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Soufisme
24 février 2012 02:58
Citation
Hamza a écrit:
Salam alaykoum
Waleikoum assalam

1)tu parles de " chaine d'autorité primitive naqshbandiyya " : peux tu l expliquer , de quelle autorité parles tu ?

Bon alors on va reprendre encore une fois , j'ai posté un texte sur cheikh Abdelkader jilani afin de démontré que d'autres savant et érudit avait suivi la voie du tasawwuf tout simplement

je te met au défis de me montrer un seul écrit de tous ces savants que tu cites et qui cite ta voie soufie " naqshbandiyyaa "

Il faut vraiment apprendre à lire car honnètement tu t'enfonces dans la paranao et le jugement d'une parenthèse tu me sorts toute une thèse ou antithse alors que moi je n'ai parlé une fois encore que de cheikh Abdelkader jilani et rien d'autre
Donc tu ne m'emmèras pas ailleurs que sur le thème qu'étais la question 'quest ce que le soufisme " tient toi en au divers liens que j'ai posté et peû être que tu comprendras enfin et tu finira par comprendre d'ou viens ta confusion (et la je préfère de pas juger de quels pourrait être ta véritable motivation en fesant celà )


2) Que sais tu de mon coeur ? tu ne sais absolument rien , meme le preophète salahou alayhi wa salam n etait pas chargé d inspecter les coeurs de gens , il suffisait qu il dise l attestation de foi et qu il respectent les preceptes de l islam . Dieu seul est habilité a juger le fond des coeurs , pas les êtres humains fussent t ils prophètes ( layhim salam)

Oui tu as raison sur ce point j'aurais du dire que ta raison t'as confondu et non ton coeur , même si le coeur et la raison sont parfois lié mais je n'en dirais plus car avec toi il faut utiliser des mots simples pour ne pas porter a confusion.

3) Le chirk commence ainsi : on sanctifi des êtres humains ( qui parfois n ont rien demandé comme le cheikh Abdelkader jilani) , puis on fini par les rendre supérieurs aux prophète layhim salam, puis ont fini par les déifier .


L islam est simple , la religion est simple : même les habitants de la saint mekka dont chaque prière vaut 100 000 prières faite ailleurs ne se proclament pas saints ou saint des saint, ou sultant des saints ou Qotb.

Il y le prophète salahou alayhi wa salam nommé par le coran, qui nous a laissé le coran et la sounna. Tout ce qui sort de àa n et qu innovation et toute innovation est destinée au feu.

Je ne polémiquerais pas plus avec toi sur ce sujet car j'ai donné la définition du tasawwuf (soufisme) et que le but de ce poste était celà et rien d'autres , et je suis toujours le fil
Mais si l'occasion ailleurs s'en présente pourquoi pas


Sinon sache que je suis Amazighiya face à l'homme et soumise à la seule volonté de Dieu et uniquement Dieu


Citation
sheera a écrit:
Citation
Hamza a écrit:
Salam

Il faut faire attention à ce que tu écris: nommer la confrerie ( pour moi secte ) naqshbandiyaa n'est pas anodin.

L'ordre ou voie " naqshbandiyya " a tous les attributs d 'une secte. Ses adeptes et ses sheikhs disent à qui veut les entandre que de nombreux savants prestigieux fesaient parties du cette tariqa " naqshbandiyya afin de gagner en crédibilité et d attirer vers eux des adeptes vers le voie d égarés. Et comme toute secte qui se respecte, attirer aussi un flux de capitaux vers cette secte que les adeptes leurs versent sans compter.

Bien sur , les anciens savants morts il y a des siècles ne sont plus la pour démentir leurs propos. La naqshbandiyya fait la même choses aussi pour des savants qui sont toujours en vie , et même démentis par ces savants , ils continuent à mentir pour attirer les naifs crédules.

La naqshbandiyya est une secte qui se réclame du soufisme et faussement héritière du savant abdelkader Jilani. cette secte est encouragée par l état américain qui a une politique sournoise de division et de contrôle des courants religieux du monde islamique. D'ailleurs le siège mondial du cette Tariqa est aux Etats unis : est ce un hasard ?

Le scheikh ( je dirais gourou ) de cette tarika naqsbandiyya qui est proclamé "maitres de tous les saints" ( sultan al awliya) se donne de la crédiblité en croisant les " grands " de se monde : pape, chefs d 'états, personnalités politiques et artistiques de tous bords etc...

Posons nous la question : le prophète salahou alayhi wa salam ( et ses compagnons que dieu les agrés)aurait il accepté de rencontrer un "prince chrétien " comme la pape qui brandit la croix à sa face , symbôle de polythéisme?
Les compagnons du prophète salahou alayhi wa salam tel Abu baker le véridique ou bien Omar al farouq que dieu les agrés enterrés a côté du prophète salahou alayhi wa salam, qui ont craint la rencontre de dieu et la conséquence de leurs actes jusqu a leur mort, se sont t il auto-proclamé maitres des saints?

Il n ' y a qu une seule tarika : celle du prophète salahou alayhi wa salam qui à laissé le coran et sa sounna pour guider les croyants.



Citation
sheera a écrit:
Citation
Hamza a écrit:
Cheikh abdelkader Jilani a été certe un trés grand savant, mais la description qui en est faite est exagérée. Et même Cheikh Jilani n aurait pas apprécié qu on flatte autant sa mémoire. Même le prophète salahou alayhi wa salam ce décrivait comme étant " un adorateur de dieu " , et il était appelé " Mouhammed " ( salahou alayhi wa salam). Le prophète salahou alayhi wa salam était simple et aimait la compagnie des humbles.


Je ne vois pas ce que la " voie naqshbandiyya" vient faire dans toute cette description. Où veux tu nous mener ?

Assalam Aleikoum

Je ne veux mener nulle part , une question à été posé sur qu'est ce que le soufisme ? j'y ai répondu tout simplement .

Assalam aleikoum

J'ai la naivetée de croire que celui qui liras comprendras car il aura prit le temps de lire et de suivre le fil .
Après que la seule chose que tu es retenue de ce texte soit une parenthèse ,alors que celà disait aussi celà

Sa gnose Bien qu'il fut éminent parmi les grands awliyâ' (saints) et c'est la raison pour laquelle on le surnomma Qutb Al-Islâm, le pôle de l'Islam, Abd Al-Qâdir Al-Jîlânî est aussi un juriste hors pair de l'école hanbalite. On a signalé ses liens avec l'école chaféite et avec l'imâm Abû Hanîfa. Il fut le disciple de awliyâ prestigieux, comme Abû Al-Khayr Hammâd Ibn Muslim Ad-Dabbâs (mort en 525 H.) et Khawaja Abû Yûsuf Al-Hamadhâni (mort en 535 H.), second, après Abû Al-Hasan Al-Kharaqâni (qui fut le Sheikh de Al-Harawi Al-Ansâri dans la chaîne d'autorité primitive de la voie naqshbandiyya).

Donc que ton coeur est confondu sur ce texte c'est ton affaire pas la mienne , moi une question à été posé j'ai posé des textes qui montre le tasawwuf tout simplement



Modifié 2 fois. Dernière modification le 24/02/12 03:03 par sheera.
La vérité est un miroir tombé de la main de Dieu,et qui s'est brisé.Chacun en ramassa un fragment et dit que toute la vérité s'y trouve. [center]Amazighiya face à l'homme et soumise uniquement à Dieu .[/center]
f
24 février 2012 12:12
Assalam alaikoum

Prendre le soufisme comme prétexte de justifier toute déviation, comme prendre toute déviation comme prétexte de le condamner, sont deux attitudes, toutes les deux, non justes, l'attitude juste, équitable, consiste, tout en dénonçant la déviation, à reconnaître au soufisme sa place, chose qu'on trouve chez les Imâms des quatre madhâhibs.

L'Imâm Abou Hanîfa (85-150H) a dit : « S'il n'y avait pas ces deux ans j'aurais péri (…) Pendant deux ans j'ai été le compagnon de Sayyidina Ja'far as-Sâdiq et j'ai acquis la science spirituelle qui a fait de moi un Connaissant ('ârif) de la Voie. »

L'Imâm Mâlik Ibn Anas (95-179H) a dit : « Quiconque pratique le soufisme sans loi est hérétique , quiconque suit la loi sans pratiquer le soufisme a dévié, celui qui conjoint les deux réalise la vérité. »

L'Imâm Shâfi'î (150-205H) : « J'ai fréquenté des soufis et j'ai tiré profit (de ce compagnonnage) à travers trois de leurs paroles : le temps est comme une épée, si tu ne le coupes il te coupe. Si tu n'occupes pas ton âme avec la vérité, elle t'occupe avec l'erreur. Le manque de protection est indigence (ou pauvreté). »
On sait que l'Imâm Shâfi'î fréquentait les soufis, s'attachait à eux et l'intérêt. Il était très attaché à Shaybâne ar-Râ'î. Selon al-Ghazâlî : « Shâfi'î s'asseyait devant Shybâne, comme un enfant s'accroupit à l'école coranique, et lui demandait comment il devait faire en tel est l'affaire. »

L'Imâm Ahmad Ibn Hanbal (164-241H), avant de fréquenter les soufis disait à son fils : « Mon fils, sois avec ceux qui étudient le hadîth, et loin des assemblés qui se nomment soufis. Car parmi eux, certains ignorent les principes de la religion. Puis Ibn Hanbal fut le compagnon de Hamza al-Baghdâdî, le soufi, et il connut les états spirituels des initiés. Il dit alors à son fils : « Sois dans les assemblés de ceux qui sont soufis (al-qawm), car par leur fréquentation la science, la vigilance intérieure (al-mourâqaba), l'humilité (al-khashya), le renoncement (az-zouhd), et l'aspiration spirituelle augmentent. » Selon cheikh Qutb ad-dîne ibn Ayman, l'Imâm Ahmad Ibn Hanbal incitait son fils à fréquenter les soufis, lui disant : « Ils ont atteint un degré de pureté d'intention qui nous fait encore défaut... »
24 février 2012 19:41
Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum

Prendre le soufisme comme prétexte de justifier toute déviation, comme prendre toute déviation comme prétexte de le condamner, sont deux attitudes, toutes les deux, non justes, l'attitude juste, équitable, consiste, tout en dénonçant la déviation, à reconnaître au soufisme sa place, chose qu'on trouve chez les Imâms des quatre madhâhibs.

L'Imâm Abou Hanîfa (85-150H) a dit : « S'il n'y avait pas ces deux ans j'aurais péri (…) Pendant deux ans j'ai été le compagnon de Sayyidina Ja'far as-Sâdiq et j'ai acquis la science spirituelle qui a fait de moi un Connaissant ('ârif) de la Voie. »

L'Imâm Mâlik Ibn Anas (95-179H) a dit : « Quiconque pratique le soufisme sans loi est hérétique , quiconque suit la loi sans pratiquer le soufisme a dévié, celui qui conjoint les deux réalise la vérité. »

L'Imâm Shâfi'î (150-205H) : « J'ai fréquenté des soufis et j'ai tiré profit (de ce compagnonnage) à travers trois de leurs paroles : le temps est comme une épée, si tu ne le coupes il te coupe. Si tu n'occupes pas ton âme avec la vérité, elle t'occupe avec l'erreur. Le manque de protection est indigence (ou pauvreté). »
On sait que l'Imâm Shâfi'î fréquentait les soufis, s'attachait à eux et l'intérêt. Il était très attaché à Shaybâne ar-Râ'î. Selon al-Ghazâlî : « Shâfi'î s'asseyait devant Shybâne, comme un enfant s'accroupit à l'école coranique, et lui demandait comment il devait faire en tel est l'affaire. »

L'Imâm Ahmad Ibn Hanbal (164-241H), avant de fréquenter les soufis disait à son fils : « Mon fils, sois avec ceux qui étudient le hadîth, et loin des assemblés qui se nomment soufis. Car parmi eux, certains ignorent les principes de la religion. Puis Ibn Hanbal fut le compagnon de Hamza al-Baghdâdî, le soufi, et il connut les états spirituels des initiés. Il dit alors à son fils : « Sois dans les assemblés de ceux qui sont soufis (al-qawm), car par leur fréquentation la science, la vigilance intérieure (al-mourâqaba), l'humilité (al-khashya), le renoncement (az-zouhd), et l'aspiration spirituelle augmentent. » Selon cheikh Qutb ad-dîne ibn Ayman, l'Imâm Ahmad Ibn Hanbal incitait son fils à fréquenter les soufis, lui disant : « Ils ont atteint un degré de pureté d'intention qui nous fait encore défaut... 
»

assalam alakoum

REPONSE DE IMAM IBN JAWZI
AUX

Mensonges des soufis



L'Imâm Abou Hanîfa (85-150H) a dit :
L'Imâm Mâlik Ibn Anas (95-179H)
L'Imâm Ahmad Ibn Hanbal (164-241H)
L'Imâm Shâfi'î (150-205H) :


Si quelqu’un adhère au Tasawwuf au début du jour, il ne faudra pas attendre le soir avant qu’il est perdu la tête.
(L’Imam Shâfi’î).


Ces grand imam non jamais ete soufis, au contraire il refutais le premier soufis bien que le premier avaient une egarement moin grave que ceux qui sont venu apres , attribue ses propos a ses imams n’est qu’un mensonge. nous Allons laisser
Imam ib AL Jawzi refute cela dans le livre Tabliss iblis, meme les sahaba non pas ete épargner du mensonge


ibn el Jawzî s’attaque à Abû Na’îm pour avoir osé
compter les Compagnons au nombre des soufis.


les 4 imams non jamais ete soufis

ibn el Jawzî s’attaque à Abû Na’îm pour avoir osé compter les Compagnons au nombre des soufis. Il souligne en effet :
« Ensuite, il y a eu Abû Na’îm el Asbahânî qui leur a consacré son livre el Huliya. Dans ses pages, il attribue aux soufis des choses complètement intolérables. Sans la moindre gêne, il compte dans leurs rangs, certains élites des Compagnons tels qu’Abû Bakr, ‘Umar, ‘Uthmân, et ‘Alî. Il leur impute des annales invraisemblables.

Il recense notamment dans leurs rangs, el Qâdhî Shuraïh, el Hasan el Basrî, Sufiân e-Thawrî, et Ahmed ibn Hanbal. Dans son encyclopédie Tabaqât e-Sufiya, e-Sulamî compte parmi eux el Fudhaïl ibn ‘Iyâdh, Ibrâhim ibn Adham, et Ma’rûf el Karkhî, sous prétexte qu’ils étaient des ascètes.
Or, le soufisme est une tendance bien connue dont les pratiques vont au-delà de l’ascétisme. La preuve qu’il n’y a aucune comparaison à faire, c’est qu’aucun savant ne condamne l’ascétisme contrairement au soufisme comme nous allons le voir. »[3]
Talbîs Iblîs (p. 148).



LE PREMIER OUVRAGE SOUFIS FURES COMPOSEE PAR
Hârith ibn Asad el Mahâsi

IMAM Ahmed ibn Hanbal a mit en garde contre lui



Le soufisme a vu le jour à l’époque d’el Hasan el Basrî et de Mohammed ibn Sîrîn qui s’opposèrent à ses premiers adeptes. Cependant, les premiers écrits soufis, furent composés, à ma connaissance, par el Hârith ibn Asad el Mahâsibî

Ibn el Jawzî dit:
Nous avons rapporté également qu’Ahmed ibn Hanbal a déclaré à l’un de ses amis, après avoir entendu certaines paroles d’el Hârith el Mahâsibî : « Tu ne dois pas selon moi t’asseoir avec ces gens-là. » »

Ibn el Jawzî poursuit :
« El Khallâl relate dans son recueil e-Sunna qu’Ahmed ibn Hanbal a dit : « Mettez fermement en garde contre el Hârith. El Hârith est à la tête de tous les problèmes (liés à l’affaire de Jahm ibn Safwân). Il a réussi en effet à faire adhérer un tel et un tel au discours de Jahm. Il reste un refuge pour les adeptes du Kalâm. El Hârith est comme un lion à l’affut de sa victime. »

La face cachée du soufisme
[mizab.over-blog.com]
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Modifié 1 fois. Dernière modification le 01/03/12 07:23 par rosiles.
f
24 février 2012 22:12
Citation
bahjaoui25 a écrit:
Citation
faqir a écrit:
Citation
bahjaoui25 a écrit:
salam o aleykoum,

faqir:

je suis désolé de te le dire mais:

« Je suis mort en minéral et suis devenu une plante
Je suis mort en plante et me suis élevé en animal
Je suis mort en animal et je fus un homme. »

c'est plutôt la théorie de l'évolution, ce que dit rumi, c'est pratiquement toute les étape de l'évolution,

car tu m'explique le coté minérale, mais la plante???? le coté animal????

ensuite tu cite le hadith mais en aucun cas cela justifie les parole hallaj qui dit clairement si vous me voyez vous le voyez, a3ozobillah, tu dit qu'il faut pas prendre les chose au pieds de la lettres mais cela veux dire ce que cela veux dire,

on métaphore pas a tord et a travers justement pour ne pas créer les ambiguïtés et tu peut dire tout ce que tu veux cela reste très ambigüe pire même, il dit nous somme deux cohabitant dans le même corps demande a 100 personnes ce qu'elles en comprennent et 99 te répondra par le sens apparent,


Assalam alaikoum


Comment peut-on parler de la théorie de l'évolution en ce qui concerne Rûmi, alors qu'il est né en 1207, et Darwin n'est né qu'en 1809 ? Il ne faut pas confondre l'évolution avec la théorie de l'évolution. L'évolution est une loi universelle, et ce qui est sûr c'est que la vie sur terre a connu une évolution, de la forme minérale, à la forme végétale, à la forme animale, pour aboutir à la forme humaine. Pour Rûmi, il s'agit d'une évolution non de forme, non temporelle, mais spirituelle, c'est à cette évolution spirituelle qu'il fait allusion dans son poème.
En ce qui concerne la parole de Hallâj : « si tu me vois, tu Le vois », on peut la comprendre dans le sens qu'elle fait allusion à ce que la créature, notamment l'homme, la créature la plus parfaite, est une image du Créateur, dans la mesure où elle est Son œuvre. Comme j'avais dit, il ne faut pas prendre ce genre de symbolisme à la lettre, il faut se situer au-delà de la lettre, qui n'est qu'un support, et c'est par cette façon littérale, de voir les choses, que l'auditoire de Jésus ont été détournés du sens réel de son message, et qu'ils l'ont pris pour un dieu, ou pour Dieu lui-même, ou pour Son fils.
Cependant, je suis d'accord qu'on ne peut abuser du langage, et l'utiliser de manière à créer la confusion et l’ambiguïté, c'est pourquoi le Prophète (s.s.p.) nous a demandé de nous adresser aux gens selon leur entendement, et les soufis eux-mêmes n'acceptent pas ce genre de langage démesuré, qu'ils appellent chatahâts, et n'en font pas référence.

wa aleykoum o salam,

la premiére théorie scientifique de l'évolution a commencé avec lamarck et ensuite darwin au 19é siécles mais l'idée même de l'évolution existait déjà chez les philosophe grecs et romains bien avant darwin et lamarck,

tu dis que ce n'est pas une évolution de forme ni temporelle mais spirituelle, comment l'expliquerais tu avec le coran et la sunna? sachant que cela comporte beaucoup de d'ambiguÏté,

ensuite tu dis qu'il ne faut pas prendre le symbolisme a la lettre?? mais Allah soubhana wa ta3ala a choisi et a révélé a son prophéte (sws) un message clair, pourquoi chercher ailleurs d'autre symbolisme que ce que nous a apporter notre prophéte (sws)??

je suis désoler de te le dire mais ces texte sont plus a même d'égarer les gens car jusqu'à preuve du contraire une personne qui est novice et qui lit ce genre de chose ne peut que s'égarer car il n'y as pas de notice pour savoir comment lire ou comment décrire ce qui est écrit,

Allah soubhana o ta3ala est au dessus de tout, on métaphore pas a sa guise quand il s'agit du Créateur de toutes choses,


Assalam alaikoum


Ces états inférieurs nous les portons effectivement en nous, nous ne pouvons nous en extraire. Nous ne pouvons nier l'animalité qui est en nous et qui peut se manifester, par exemple, sous forme d'agressivité. C'est cette animalité qui s'impose quand l'homme perd sa raison, perd sa lumière (de la raison), par laquelle il s'est distingué de l'animal, c'est pourquoi il est dit dans le Coran : « Ils sont comme les bestiaux, même plus égarés encore », et il est dit aussi : « Nous avons certes créé l'homme dans la forme la plus parfaite. Ensuite, Nous l'avons ramené au niveau le plus bas. Sauf ceux qui croient et accomplissent les bonnes œuvres : ceux-là auront une récompense jamais interrompue. » L'homme, en dépit de sa création parfaite, son sort, entre la descente au plus bas de lui-même et l'élévation vers sa condition humaine, lui étant lié.

Cette question du symbolisme, on la retrouve dans le Coran. Par exemple quand il y est mentionée «la Main de Dieu», la réalité de cette «Main», divine, nous est inconnue, rien ne lui est semblable ou comparable. Aussi, quand les soufis ont recours à des termes, tel «vin» (khamr), «ivresse» (sukr), «union» (wasl), «séparation» (fasl), le sens de ces termes, désignant dans ce cas des états spirituels, ne correspondant pas à leur sens apparent. On peut ne pas être d'accord avec le recours d'une telle terminologie, cependant, on devrait distinguer et ne pas confondre, à propos d'elle, entre le sens linguistique (lughawi) et le sens conventionnel (istilâhi), spécifique, au domaine du soufisme. Ceci dit, il y a toujours des limites et des mesures à respecter dans le langage, et on ne peut accepter le langage démesuré, sortant des limites.
b
24 février 2012 22:14
Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum

Prendre le soufisme comme prétexte de justifier toute déviation, comme prendre toute déviation comme prétexte de le condamner, sont deux attitudes, toutes les deux, non justes, l'attitude juste, équitable, consiste, tout en dénonçant la déviation, à reconnaître au soufisme sa place, chose qu'on trouve chez les Imâms des quatre madhâhibs.

L'Imâm Abou Hanîfa (85-150H) a dit : « S'il n'y avait pas ces deux ans j'aurais péri (…) Pendant deux ans j'ai été le compagnon de Sayyidina Ja'far as-Sâdiq et j'ai acquis la science spirituelle qui a fait de moi un Connaissant ('ârif) de la Voie. »

L'Imâm Mâlik Ibn Anas (95-179H) a dit : « Quiconque pratique le soufisme sans loi est hérétique , quiconque suit la loi sans pratiquer le soufisme a dévié, celui qui conjoint les deux réalise la vérité. »

L'Imâm Shâfi'î (150-205H) : « J'ai fréquenté des soufis et j'ai tiré profit (de ce compagnonnage) à travers trois de leurs paroles : le temps est comme une épée, si tu ne le coupes il te coupe. Si tu n'occupes pas ton âme avec la vérité, elle t'occupe avec l'erreur. Le manque de protection est indigence (ou pauvreté). »
On sait que l'Imâm Shâfi'î fréquentait les soufis, s'attachait à eux et l'intérêt. Il était très attaché à Shaybâne ar-Râ'î. Selon al-Ghazâlî : « Shâfi'î s'asseyait devant Shybâne, comme un enfant s'accroupit à l'école coranique, et lui demandait comment il devait faire en tel est l'affaire. »

L'Imâm Ahmad Ibn Hanbal (164-241H), avant de fréquenter les soufis disait à son fils : « Mon fils, sois avec ceux qui étudient le hadîth, et loin des assemblés qui se nomment soufis. Car parmi eux, certains ignorent les principes de la religion. Puis Ibn Hanbal fut le compagnon de Hamza al-Baghdâdî, le soufi, et il connut les états spirituels des initiés. Il dit alors à son fils : « Sois dans les assemblés de ceux qui sont soufis (al-qawm), car par leur fréquentation la science, la vigilance intérieure (al-mourâqaba), l'humilité (al-khashya), le renoncement (az-zouhd), et l'aspiration spirituelle augmentent. » Selon cheikh Qutb ad-dîne ibn Ayman, l'Imâm Ahmad Ibn Hanbal incitait son fils à fréquenter les soufis, lui disant : « Ils ont atteint un degré de pureté d'intention qui nous fait encore défaut... »

wa aleykoum o salam,

excuse moi mais tu ne m'as toujours pas expliquer le concept de rumi avec le coran et la sunna?

est ce que tu indique la déviance des personnes que tu cite souvent? ibn arabi, hallaj, rumi?
f
24 février 2012 22:25
Assalam alaikoum

Dans les versets qui ont été cités, il est fait mention de forme parfaite de création et de descente, ce qui signifie qu'il y a un état, ou des états, inférieurs, et un cheminement qui devrait être fait, pour transcender ces état inférieurs, et retrouver cette condition humaine originelle, et c'est en ceci, je crois, que consiste le concept ou l'approche de Rûmi.
Si on parle de déviance, c'est au niveau du langage utilisé, et non de la croyance, au moins pour Rûmi et Ibn Arabi. Aussi, ce qu'il faudrait éviter ce sont ces expressions démesurées, ces chatahâts.
b
25 février 2012 18:09
Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum

Dans les versets qui ont été cités, il est fait mention de forme parfaite de création et de descente, ce qui signifie qu'il y a un état, ou des états, inférieurs, et un cheminement qui devrait être fait, pour transcender ces état inférieurs, et retrouver cette condition humaine originelle, et c'est en ceci, je crois, que consiste le concept ou l'approche de Rûmi.
Si on parle de déviance, c'est au niveau du langage utilisé, et non de la croyance, au moins pour Rûmi et Ibn Arabi. Aussi, ce qu'il faudrait éviter ce sont ces expressions démesurées, ces chatahâts.

wa aleykoum o salam,

on est bien d'accord que le langage peut amener a l'égarement???? surtout quand il y a beaucoup d'ambiguïté,

ensuite tu arrive a peu prés a expliquer qu'une parti de ce qu'a voulu dire rumi, et encore c'est tiré par les cheveux, mais le reste tu ne pourras pas étant donné que c'est de la philosophie et toi même tu le sais,

et sincérement ce que je reproche un peu au soufis c'est de ne jamais se désavouer des paroles de rumi, ibn arabi, et hallaj et surtout de contiuer a faire référence a eux comme grand savant! sachant qu'un grand savant ne peut avoir de tels parole ambigüe,

tu dit qu'on condamne un peu vite les soufis a cause de certaines paroles, mais est ce que tu condamne ces paroles? jusqu'a présent tu ne le fait pas beaucoup,
f
26 février 2012 11:24
Assalam alaikoum

Les chatahâts n'ont pas de considération dans le soufisme, si ce n'est symbolique et non effective, alors que ses détracteurs ne cessent de les prendre comme objet de détraction.
H
26 février 2012 15:43
salam alaykoum



Faqir ,
tu nous parle de jalaldine Rumi , le fondateur de l ordre des derviches tourneurs, considéré comme un saint , un mystique turc d origine persane.

Mais as tu lu ses livres ?

Par exemple dans son livre " le livre du dedans " . Bien qu assez interessant quand à l analyse psychologique sur les "états " des adeptes quand à leur voyage vers une recherche d unicité , il dérape largement en ce qui concerne l orthodoxie islamique et la conformité avec la sounna du prophète salahou alayhi wa salam .

Exemple ( parmis une multitudes) dans son livre ( le livre du dedans): Jalaldine Rumi est en compagnie de ses adeptes en train d'écouter des chants mystiques et de la musique essentiellement des sons de timbales. Vient alors l appel à la prière , et l un des adeptes demande aux musiciens de cesser la musique pendant l appel à la prière . Que dit alors le sheick souf Jalaldine Rumi ? il dit de ne pas arréter la musique pendant l appel à la prière du muezzin ,car cette musique est pour lui aussi une forme d adoration . Ca laisse perplexe sur les pratiques de ces cheikh mystiue soufi . Beaucoup de leur adeptes les considèrent comme des prophètes .

D autres exemples jalonnent le livre, parfois des situations ridicules où le cheikh explique à ses adeptes qu il faut donner la préseance à un chien en lui ouvrant le passage . Le cheik explique que le chien a eu un état supérieur aux adeptes à cause de la pensée que le chien aurait eu . Le chiekh aurait deviné la pensée du chien : le chien aurait pensé dans son cerveau cannin , qu'il était conscient d etre en présence d un maitre ( en l occurence le chiekh Rumi ), et que par cette pensée il s était élevé au dessus des adeptes.

Quel orgueil ! ca laisse perplexe sur les pratiques déviantes dans ces ordres soufis malgré les apparences qu ils donnent au monde extérieur.


Plus récemment , dans la zaouia Boutchichia de madagh on assiste a des situations ahurissante : baise-pieds, hysthérie collective lorsque le cheick Hamza apparait à ses adeptes, et autre exemple des adptes qui se regroupent et qui font des circubulation autour d un de leur chef ( comme on tournerait autour de la kaaba sacré) . Des innovations inquiétantes, et des dérives sectaires qui mènent à associer à dieu.



Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum

Les chatahâts n'ont pas de considération dans le soufisme, si ce n'est symbolique et non effective, alors que ses détracteurs ne cessent de les prendre comme objet de détraction.
b
26 février 2012 16:15
Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum

Les chatahâts n'ont pas de considération dans le soufisme, si ce n'est symbolique et non effective, alors que ses détracteurs ne cessent de les prendre comme objet de détraction.

wa aleykoum o salam,

la religion c'est le conseil, il faut se désavouer de l'innovation des paroles qui méne a l'égarement, il n'y as pas de symbolisme ou quoi que se soit, et il faut mettre en garde contre ceci, ce que tu ne fais jamais, tu chatahat mais tu les cite souvent,

ALLAH TA3ALA a révéler un message CLAIR a son PROPHETE (sws) , cela voudrais dire que ibn arabi hallaj et rumi, son meilleur que le prophéte???? que le prophéte (sws) aurai oublier de nous parler de certaines concernant le spirituel??

"toute chose nouvelle est innovation et toute innovation est un égarement et toute égarement c'est l'enfer"
H
26 février 2012 16:39
Malheureusement , les ordres soufis fonctionnent souvent comme des sectes avec un cheikh vénéré comme un gourou, et des adeptes aux ordres qui suivent aveuglément les pratiques imposés par leur cheikh fussent elles en oppostion avec la sounna du prophète salahou alayhi wa salam.


Une des positions extrême à laquelle sont arrivés certains ordres soufis , a force de déviance et d innovation, est le fait de s exempter de la prière .
leur orgeuil fut tel, que leur chiekh les a exempté de la prière en leur expliquant qu il avait atteint un état divin , et qu il n était plus necessaire de prier , et qu il avait dépassé l état des anges etc....

En réalité , ils ont rejoins Iblis ,que dieu nous en protège , dans la désobeissance à dieu et dans l association.
f
26 février 2012 17:33
Assalam alaikoum

Des fois, à cause d'une mal compréhension ou autre, on peut dévier le sens des choses, d'autres fois, effectivement la déviation existe. Celle-ci pouvant être définie comme étant une sortie et un dépassement des limites de la modération, que ce soit dans les paroles, telles les chatahâts, ou dans les actes, tel baiser les pieds, ou dans les sentiments, et comme dit l'adage : tout ce qui dépasse sa limite se renverse en son contraire. Une telle déviation peut avoir lieu en tout milieu, soufi, salafiste, sunnite, chiite, islamique... Aussi, ce qui est demandé c'est dénoncer la déviation elle-même, dans le but de corriger la situation, et non se précipiter dans les jugements et les condamnations, ce qui lui-même constitue une déviation. Ce qui est demandé c'est être positif et non négatif, constructif et non destructif.
b
26 février 2012 18:10
Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum

Des fois, à cause d'une mal compréhension ou autre, on peut dévier le sens des choses, d'autres fois, effectivement la déviation existe. Celle-ci pouvant être définie comme étant une sortie et un dépassement des limites de la modération, que ce soit dans les paroles, telles les chatahâts, ou dans les actes, tel baiser les pieds, ou dans les sentiments, et comme dit l'adage : tout ce qui dépasse sa limite se renverse en son contraire. Une telle déviation peut avoir lieu en tout milieu, soufi, salafiste, sunnite, chiite, islamique... Aussi, ce qui est demandé c'est dénoncer la déviation elle-même, dans le but de corriger la situation, et non se précipiter dans les jugements et les condamnations, ce qui lui-même constitue une déviation. Ce qui est demandé c'est être positif et non négatif, constructif et non destructif.

wa aleykoum o salam,

oui mais est ce que tu le fais???est ce que tu dénonce les déviations des personnage citée plus haut personne qui sont considérer comme de grand savant soufis? jusqu'à maintenant tu ne le fais pas,

le but de dénoncer est bien entendu de corriger la situation, est ce que tu le fais??? je ne pense pas,

tu dit qu'il ne faut pas se précipité dans les jugement et les condamnation ce qui constitu une déviance, mais est ce que tu accepte la dénonciation?? est ce que tu corrige??? non alors ne te demande pas pourquoi il y a des condamnations, tu dit que c'est une déviation de condamner, amr bi al ma3rouf o anhy al mounkar mais si les nassiha ne sont pas accepter je suis désoler mais a partir de là il y a les condamnation et les mise en garde,

et comment être positif devant des égarement évident, entre une personne qui dit que dieu et lieu sont dans le même corps tu as beau essayer de justifier de tels parole ignoble???? tu n'y arriveras pas, ensuite un autre dit qu'il reçoit des révélations divine comment tu peut trouver du positif????? ensuite un autre défini des étape qui ne sont pas connu en islam et de plus il insére la musique dans la spiritualité et de nouvelle rite qui sont inexistante en islam, comment trouver du positif la dedans????

et pour finir comment trouver du positif dans de l'égarement????

je me rappel d'une parole que tu m'avais dite qui est l'égarement pour certains peut ne pas l'être pour d'autre, en d'autre termes tu cautionnent tout ce que dise c'est personne malgrés qu'il n'y a aucune trace de sa dans le coran et la sunna???

en gros tu veut rendre positif des égarement de personne qui se sont cru meilleure que le prophéte (sws) en spiritualité,
f
26 février 2012 20:32
Assalam alaikoum

En ce qui concerne l'évolution spirituelle, d'un état inférieur à un état supérieur, ceci c'est l'essence du Coran et de la Sunna, comment peut-tu dire que ceci ne fait pas partie d'eux? Pour la révélation comme signification d'inspiration divine ceci existe, comme je l'avais expliqué, dans le Coran. Pour les paroles de Hallaâj, que tu a citées, je l'avais déjà dit, elles ne sont pas acceptables, et n'ont aucune considération effective dans le soufisme. En ce qui concerne la musique, effectivement il y a des soufis, et notamment Rûmi, qui l'ont introduite dans l'éducation spirituelle, là les avis à ce propos peuvent différer, et c'est ce genre de choses que je signifiais quand j'ai dit que ce qui est égarement pour toi peut ne pas l'être pour un autre. Etre positif ne signifie pas justifier la déviation, c'est trouver un certain équilibre et un juste milieu entre, ne pas justifier l'erreur et ne pas se précipiter dans la condamnation.
26 février 2012 23:23
Assalam Aleikoum

Merci à toi khoya Faqir pour toute la patience dont tu fais preuve .


Voici un conte soufi sur les bonnes et mauvaises pensées:


Les hommes sont comparables à des murs situés face à face.

Chaque mur est rempli d'une multitude de petites cages, où nichent des oiseaux blancs et des oiseaux noirs.

Les oiseaux noirs, ce sont les mauvaises pensées et les mauvaises paroles.

Les oiseaux blancs, ce sont les bonnes pensées et les bonnes paroles.

Les oiseaux blancs, en raison de leur forme, ne peuvent entrer que dans des cages d'oiseaux blancs, et il en va de même pour les

oiseaux noirs, qui ne peuvent nicher que dans des cages d'oiseaux noirs.


Maintenant imaginons deux hommes qui se croient ennemis l'un de l'autre. Appelons-les A et B.

Un jour A est persuadé que B lui veut du mal, se sent rempli de colère à son égard et lui envoie une très mauvaise pensée. Ce faisant,

il lache un oiseau noir et, du coup libère une cage correspondante. Son oiseau noir s'envole vers B et cherche pour s'y nicher, une

cage vide adaptée à sa forme.

Si, de son coté, B n'a pas envoyé d'oiseau noir vers A, c'est à dire une mauvaise pensée, aucune de ses cages noires ne sera vide.

L'oiseau noir de A sera obligé de retourner vers sa cage d'origine, ramenant avec lui le mal dont il était chargé, mal qui finira par

ronger et détruire A lui-même.

Mais, imaginons que B a, lui aussi émis une mauvaise pensée. Ce faisant, il a libéré une cage où l'oiseau noir de A pourra entrer afin

d'y déposer une partie de son mal, et y accomplir sa mission de destruction. Pendant ce temps, l'oiseau noir de A volera vers B et

viendra loger dans une cage libérée par B.

Ainsi les deux oiseaux noirs auront atteint leur but et travailleront à détruire les deux hommes auquels ils étaient destinés...


Une fois leur tâche accomplie, ils reviendront chacun à leur nid d'origine, car il est dit que "toute chose retourne à sa source".

Le mal dont ils étaient chargés n'étant pas épuisé, ce mal retournera contre leurs auteurs et achèvera de les détruire.

L'auteur d'un mauvais souhait, d'une mauvaise pensée, est donc atteint à la fois par l'oiseau noir de son ennemi et par son propre

oiseau noir, lorsque celui-ci revient vers lui.


La même chose se produit avec les oiseaux blancs.

Si nous n'émettons que de bonnes pensées envers notre ennemi, alors que celui-ci ne nous adresse que de mauvaises pensées, ses

oiseaux noirs ne trouveront pas de place où loger chez nous, et retourneront à leur expéditeur.

Quant aux oiseaux blancs porteurs de bonnes pensées que nous lui aurons envoyées, s'ils ne trouvent aucune place chez notre

ennemi, ils nous reviendront chargés de toute l'énergie bénéfique dont ils étaient porteurs. C'est pour cela qu'il faut toujours bénir

ses amis et ses ennemis. Non seulement la bénédiction va vers son objectif pour accomplir sa mission,mais encore elle revient vers

nous, un jour ou l'autre avec tout le bien dont elle était chargée.
La vérité est un miroir tombé de la main de Dieu,et qui s'est brisé.Chacun en ramassa un fragment et dit que toute la vérité s'y trouve. [center]Amazighiya face à l'homme et soumise uniquement à Dieu .[/center]
28 février 2012 21:06
La Franc-maçonnerie est un sponsor probable du Soufisme
aujourd'hui, afin d’éloigner la jeunesse musulmane de l'Islam


ils s’accroche a des conte et délaisse les récit authentique


L’imam Malik Ibn Anas -Qu’Allah lui fasse miséricorde- a dit :
Ce qui ne faisait pas parti de la religion au temps du Prophète (Prières et bénédiction d'Allah sur lui) et de ses Compagnons, ne fera jamais parti de la religion.


Le Soufisme est un schisme développé lors du quatrième siècle post-Hégire, exploité par les sectes déviantes, les sectes Batinis et par le reste des ennemis de l'Islam, tels que les juifs, les Mages et les Croisés, afin d’altérer la ’Aqida islamique (dogme) et l’unité musulmane. « Le Soufisme » d’après le renommé Cheikh Abou Bakr Djaber Al-Djazaïri, « est une déception honteuse qui commence par le dhikr (récitation des noms d'Allah) et aboutit à l'incrédulité. Sa manifestation extérieure semble traduire la piété, mais sa réalité profonde est une désobéissance aux commandements d’Allah.

Afin d'explorer en détail le Soufisme, ses principes fondamentaux doivent d'abord être explicités, afin d'avertir la communauté musulmane du piège de cette innovation, sachant que le nombre de prêcheurs du soufisme augmente.

La Franc-maçonnerie est un sponsor probable du Soufisme aujourd'hui, afin d’éloigner la jeunesse musulmane de l'Islam pur, basé sur le livre d'Allah et la Sounna de Son Messager Mouhammad Prières et bénédiction d'Allah sur lui-. Les ennemis de l'Islam craignent les conséquences d'une telle renaissance, parce qu'elle affecte tout le monde musulman et diminue leur influence.

Ce qui suit sont les principes fondamentaux du Soufisme jugés par le Coran et la Sounna, que nous allons étudier point par point :

La structure des Ordres Soufis


– Le Cheikh certifié
– Al-’Ahd (le serment d'allégeance)
– Le rituel du Wird soufi – Al-Khalwah (Séclusion)
– Al-Kashf (dévoilement)
– Al-Fanaa (l’annihilation)
– La science manifeste et secrète
– Al-Aqtaab (les pôles)
– Al-Awliyaa (les tuteurs saints).
[www.suficinema.com]


Structure des Ordres Soufis

Le Soufisme établit un lien fondamental entre le Cheikh, chef de la tariqah Soufie (Ordre), et le mourid (débutant), un lien qui s’étend toute leur vie et qui continue après leur mort. Le mourid prend un serment d’allégeance (’ahd) et jure obéissance au Cheikh, qui promet en contrepartie de résoudre tous ses problèmes et de le délivrer de chaque dilemme toutes les fois qu'il le consulte. Le Cheikh promet également d’intercéder en sa faveur auprès d’Allah pour qu'il puisse être admis au Jennah (Paradis).

le pauvre mourid

Le mourid promet d’être consciencieux dans la pratique du dhikr assigné par son Cheikh, d’adhérer aux règles de l’ordre, et d’accepter sa loyauté à vie envers un ensemble de comportements édictés par l’ordre. La domination du Cheikh sur son mourid est donc presque totale. On s'attend à ce que le comportement du mourid même en dehors de l’ordre se conforme aux règles établies par l’ordre. Et lorsque un conflit avec des obligations extérieures surgit, le mourid doit agir en tant que Soufi et d’après les règles de son Ordre.


L’Ordre Tijaniyyah fait promettre à chaque mourid de ne pas visiter les tombes d’autres personnalités pieuses ou de ne pas consulter tout Cheikh vivant. C'est un des facteurs principaux élargissant le fossé entre les différents ordres, entraînant un conflit entre eux, le but étant de convertir les membres des autres ordres, conquérir ou annihiler les autres ordres

a suivre ncha Allah
29 février 2012 12:14
Citation
sheera a écrit:
Assalam Aleikoum

Merci à toi khoya Faqir pour toute la patience dont tu fais preuve .


Voici un conte soufi sur les bonnes et mauvaises pensées:


Les hommes sont comparables à des murs situés face à face.

Chaque mur est rempli d'une multitude de petites cages, où nichent des oiseaux blancs et des oiseaux noirs.

Les oiseaux noirs, ce sont les mauvaises pensées et les mauvaises paroles.

Les oiseaux blancs, ce sont les bonnes pensées et les bonnes paroles.

Les oiseaux blancs, en raison de leur forme, ne peuvent entrer que dans des cages d'oiseaux blancs, et il en va de même pour les

oiseaux noirs, qui ne peuvent nicher que dans des cages d'oiseaux noirs.


Maintenant imaginons deux hommes qui se croient ennemis l'un de l'autre. Appelons-les A et B.

Un jour A est persuadé que B lui veut du mal, se sent rempli de colère à son égard et lui envoie une très mauvaise pensée. Ce faisant,

il lache un oiseau noir et, du coup libère une cage correspondante. Son oiseau noir s'envole vers B et cherche pour s'y nicher, une

cage vide adaptée à sa forme.

Si, de son coté, B n'a pas envoyé d'oiseau noir vers A, c'est à dire une mauvaise pensée, aucune de ses cages noires ne sera vide.

L'oiseau noir de A sera obligé de retourner vers sa cage d'origine, ramenant avec lui le mal dont il était chargé, mal qui finira par

ronger et détruire A lui-même.

Mais, imaginons que B a, lui aussi émis une mauvaise pensée. Ce faisant, il a libéré une cage où l'oiseau noir de A pourra entrer afin

d'y déposer une partie de son mal, et y accomplir sa mission de destruction. Pendant ce temps, l'oiseau noir de A volera vers B et

viendra loger dans une cage libérée par B.

Ainsi les deux oiseaux noirs auront atteint leur but et travailleront à détruire les deux hommes auquels ils étaient destinés...


Une fois leur tâche accomplie, ils reviendront chacun à leur nid d'origine, car il est dit que "toute chose retourne à sa source".

Le mal dont ils étaient chargés n'étant pas épuisé, ce mal retournera contre leurs auteurs et achèvera de les détruire.

L'auteur d'un mauvais souhait, d'une mauvaise pensée, est donc atteint à la fois par l'oiseau noir de son ennemi et par son propre

oiseau noir, lorsque celui-ci revient vers lui.


La même chose se produit avec les oiseaux blancs.

Si nous n'émettons que de bonnes pensées envers notre ennemi, alors que celui-ci ne nous adresse que de mauvaises pensées, ses

oiseaux noirs ne trouveront pas de place où loger chez nous, et retourneront à leur expéditeur.

Quant aux oiseaux blancs porteurs de bonnes pensées que nous lui aurons envoyées, s'ils ne trouvent aucune place chez notre

ennemi, ils nous reviendront chargés de toute l'énergie bénéfique dont ils étaient porteurs. C'est pour cela qu'il faut toujours bénir

ses amis et ses ennemis. Non seulement la bénédiction va vers son objectif pour accomplir sa mission,mais encore elle revient vers

nous, un jour ou l'autre avec tout le bien dont elle était chargée.

Assalam Aleikoum

Le titre du conte Les oiseaux blancs et les oiseaux noirs

Et la finalité de ce conte

C'est ce que les soufis appellent " l'égo souhaitable " C'est l'Amour de Soi valable, lié au respect de soi-même et de son prochain, parce que tout homme, bon ou mauvais, est le dépositaire d'une parcelle de Lumière en tant qu'étincelle issue de l'Irradiation Divine. C'est pourquoi les Soufis, conformément à l'Enseignement du Prophète, ne veulent souiller ni leur bouche ni leur être, par de mauvaises paroles ou de mauvaises pensées, même par des critiques apparemment bénignes.
La vérité est un miroir tombé de la main de Dieu,et qui s'est brisé.Chacun en ramassa un fragment et dit que toute la vérité s'y trouve. [center]Amazighiya face à l'homme et soumise uniquement à Dieu .[/center]
29 février 2012 20:29
...La vérité dans ce qui a été rapporté d’après l’un des maîtres soufis
bien connus, en l’occurrence, as-Sayyid Ahmad ar-Rifaï ?...




question,
Quelle est la part de vérité dans ce qui a été rapporté d’après l’un des maîtres soufis bien connus, en l’occurrence, as-Sayyid Ahmad ar-Rifaï ?
Quand celui-ci a visité la mosquée du Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) et formulé des prières près de la tombe de celui-ci, le Messager (bénédiction et salut soient sur lui) lui aurait tendu sa noble main et le visiteur l’aurait embrassée. Cette information est très répandue au sein des adeptes de sa voie et prise pour eux comme une information sûre. Pourtant l’homme vécut au VIe siècle de l’Hégire (XIIe siècle). Est-ce exact ?[1]

reponse,voir le lien.
[www.habache.online.fr]
f
4 mars 2012 14:28
Assalam alaikoum

Je mets en partage cet extrait de cheikh al-Alawi, qui met la lumière sur quelques aspects de cette question.





Il n'y a rien de plus nuisible que de fréquenter un savant insouciant de Dieu, un soufi ignorant ou un prédicateur hypocrite..

Effectivement, rien n'est plus nuisible pour l'aspirant que de fréquenter ce genre de personnes – que Dieu nous préserve de leur mal.

Le savant insouciant de Dieu c'est celui qui se limite à l'aspect exotérique de la tradition, négligeant ce qui va au-delà. Il prétend qu'il n'y a pas d'autre science que celle qu'il a acquise, ignorant les secrets spirituels que le Peuple est seul à détenir et à transmettre. rien n'est plus nuisible qu'une telle personne, car celui qui le fréquente le prendra inévitablement comme modèle, voyant en lui un savant. Il est même possible qu'il lui démontre par a plus b que l'Islam n'est rien de plus que ce qu'il en a lui-même compris. Les gens qui le suivent acquerront ainsi une connaissance purement extérieure du Livre et de la tradition du Prophète, et passeront totalement à côté de la réalité intérieure qui était celle des compagnons de l'Envoyé, eux qui étaient purs et exemplaires. La plupart des gens qui suivent ce genre de savants, car ils affichent l'étiquette de la science de l'enseignement, alors même qu'ils représentent en réalité un obstacle à l'acquisition de la véritable science, qu'il ne connaissent pas car elle ne se limite pas au domaine de la raison et de la tradition.

[…]

La fréquentation d'un soufi ignorant est également nuisible, et même plus nuisible que celle du savant insouciant dont nous venons de parler. Cette expression vise le prétendu cheikh qui revendique la maîtrise spirituelle et affirme connaître les modalités du cheminement initiatique, alors que ses connaissances en la matière sont purement théoriques. Un tel genre de maître est séparé et sépare de Dieu, et rien n'est plus grave que sa faute, car le Prophète a dit : « Le pire châtiment, le jour de la résurrection, sera infligé à celui que les gens estimaient, alors qu'il n'y avait en réalité rien de bon en lui », c'est-à-dire celui qui revendique la maîtrise spirituelle, prenant l'aspect du Peuple, mais chez qui tout cela relève d'une prétention totalement illusoire. 

Voilà ce que signifie l'expression « soufi ignorant », quant à celui qui ignore les règles de la Loi, il ne réussira probablement pas à duper l'aspirant, mais c'est surtout le prétendu maître, qui n'a reçu du Peuple que le rite de rattachement, l'utilisation du rosaire et de la canne, ainsi que le port du turban. Il ressemble ainsi au Peuple extérieurement mais s'en distingue intérieurement. En ce sens, on a dit :

Le soufisme, ce ne sont pas les cannes et les chapelets ;
La qualité de faqîr, ce n'est pas une apparence qui te fait accéder au faste,
Ou aller de ci, de là avec un froc rapiécé,
Alors qu'à l'intérieur se trouve l'orgueil et l'excès ;
Ou exhiber ton ascétisme en ce bas-monde alors
Que tu t'acharnes sur lui autant que le chien s'acharne sur la charogne.
La qualité de faqîr est un secret dont l'ego te voile ;
Enlève ton voile et l'obscurité sera illuminée.
Abandonne le genre humain et éteins ton moi en un instant ;
Oublie le monde sensible et pleure des larmes de peine.
J'ai écris ce poème pour louer la voie du Peuple et ceux qui l'ont suivie :
O substance précieuse, comme l'est sa recherche même !
O voie sublime, qui au-dessus de la vie animale s'élève !
La canaille, dans son ignorance, s'est imaginée
que la voie du Peuple consiste à s'affubler d'un turban,
A former de n'importe quelle manière des clans,
Alors que la Loi de Dieu s'oppose à tous péchés.
Il n'y a rien de bon dans la plupart de leurs conversations,
Sauf quand l'un d'eux recommande ce qui est bon (4, 114),
Et s'oppose à toute forme d'iniquité.

Une telle personne n'est rien d'autre qu'un obstacle sur la voie, car sa fréquentation est plus nuisible qu'utile.
4 mars 2012 18:51
assalam alakum


deja les tout premier soufisme était plus verset dans la sounna que ceux d’aujourd’hui malgré cela les salaf ont mit en garde contre eux, ne vient pas nous raconter des salades.
si les anciens soufis voyais dans quel extrémiste vous êtes tomber, ils auraient surement pris la fuite
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