Après 15 jours de massacres de civils (femmes et enfants, personnel médical) et d'atrocités en tous genres (coupure d'eau, d'électricité, bombardement d'élevages de poulets )), de black-out total sur l'information et sur leurs pertes militaires, les SS sionistes ne savent plus où donner de la tête :
La responsabilité du jusqu'au boutiste Olmert, est lourdement engagée. Apparemment, c’est lui qui pousse au crime.
Tzipi Livni, ministre des affaires étrangères (et ex-espionne de la CIA et du Mossad en Europe), souhaiterait qu’Israël stoppe son offensive.
Barak, ministre de la défense, serait favorable à une trêve. Un article du Nex York Times d’hier affirmait que Barak ne voulait PAS d’une attaque contre Gaza, mais qu’il s’y est résigné sous la pression d’Olmert, son chef hiérarchique.
Olmert laissera le souvenir d’un escroc doublé d’un hypocrite patenté, et désormais d’un meurtrier comme son maître « Arik » Sharon. Déjà, dans les années 80, il s’était fait publiquement traiter par un collègue parlementaire à la Knesset de « vipère lubrique »… ce qui avait bien fait rire à l’époque. Ce qualificatif était en-deçà de la vérité, hélas…
Israël commence à jouer gros dans cette affaire, car il semble que même l’opinion publique américaine, traditionnellement favorable à l’état hébreu, a commencé à basculer. CNN montre des images très choquantes pour l’opinion états-unienne, et retransmet en plus des témoignages de correspondants téléphoniques qui sont encore plus effrayants.
Au bout du compte, c’est le Hamas qui triomphe dans les esprits, sinon dans les coeurs, ainsi qu’on pouvait s’y attendre dès le début des bombardements.
Le fait qu’Obama l'esclave métis lance un ballon d’essai concernant des pourparlers secrets (mais directs) avec le Hamas devrait inciter les Israéliens à la retenue, car on est sans doute à la veille d’une reconnaissance officieuse du Hamas comme porte-parole légitime des Palestiniens — soit précisément l’opposé de ce que voulaient les Israéliens avec le soutien, lézardé chaque jour davantage, de l’Union européenne et des Etats-Unis.
D'un autre côté, cette guerre a mis au grand jour la peur, la faiblesse et la collaboration des régimes arabes corrompus et le fossé chaque jour grandissant entre les peuples arabes avides de justice, de démocratie et de liberté et leurs dirigeants soumis, asservis et traîtres.
maintenet, il faut menner aussi une guerre contre les gouvernements des pays arabes, ils faut qu'ils justifient leur soutien à ce génocide. tous les dirigents des pays arabes doivent être déchues de leurs pouvoirs et titres.