lol adel, ben oui yen a d'autres lhamdoullah...on a pas dit le contraire ça n'est pas de l'admiration mais du respect et de la considération...
dommage que cela sucite tant de jalousie
la question n'est pas de savoir si son grand-père était ou non dangereux, il s'agit de lui Tarik Ramadan est de ses idées, pas de son père sa mère oula son voisin...
amar du sous, alors cette secte perverse( lol tu me fais penser à tf1 tu ferais un bon journaliste là-bas) déjà il n'y a pas de preuves sur le fait qu'il fasse partie de cette secte......ne serait ce qu'1%
et ces idées n'ont rien à voir, si son raisonnement est basé sur un islam tolerant qui doit être reconnu par les europeens, et pour l'integration eh bien si on l'a pas attendu je suis d'accord mais il attend le bus avec nous lui aussi... pour l'urss....sa popularité et blablabla ça n'a rien à voir, il y avait les states en face, c'est la vraie raison....pour tariq ramadan c'est les medias, ils veulent le decredibiliser....alors qu'il n'y a pas de raisons....
est ce que quand BHL fait une conférence, on lui parle des integristes juifs et des colons qui tue du palectinien????...non il fait sa conférence
Chireen, Ben Laden est la création des USA, alors qui nous dis que celui-ci n'en ai pas une autre !!!
Je constate qu'effectivement Tarik Ramadan n'est pas trés aimé par nos médias mais il ne tiens qu'à lui de montrer "patte blanche" ce qui est normale vu que certains dans notre communautée ont tendance à se radicaliser et adhérer aux premmier slogan religieusement-extréme !
c'est pas mon héros, c'est une personne que je respecte et qui donne une bonne version de ma religion mais qui sera decriée quoiqu'on dise mais c'est normal tant on trouvera des gens qui s'alignent sur ce que disent les medias..
et bonne recherche, trouve nous des choses censées qui le touche lui et pas sa grande mère ou sa cousine paternelle
ah ben c'est du beau, on critique sans savoir en plus !!
amar si tu fais des recherches sur lui, prend la peine de lire ses écrits, ne te contente pas de faire une revue de presse de ce qui a été dit sur lui...
L'émission "Envoyé Spécial" sur France 2 consacre un sujet sur Tarik Ramadan "l'intellectuel musulman contreversé", comme il l'appelle, ce soir. Pour ceux que ça intéresse... A quelle sauce va-t-il être mangé ???
Il ne l'ont pas totalement mangé, il reste une part de mystisisme... peut etre por faire peur.
Je viens de faire un tour sur différent sîte qui parle de Tarik Ramadan, j'ai constaté qu'à part les verts de Roubaix tous disent de lui qu'il est plus tôt "fanatique" j'ai pu lire entre autres que beaucoup lui repproche ses critiques vis à vis des intellectuels Juifs de France, il a dénoncé Bernard Henri Levy (pourtant BHL a pris position pour les bosniaques Musulmans). La question est: pourquoi tant de personnes célébres et de mouvements (même les chiennes de gardes) sont pas d'accord avec lui ??? Je pense que si je pouvais lire quelque chose de lui je serais peut être plus éclairé !! Ceci dit "il n'y a pas de fumée sans feu" !!!
contentes toi de distribuer des tracts au compte du PS ds les marches et , je vois pas pkoi tu interviens sur des choses qui, apparement te depassent et faire semblant de tout connaitre
Fahd75, si par malheur un jour tes ptits copains viennent au pouvoir au Maroc crois moi que je saurai pourquoi!! car à t'entendre il faut se la fermer et laisser faire, pas moi je ne suis pas "une Merza" que l'on méne par le bout du nez à l'abbatoire sans me battre ! Je suis fils de militant de l'Istiqlal qui qui ne machait pas ses mots et je compte bien continuer dans cette tradition familiale !! Et je ne prétant pas tout connaitre sur le personnage mais comme tous curieux que je suis je me renseigne ce qui est la moindre des choses dans un pays qui est la france où heureusement c'est encore POSSIBLE !!!!!
Ramadan l'ambigu
Petit-fils du fondateur des Frères musulmans, le célèbre mouvement intégriste égyptien, Tarlq Ramadan, qui habite en Suisse, a acquis une véritable influence dans les banlieues lyonnaises, où il vient régulièrement donner des conférences. Ouvert sur la forme, Intraitable sur le fond, ce jeune intellectuel, qui a longtemps été encensé par les médias et les hommes politiques, est aujourd'hui de plus en plus suspecté de faire le jeu des islamistes.
Vendredi 21 septembre, 19h, à Vénissieux. Devant la salle polyvalente Joliot
Curie, située à côté du centre commercial, environ 400 musulmans lyonnais attendent Tariq Ramadan qui va donner une conférence sur l'islam dans les banlieues. Dans l'assistance, beaucoup de jeunes, des barbus, mais seulement une vingtaine de femmes qui portent le foulard. Cet imam, qui habite en Suisse, est un habitué des banlieues lyonnaises où, depuis quelques années, il a acquis une véritable influence. Une heure d' attente, puis deux... Dans la salle, on prie. Un jeune se lève pour lire à la tribune des versets du Coran d'une voix monocorde. A 22h, Tariq Ramadan arrive enfin, entouré de trois gardes du corps. C'est un homme d'une trentaine d'années, assez élégant. Il s'excuse pour le retard en expliquant qu'il a raté son avion. Après quelques mots en arabe, il s' exprime en français. Barbe fine, yeux noirs profonds, gestes amples, il est habillé d'un costume clair. D'une voix calme et posée, il s'exprime sans notes. Toujours très clair. Pendant 1h 30, il va parler de la famille, de l' éducation... Un discours choc
principes de l'islam. Mais un discours habile aussi. Pas question pour Ramadan de dénoncer la société française. Un discours très cadré, avec de nombreuses références au Coran, dont il cite des versets en arabe. Puis la salle est invitée à poser des questions. Sur le port du voile, il explique que c'est un devoir, pas une obligation. Toujours inflexible sur le fond, habile sur la forme. Il sera plus incisif sur les attentats qui ont frappé les Etats-Unis, quelques jours plus tôt. Il condamne bien sûr, mais il défend Ben Laden qu'on ne peut pas accuser sans preuve. Il attaquera également Israël. Mais toujours prudent, il ne dérape jamais. Il va même critiquer avec une certaine violence les médias coupables de faire des amalgames entre islam et terrorisme. La conférence se termine alors par des invocations en arabe. Tout le monde semble sous le charme. Mais qui est donc ce Tariq Ramadan? Né le 26 août 1962 à Genève, Tariq Ramadan est le petit-fils d'Hassan-Al Banna, un Egyptien qui a fondé dans les années 20 les Frères musulmans, un mouvement islamiste qui a inspiré de nombreux régimes islamiques radicaux. En 1954, son père est chassé d'Egypte par Nasser. Il s'installe alors en Suisse avec toute sa famille et fonde le centre islamique de Genève en 1961. Les six enfants Ramadan reçoivent une éducation très religieuse. Tariq fait des études de lettres, décroche une licence, puis séjourne en Angleterre où il passe une thèse sur l'islam. A l' époque, il milite au sein d'associations tiers-mondistes. Au début des années 90, il fonde même Coopération coup de main, une association qui lui permet de voyager en Amérique du Sud, en Afrique et en Inde.
Interdit d'entrée en France
Il est alors autorisé à faire un séjour au Caire. Un retour aux sources. En 1994, il fonde Musulmans et musulmanes de Suisse et il commence a donner des conférences en France.
Notamment à Lyon, où la librairie Tawhid, dans le 6e arrondissement, va lui apporter un soutien déterminant. D'abord en publiant plusieurs de ses ouvrages. Mais aussi en organisant tout une série de réunions publiques. Derrière cette librairie, il y a en fait l'Union des jeunes musulmans qui a choisi Tariq Ramadan comme guide. Ce jeune intellectuel, qui devient prof de lycée à Genève et qui donne des cours à l'université de Fribourg, va être, tout à coup, propulsé sur la scène médiatique. Invité en 1994 par Jean-Marie Cavada à la Marche du siècle, il va démontrer son charisme et son ouverture, en affirmant avoir fait la synthèse des valeurs de l'islam, de la laïcité et de la république.
Mais en 1995, le ministre de l'Intérieur, Charles Pasqua, lui interdit d' entrer sur le territoire français. On est en pleine période d'attentats. Même interdiction pour son frère, Hani Ramadan, qui dirige le centre islamique de Genève depuis la mort de leur père. A l'origine de cette décision, une note des renseignements français qui affirme que le centre islamique de Genève, contrôlé par les frères Ramadan, est devenu le grand rendez-vous des islamistes européens. D'autant plus que l'assassinat, en novembre 1995, d'un diplomate égyptien à Genève alourdit encore les soupçons. Mais plusieurs personnalités se mobilisent pour réclamer la levée de cette interdiction. Parmi elles, le Père Delorme, mais aussi de nombreux intellectuels de gauche. Le ministère cède. Et Tariq reprend alors son tour de France. Lyon, Grenoble, Saint-Etienne, Chambéry, Annemasse... Ses conférences le conduisent également à l'étranger, notamment en Belgique, en Espagne, en Grande-Bretagne... Mais les suspicions demeurent. D'ailleurs, en 1998, Tariq Ramadan passe un an à la Fondation islamique de Leicester en Angleterre, un centre fondamentaliste pakistanais. Mais Tariq Ramadan renforce son audience dans les banlieues. Et les médias continuent à le considérer comme un des penseurs de l'islam en France. Son plus fidèle allié : Le Monde diplomatique, dont le rédacteur en chef, Alain Gresh, également d'origine égyptienne, a publié un livre d'entretiens avec Tariq Ramadan.
Mais certains commencent à s'interroger sur ce personnage, car les positions de Tariq Ramadan restent très floues sur toute une série de problêmes précis. Notamment sur la place des femmes, la laïcité, les non-musulmans... " Au cours d'une conférence, je lui ai demandé à plusieurs reprises de se prononcer sur le droit des femmes, mais il a toujours esquivé ", se souvient Sakina Bakha, ancienne conseillère régionale Vert et militante très active dans les banlieues lyonnaises.
" Lutte armée "
" Tariq Ramadan parle sans arrêt de la décadence de l'Occident, ce qui n' incite pas les jeunes à s'intégrer ", explique le Père Delorme, qui après l' avoir soutenu, a pris aujourd'hui ses distances. Ramadan paraît d'autant plus inquiétant que son frère, Hani Ramadan, est lui, un vrai radical. Le 28 septembre dernier, Lyon Mag' a pu assister incognito a une de ses conférences à Lyon, à la mairie du 6ème, où il va inciter à s'engager dans des mouvements radicaux. " Il n'y a pas le choix, c 'est écrit dans le Coran ", insistera le frère de Tariq, en s'appuyant sur des versets du Coran. Et il aborde le thème du djihad. Evoquant la riposte américaine après les attentats, il lancera même : " Tous les musulmans doivent entrer dans la lutte armée quand un étal musulman est attaqué ". Il a notamment participé à de très nombreuses manifestations en faveur du voile islamique. Et d'après le journaliste Richard Labévière, il aurait d' ailleurs pris la parole en 1995 au cours d'une manifestation de soutien aux groupes terroristes du GIA. Un personnage inquiétant. Tariq et Hani, même combat ? Si les deux frères ont été brouillés à une époque, Hani Ramadan ne manque pas une occasion d'insister sur leurs liens. " Tariq et moi sommes les deux faces d'une même pièce ", expliquait-il en 1998.
Ce qui est sûr, en revanche, c'est que Tariq ne supporte pas la critique. Dès qu'une personnalité s'interroge sur ses idées, il se déchaîne. Le Père Delorme en a fait les frais. Il a été menacé de procès pour avoir rappelé, dans un de ses livres, que Ramadan était passé par la Fondation islamique de Leicester. De même, un universitaire a reçu en pleine nuit un coup de téléphone de Tariq Ramadan, furieux, suite à un article écrit par ce chercheur. Et ce n'est pas tout. Quand Le Monde publie en septembre 2000 un portrait, " Tariq Ramadan, l'énigmatique ", l'intéressé pète les plombs en exigeant une tribune qu'il finira par obtenir grâce à Alain Gresh. " Les médias et les hommes politiques l'ont trop encensé sans toujours réfléchir ", estime Sakina Bakha en ajoutant: " Et les jeunes le vénèrent, alors qu'il n'a rien à voir avec toute cette jeunesse des banlieues qui est pauvre et sans repères, car lui, c'est un intellectuel issu d'un milieu plutôt aisé ". Même réserve du Père Delorme qui démasque le personnage : " C 'est quelqu'un qui soigne son look et sa mise en scène. Exemple, il arrive toujours en retard, pour se faire attendre ". " Il ne supporte pas la contradiction. Ce qui est tout de même assez curieux de la part de quelqu'un qui se présente comme un intellectuel ", constate un universitaire lyonnais.
" C'est quelqu'un avec un ego gigantesque, qui aime être admiré, écouté. D' ailleurs, ses fidèles ont une attitude un peu étonnante : ils sont inconditionnels " explique un jeune musulman qui avoue avoir été " un fan " avant de prendre de la distance vis-à-vis de celui qu'il baptise aujourd'hui " le renard ".
Toujours intransigeant
Alors Tariq Ramadan joue-t-il un double jeu? Difficile d'affirmer sans preuve qu'il soit aujourd'hui au centre d'un réseau islamiste prêt à servir de relais à des actions terroristes. Mais le personnage reste ambigu. Comme son discours sur l'islam. Un islam aux allures modernes, mais toujours intransigeant sur certains principes incompatibles avec la démocratie et la laïcité. En tout cas, c'est un personnage assez révélateur de cet islam qui se développe aujourd'hui dans les banlieues, notamment les banlieues lyonnaises, où le double langage permanent des religieux et des notables trahit les contradictions profondes qui agitent cette communauté.
C'est promis j'arrête de copier des "pavés" mais là je ne pouvais pas m'en empêcher ! Tout cela pour dire qu'au Maroc même si ce n'est pas encore "le pied" on y est tout de même mieux que dans certains pays !!!
LETTRE AUX NOUVELLES VOILEES
Par Chahdortt Djavann.
Etrange semaine ! Les images insoutenables d'Envoyé spécial : la lapidation de femmes iraniennes,l'arrachement de l'œil coupable...Hani Ramadan, le frère de Tarik, chantre officiel de la lapidation de la femme adultère, est invité à l'UNESCO ; les islamistes ont organisé leur deuxième défilé de mode féminin. Etrange semaine où les masques sont tombés, mais où l'on a pu mesurer la perversité du double langage auquel ont recours les islamistes pour défendre l'oppression des femmes au nom de la liberté individuelle et la barbarie religieuse au nom de la liberté culturelle. Les nouvelles voilées organisent des manifestations pour défendre leur " droit " au voile, au voile qui, de l'Ancien Testament au Coran en passant par le Nouveau Testament est le symbole de l'oppression des femmes, le symbole qui autorise toute violence à l'endroit des femmes. Elles l'ont fait d'abord au nom de leur " culture ", puis de leur " choix individuel ", changeant de thème sur commande, comme sous la baguette d'un invisible chef d'orchestre, et maintenant elles se drapent de tricolore, moins pour affirmer qu'elles sont françaises que pour imposer en France le projet de société des islamistes.
Le régime fasciste et islamiste de l'Iran demande à la France de retirer sa loi contre le voile. Un régime qui a exterminé plus d'un million de ses opposants, un régime qui pratique la lapidation, l'amputation des membres, qui exécute les homosexuels, les agnostiques, les athées, les apostats, parle au nom de la démocratie. C'est le monde à l'envers.
La prise de position des dictatures islamiques contre cette nouvelle loi, ingérence manifeste dans les affaires intérieures françaises, prouve à ceux qui n'avaientpas encore compris le lien étroit entre la prolifération du voile et l'offensive islamiste. Dorénavant, les nouvelles voilées, en France, ne peuvent plus prétendre ignorer qu'elles sont soutenues par le gouvernement fasciste islamiste de l'Iran ; que leurs maîtres, qu'ils soient des pseudo-intellectuels, des mollahs déturbannés, égyptiens, iraniens ou maghrébins, sont des missionnaires de l'islamisme. Elles ne peuvent plus dire qu'ici et là il ne s'agit pas du même voile. La servitude n'est ni moins haïssable ni moins condamnable quand elle se dit ou se croit volontaire.
Hani Ramadan, le frère de Tarik Ramadan, qui défend officiellement la lapidation des femmes et l'exécution des homosexuels au nom de la charia, (avait) été invité à l'UNESCO, ce dimanche 18 janvier à 14 heures, pour défendre ses idées, dans le cadre d'un colloque sur la laïcité et la démocratie ; bien entendu, il devait débattre avec quelques intellectuels français.
Ainsi se trouve porté à son comble l'escroquerie intellectuelle qui consiste à débattre avec les apologistes de la torture et de l'assassinat, à banaliser l'horreur, comme si laliberté était la liberté de tout faire, comme si le fascisme et la défense de la lapidation étaient une opinion. Je suis véhémente, j'ai la rage au cœur et je n'arrive pas à comprendre qu'on accepte de débattre " démocratiquement " avec les islamistes qui défendent au nom des lois d'Allah les images de la barbarie institutionnelle qu'à diffusées France 2 jeudi soir : les corps féminins enfouis dans leur linceul qui s'écroulent sous les jets de pierres, les hurlements de l'homme ligoté dont on exorbite l'œil coupable au scalpel, à vif, ou de celui dont une machine vient de trancher la main d'un coup sec. Non, je ne comprends pas que ces idées soient discutées au nom de la démocratie, que Hani Ramadan soit invité à l'UNESCO, dans un colloque patronné par les plus hautes autorités de l'Etat, que la famille Ramadan soit mise sur un piédestal par les médias français. Oui, c'est insupportable qu'un ministre de la République, ici en France, débatte avec Tarik Ramadan, qui réclame, comme certains mollahs " modérés " iraniens l'ont déjà fait, un "moratoire" pour lalapidation ; que cet imposteur déguisé en play-boy séduise tout autant les nouvelles voilées que certains altermondialistes et ceux ou celles qui se donnent le beau rôle de " tolérants ". (...) Il est temps de dire qu'on ne discute pas avec les représentants du totalitarismeislamiste. On le condamne et on le combat. Ceux qui ont vu sur France 2, jeudi soir, les images insoutenables des femmes lapidées, de la main voleuse amputée et de l'œil coupable arrachée ne supporteront plus jamais de devoir prêter l'oreille aux effusions verbales des frères Ramadan, à la rhétorique hallucinée de l'un et à la casuistique de l'autre. Ils auront compris ce que l'on fait au nom d'Allah. Il y a trop à faire dans nos banlieues, trop à faire dans le domaine de l'éducation, du travail et de l'égalité des chances, il y a eu trop de retard pris pour qu'on puisse admettre aujourd'hui que des islamistes extrêmes deviennent les porte-parole des jeunes français qui se sentent exclus. C'est notre responsabilité commune, c'est la responsabilité de la République et de ses représentants de faire en sorte que cesse cette situation perverse et absurde. L'immigration est une chance pour la France et la démocratie est une chance pour l'immigration. Mais il faut que les promesses soient tenues. Texte paru in Le journal du Dimanche le 18.01.04, p.12.
Voila un petit article pour toi à propos de levy !
B.H.L, Le Philosophe Kleenex.
L’ennui avec Bernard-Henri Lévy ce n’est pas seulement l’ennui. Car il nous ennuie, le B.H.L, c’est sûr, avec ses propos creux. Non, l’ennui avec lui c’est qu’il est franchement à côté de ses pompes, l’aspirant philosophe. Avec sa tronche bon chic bon genre de faux humaniste, il est assez pourri dans sa tête, rien à voir avec l’image qu’il s’évertue à nous donner. J’en veux pour exemple les perles inqualifiables dont il agrémente ses interviews. Et s’il a été entarté, c’était mille fois mérité. En fait ce mec mérite plus de pieds au cul que n’importe quel faux-philosophe qui pollue nos écrans de télé et tente de nous donner des leçons d’humanisme.
Les sujets sur lesquels B.H.L tente d’exercer son manque de talent sont graves : La misère humaine, la guerre. Il a fait son fonds de commerce de ces tragédies, et transporte sa petite personne avec un billet de première classe et champagne à tous les repas pour venir ensuite nous rapporter, avec des sanglots dans la voix, une mimique de chien battu et des airs entendus, les malheurs qu’il a constatés de visu. Toujours déguisé en philosophe romantique, la chemise entr’ouverte, les cheveux ondulés lui déferlant sur le côté et les doigts manucurés, très 16ième arrondissement ou Neuilly-Passy. Une icône, propre sur lui, qui fait toujours bien, avec sa belle petite gueule et ses idées toutes faites, dans les colonnes des journaux insignifiants à la mode, au même titre que la rubrique des chiens écrasés. Ça meuble, et c’est pas bien méchant, du B.H.L, en tout cas ça ne restera pas à la postérité, ça serait étonnant.
Il réserve parfois à des chaînes télévisées ou des radios étrangères la primeur de ses « réflexions inspirées » sur certains sujets, comme la guerre. Ainsi son interview avec Radio Canada il y a quelques mois, à l’occasion de la parution de son livre « Réflexions sur la guerre, le mal et la fin de l’histoire ». Il a tellement fait fort à cette occasion qu’il est encore plus critiqué au Québec qu’en France, lui qui avait été qualifié de « inventeur de la pensée jetable » par le magazine « Actuel » dans leur numéro 91 de Mai 1987. Déjà plus jeune il avait attiré l’attention sur son cas. B.H.L : un philosophe-Kleenex quoi ! Avec des idées, qui ne devraient servir qu’une fois, heureusement, et tout justes bonnes à jeter au panier. Le problème c’est qu’il rabâche inlassablement les mêmes références, les mêmes thèmes, les mêmes « idées » creuses. C’est normal. Quand on n’a rien d’intéressant à dire, on se répète, forcément, et B.H.L ne s’en prive pas.
Il commença l’interview avec les Canadiens par des descriptions d’actions horribles et abominables commises dans des « trous d’enfer de la planète ». Jusqu’ici rien à dire. Mais il distingua ensuite les « guerres qui ont un sens », des « guerres qui n’ont pas de sens », et ce, en se plaçant dans la tête des combattants, qui savent, ou non, pourquoi ils se battent. Consternation des Québécois qui parlent le français, mais qui n’ont pas pigé tout de suite ce que le fumeux philosophe voulait dire. Tant mieux s’il le sait, lui, ce qui est juste ou non, ou s’il a la prétention de porter un jugement sur la question. Merci au philosophe de salon de nous indiquer ses critères. Pour moi, il y avait la guerre, et la paix. Le fait qu’il prétende que certaines guerres ont un sens n’a, pour moi, pas de sens. Et de continuer : « Le pacifisme est une connerie ». Ah bon ! Pour lui le vrai problème pour le philosophe, c’est de comprendre pourquoi il y a la guerre, les détails c’est moins grave, une « péripétie » mineure. Ah bon ! Exit du studio de B.H.L. Depuis il n’a jamais été réinvité, on se demande pourquoi.
Merci Bernard-Henri Lévy, on est éclairé. Ça nous confirme ce qu’on savait déjà : C’est un nul, un médiocre sans talent qui se prend au sérieux, et qui est surtout sans intérêt pour la société. Car à quoi bon se prétendre philosophe, de pair avec les Platon, Socrate et n’être capable que de pondre des niaiseries qui feraient recaler un élève au bac ! Son site Internet est en construction. Un site ami, qui lui est consacré, |lilianelazar.com->www.lilianelazar.com], nous indique fièrement qu’il s’est toujours battu contre les « ismes ». Il a oublié le crétinisme, et c’est tant mieux pour lui, autrement il devait se faire hara-kiri.
En parlant d’école, encore heureux que ce que gars-là ne soit pas enseignant. Nos enfants n’auraient rien compris à la philo. On l’a échappé belle !
je ne veux pas me faire l'avocat de BHL et il est assé grand pour le faire tout seul, mais là moi cette article je le trouve insultant et sans interet !! Car vois-tu il est vague on n'apprend rien, en plus il n'explique pas ce que BHL veut dire "d'une guerre utile ou non " ??? Ce que j'en ai compris et que je pense qu'il a voulu dire c'est qu'effectivement des guerres comme 39/45 était neccessaire pour la sauvegarde de notre civilisation façe à la barbarie nazie et que prendre les armes dans cette circonstance, c'était légitime, mais que d'éclancher un conflit armé pour erradiquer un peuple entier dans un esprit raciste et sous prétexte d'aider le peuple palestinien il y a un fossé !! (entre nous je te rappéle que la Jordanie en d'autres temps ne sait pas génée de massacrer des palestiniens !!) Si je rajoute cette parenthése c'est que bien évidement je m'attens à ce que l'on m'accuse d'être pro-israélien, je suis pour les deux peuples voila tout !!!
Mais moi aussi je suis pour la justice figures toi !!! Et moi aussi je dénonce par contre au même tître les atrocitées commise par tsahal comme celles du hezbollha et hammas confondus !!!!!!! Pourquoi faire la distinction entre deux familles en deuil parsque l'une est palestinienne et l'autre israélienne ???
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