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S'avez vous qu'il y a des mères qui empoisonnent leurs enfants?, et que cela va jusqu'à la mort de l'enfant parfois, ma voisine qui je croyez être une mère idéale a tuer sa fille de 10 ans de cette façon, et personne ne s'en douter.
La petite était toujours malade, c'est ce que sa maman nous diser, et jamais nous n'aurions su que cette maman si adorable avec ses enfants était atteinte de syndrome de Münchhausen

Le syndrome de Münchhausen simple

Les malades atteints de ce syndrome simulent des affections pour être hospitalisés et subir des opérations inutiles. Pour les psychiatres, il ne s'agit pas d'une maladie mais d'un trouble du comportement bizarre. A l'inverse du simulateur qui poursuit un but déterminé, les patients atteints de ce syndrome n'ont rien d'autre à gagner que l'attention du milieu médical.

Le syndrome de Münchhausen par procuration (SMPP)

Décrit par le pédiatre anglais Roy Meadow en 1977, ce syndrome est une forme particulière de maltraitance à enfants. Il décrivait dans le Lancet deux cas de jeunes enfants victimes de pathologies inventées ou provoquées par leur mère : une falsification itérative d'examens d'urines par addition de sang et une intoxication chronique par le sel ayant conduit au décès de l'enfant. Le parent responsable, en général la mère, invente chez son enfant des histoires cliniques fausses et/ou provoque des symptômes afin de demander aux médecins un diagnostic et un traitement. Les conséquences physiques graves et parfois irrémédiables proviennent de l'action du parent et du corps médical abusé.

Le syndrome doit son nom au baron Hyeronimus von Münchhausen et à ses histoires extraordinaires. Le personnage a été inventé au XVIII° siècle par Rudolph Erich Raspe à partir d'un véritable baron.

Les troubles allégués les plus fréquents sont :

les saignements (obtenus par anticoagulants, phénolphtaléine, sang de source extérieure)
les convulsions (faussement décrites ou intoxications diverses)
les dépressions du système nerveux central (obtenues par intoxication)
les apnées (obtenue par étouffement provoqué, intoxications)
les diarrhées (obtenues par intoxication au sel ou aux laxatifs)
les vomissements (obtenu par intoxication au sirop d'ipeca)
la fièvre (fausses courbes de température, souillure des perfusions)
les éruptions cutanées (grattage, application de caustiques)
Le diagnostic est évoqué devant une symptomatologie qui dure depuis plusieurs mois ou années avec des dizaines ou des centaines d'hospitalisations sans qu'aucun diagnostic n'ait été posé.


Le syndrome de Münchhausen simple

Les malades atteints de ce syndrome simulent des affections pour être hospitalisés et subir des opérations inutiles. Pour les psychiatres, il ne s'agit pas d'une maladie mais d'un trouble du comportement bizarre. A l'inverse du simulateur qui poursuit un but déterminé, les patients atteints de ce syndrome n'ont rien d'autre à gagner que l'attention du milieu médical.

Le syndrome de Münchhausen par procuration (SMPP)

Décrit par le pédiatre anglais Roy Meadow en 1977, ce syndrome est une forme particulière de maltraitance à enfants. Il décrivait dans le Lancet deux cas de jeunes enfants victimes de pathologies inventées ou provoquées par leur mère : une falsification itérative d'examens d'urines par addition de sang et une intoxication chronique par le sel ayant conduit au décès de l'enfant. Le parent responsable, en général la mère, invente chez son enfant des histoires cliniques fausses et/ou provoque des symptômes afin de demander aux médecins un diagnostic et un traitement. Les conséquences physiques graves et parfois irrémédiables proviennent de l'action du parent et du corps médical abusé.

Le syndrome doit son nom au baron Hyeronimus von Münchhausen et à ses histoires extraordinaires. Le personnage a été inventé au XVIII° siècle par Rudolph Erich Raspe à partir d'un véritable baron.

Les troubles allégués les plus fréquents sont :

les saignements (obtenus par anticoagulants, phénolphtaléine, sang de source extérieure)
les convulsions (faussement décrites ou intoxications diverses)
les dépressions du système nerveux central (obtenues par intoxication)
les apnées (obtenue par étouffement provoqué, intoxications)
les diarrhées (obtenues par intoxication au sel ou aux laxatifs)
les vomissements (obtenu par intoxication au sirop d'ipeca)
la fièvre (fausses courbes de température, souillure des perfusions)
les éruptions cutanées (grattage, application de caustiques)
Le diagnostic est évoqué devant une symptomatologie qui dure depuis plusieurs mois ou années avec des dizaines ou des centaines d'hospitalisations sans qu'aucun diagnostic n'ait été posé.

Ces mères atteintes de ce syndrome ont généralement eu une enfance malheureuse, victimes elles mêmes de sévices divers de la part de ses propres parents.

Je ne sais pas si le fait qu'elle reproduise cela avec leur propre enfant n'est pas une vengeance inconsciente ?

J'ai vu plusieurs reportages concernant ces horreurs qui arrivent souvent aux USA.
On a vu des caméras cachés dans les chambres d'hopitaux de ces enfants et là la mère vient voir son enfant et, une fois que le médecin sort de la chambre, elle essaie alors d'étouffer son enfant avec un oreiller.
Les médecins attendent que la mère procède à cet acte criminel, attendant dans une autre pièce face aux images que la caméra enregistre, afin de la prendre en flagrant délit, cela m'a fait pleurer de regarder ces images atroces, voir un enfant se faire assassiner par sa propre mère.

Moi aussi je l´ai vu ce reportage. elle n´as pas voulu l´admettre meme s´ils l´ont fait voir le video. les psychiatres disent que ca fait partie de cette maladie Munchhausen by proxy, que la personne n´admets jamais ses pêchés. Ils disent qu´ils le font aussi pour avoir le soutien, et sympathie des autres. Autant mere d´un enfant toujours malade.

salam yazz ,le pire c'est que l'enfant sait ce que sa maman lui fait subir, et il ne dit rien et continu de l'aimer, cela me fend le coeur .

Face à ces horreurs, par moment je me dis que peu importe de quelle maladie souffre ces assassins, elles n'ont aucune circonstance atténuante.

A chaque meutre, les scientifiques arrivent à trouver une maladie qui "explique" un acte atroce. Et cela me révolte parfois.

D'un autre côté, il est vrai que certaines sont réellement malades mais j'ai du mal à comprendre comment on peut aller jusqu'à enlever la vie à un p'tit bout à qui l'on a donné la vie.

Et oui, je suis puéricultrice, et je confirme, on voit de véritables horreurs dans mon service, des parents vraiment maltraitants auprès de leur enfant.
C'est vraiment difficile de se positionner face à ses parents, ne pas les juger tel que le demande ma profession et ma religion aussi.

Dans le cas du syndrome de Munchausen, le pire c'est que la mère est le type même de la mère "idéale" (enfin personnellement, je pense pas qu'une telle mère existe et tant mieux !), donc insoupçonnable, qui aide au mieux les médecins pour "aider" leur enfant. Donc, on passe souvent à côté de ce diagnostic, et souvent tardivement.

Salam. Myriam

Bonjour tout le monde, il y a une question que je me suis posé, est ce qu'il y a des mamans musulmanes parmi les femmes atteintes de ce Syndrome ? Ou est ce un problème de non musulmans.

ohhhhhhhhh, un syndrome n'a rien à voir avec la religion. comme on a des femmes qui agressent, tuent, volent....on a aussi des mamans atteintes de divers ptahologies psychiques qui les conduisent à des comportements de ce type!


aicha, la question de la religion n'a strictement rien à voir la dedans, non ?

étudiante Je n'ai jamais dit que ce Syndrome avait quelque chose à voir avec la religion, j'ai simplement posé une question qui ma interpeller après une discussion avec mon médecin traitant,
Après avoir discuté avec lui du cas de ma voisine, il ma avouer qu'il n'avait jamais vu de personne de mon origine avoir ce problème, et il se poser aussi la question de savoir si c'était du à notre religion.

A mon avis la religion de la personne a une grande influence sur son comportement.

Il suffit de regarder le taux des suicides aux USA avec celui du Maroc par example.

Je ne serais pas surpris si les femmes musulmanes souffrent moins de ce syndrome de Münchhausen.

Le vide peut mener à la follie.

norah a écrit:

>
> Le vide peut mener à la follie.

oui tu as raison norah, mais le bourrage de crâne aussi .

Citation
mdlazreg a écrit:
A mon avis la religion de la personne a une grande influence sur son comportement.

Il suffit de regarder le taux des suicides aux USA avec celui du Maroc par example.

Je ne serais pas surpris si les femmes musulmanes souffrent moins de ce syndrome de Münchhausen.

salam mdlazreg comment ai je fait pour ne pas voir ta réponse plus tot je sait que tu nous lis encore aujourd'hui merci pour ta réponse! c'est aussi ce que je pensais

Salam Alikoum,


Oui ya des folles ! starfellah la semaine derniere je regardais un reportage ... ça se passait aux usa, cetait dans un hopital, yavait la camera car le comportement de la mere etait suspecté et dans l hopital en plein milieu de la nuit la mere se reveille elle met le drap sur le gosse et se couche sur lui pour l'ettoufer ...



y'a des cas ... tu peux pas comprendre!

Citation
mdlazreg a écrit:
A mon avis la religion de la personne a une grande influence sur son comportement.

Il suffit de regarder le taux des suicides aux USA avec celui du Maroc par example.

Je ne serais pas surpris si les femmes musulmanes souffrent moins de ce syndrome de Münchhausen.

Comparer le maroc à un pays comme les Etas unis de par le nombre de ses habitants est quand même dubitatif , et puis dans notre chère patrie , faut jamais croire aux statistiques , ma mère bosse dans la direction de la statistique à Rabat , je sais de quoi je parle

Au maroc les cas de suicide sont souvent " maquillés" , évidement à cause de la religion et par la suite le regard de la société , normalement y'a pas de prière pour un suicidé non ? un ami à moi s'est suicidé en Hollande , tu crois que sa famille l'a dit ? non ils ont dit qu'il était mort tout simplement !

Je me considère victime d'un syndrôme de Münchhausen par procuration. Le domaine médical de prédilection de ma mère dans le cadre de ce SMPP allégué est le seul domaine médical où on présume qu'un adulte n'est pas en mesure, par défaut, de consentir aux soins. Je vous passe les détails.

Vous vous insurgez qu'on puisse trouver une 'maladie' qui 'excuse' les 'criminels'. Effectivement, c'est aussi mon point de vue... sauf que, sauf que.... sauf que le problème du Münchhausen par procuration, c'est qu'il peut toucher TOUT le spectre d'exercice de la médecine (et de ce côté là, je sais de quoi je parle...) et qu'en réalité, il y a toute une CONTINUITÉ entre le SMPP et le simple fait d'aller emmener son gosse chez le dentiste un tout petit trop souvent.

Le seul problème, c'est que le comportement normal d'un parent qui emmène son gosse au médecin, c'est de l'inquiétude, le sentiment d'être un bon parent. Aussi improbable que cela puisse paraître, quand on exagère, quand on allègue, qu'on induit plus ou moins indirectement, ou qu'on procure physiquement des symptômes, c'est EXACTEMENT les mêmes mécanismes psychologiques que d'emmener son gosse au dentiste. Mais exagérés, démultipliés, hystérisés, l'amour maternel un peu étouffant (oedipien?) se syncrétisant avec le désir légitime de paternalisme médical (manipulation du patient dans son intérêt, comme le serment médical le veut). Tout cela fusionne en un seul bloc, hypocondriaque à l'extrême, mais d'une patience froide et rare pour obtenir le biais de tri sélectif permettant de déclencher l'hospitalisation; les rationalisations médicalisantes sont puissantes, inébranlables, inaccessibles au bon sens devant l'évidence de la scientificité de la médecine. Un truc tout bonnement hallucinant.

Dans mon cas, heureusement, dû à la forme particulière de mon SMPP à moi, je n'ai que peu de symptômes physiques évidents. Mis à part qu'il m'a détruit une large partie de ma vie et qu'il continue de détruire ma famille à l'heure actuelle, est-il si grave que cela pour ma personne? C'est très difficile à dire: à partir de quand devient-il un crime? Le jour où ma mère arrive à me suicider et à valider ses théories (que je ne connais que trop bien...)?

Pour moi, le SMPP est révulsant, devrait être puni lourdement, ne serait-ce que par principe. Mais de par les particularités de mon cas, j'en arrive à me poser la question de savoir si le SMPP est un crime, ou plutôt une pathologie mentale de la médecine dans son ensemble: je n'arrive pas à déterminer quel est le plus pathologique parmi la relation victime-médecin, victime-mère et mère-médecin. Je suis plutôt enclin à penser que c'est la relation mère-médecin qui est la plus pathologique, qu'elle questionne la médecine dans ses fondements, et que curieusement on ne peut pas faire le procès du SMPP sans faire aussi par ricochet le procès de la médecine.

Quand je décortique l'histoire transgénérationnelle de ma famille, je ne peux tout simplement qu'arriver à la conclusion que ma mère est une aliénée lourde, aliénée par la médecine, et que si j'arrivais à me décentrer de mon vécu pour ne contempler que le sien, je ne pourrais avoir qu'une pitié infinie en lieu et place de la haine violente qui m'habite. C'est peut-être pour cela, au-delà des contraintes juridiques, que je ne poursuis actuellement en justice que les institutions médicales. Allez savoir...

Je sais que mon opinion est potentiellement révoltante, mais elle est curieusement celle qui me paraisse la plus rationnelle. Symptôme? ou symptôme induit?

ca fait peur ce truuuc

Allah ister !! Comment une mère peut-elle faire du mal à son enfant, on devrait leur enlever leurs enfants, car les laisser entre leurs c'est criminel, et après ça va se justifier avec un syndrome !!

Salam a3leykoum
C'était quoi comme reportage.?

Salam,

J'en avais entendu parler il y a quelques années, je ne connaissais pas l'existence d'une telle maladie, j'étais scotchée sur place. Ce syndrome est tellement inexplicable... Même si la maman a eu des problèmes de carence affective etc. durant son enfance, plutôt que de se rendre malade elle-même pour attirer l'attention, elle va quand même jusqu'à rendre malade son propre enfant...

De tout façon, rien ne peut expliquer ces type de pathologie et sur le plan juridique, quand l'avocat est face à de tels cas, il est extrêmement difficile de faire distinguer l'acte prémédité et conscient de l'acte commis inconsciemment du fait de cette pathologie qui semble annihiler toute clairvoyance.

Qu'Allah nous en préserve.