront toute la place qui leur revient pour prendre distance avec la propagande et l'émotion qui submergent le cerveau et annihilent toute réflexion.
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Linpertinent a écrit:
Non je ne veux pas parler sérieusement puisque c'est complètement inutile.
Je suis là uniquement dans le but de te ramener sur Terre. C'est vrai que les 40 bébés égorgés et ceux retrouvés dans le four, ce n'est pas du tout de la propagande. C'est vrai que des officiels israël n'ont pas supprimés leurs tweet après leurs nombreuses bourdes 🙄
Excepté certains civils, il n'y a pas de gentils dans cette guerre mais stop faire passer l'armée du diable pour des enfants de chœurs.
La propagande en question :
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Yehouda a écrit:
C'est tout ce que tu trouves ? Nuisette et soutien gorge ?
Si tu penses que le Hamas c'est Mère Theresa...libre à toi.
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Yehouda a écrit:
Ah Ah Ah, c'est l'UNRWA (HAMAS) qui le dit. Croire sur parole.