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sfr sait faire du racisme
w
19 février 2009 13:08
[www.liberation.fr]

heureusement que je ne suis pas chez eux.

a ceux ou celles qui sont chez cet operateur racistes, je vous suggere de quitter ou tout au moins de menacer de quitter pour la concurence. meme si vous ne voulez pas changer d operateur, vous pouvez obtenir un geste commercial pour qu il vous garde.
faites leur savoir que c est une politique degueulasse et que si a l avenir ils font de la descrimination, vous ne serez plus aussi cool.
on vous opposant a ces pratique c est vous meme ou vos proches que vous aider a avoir un post sns etre victime de racisme.

reflechissez et agissez.
n
nah
19 février 2009 13:12
Salamsmiling smiley


voila ce qui a d'ecrit sur le lien "Articles inaccessibles, d'autres qui renvoient vers des mauvaises pages: Liberation.fr rencontre actuellement des problèmes techniques. Veuillez nous en excuser, nous tâchons de corriger cela au plus vite."
[b][color=#FF0000]:L:***Nadia[/color] [color=#006633]Casawia***:L:[/color][/b][color=#009900][center][b]Mok Yaaa Mok!!![/b][/center][/color]
w
19 février 2009 13:22
merci nah

allez sur un moteur de recherche et taper sfr condamné pour racisme et vous pourrez peut etre acceder a l article de libé ou un autre media.

sinon en gros sfr a reconnu et a été condamné (amende ridicule) pour descrimination.
dans certaines annonces il était cairement stipuler que la personne doit etre française et que ses parents egalement.
19 février 2009 16:02
Salam,

Voilà l'article :



Etre «impérativement français et de préférence de parents français, nés en France». Cette précision apportée à une annonce pour un poste d'ingénieur technique habilité secret-défense diffusée en 1999 a conduit hier lundi deux anciens cadres de Cegetel devant la 17e chambre du tribunal correctionnel de Nanterre poursuivi par SOS Racisme pour discrimination à l'embauche. Patrick Halleguen et Philippe Hannebicque ont reconnu le caractère discriminatoire de l'annonce. «Je suis bien l'auteur de ces propos malencontreux et maladroits que je regrette», a même précisé Patrick Halleguen, directeur qualité et audit interne à l'époque, aujourd'hui sans emploi.

Si Philippe Hannebicque s'accorde aussi à dire que «la formulation était maladroite», il clame que «dans le contexte, il y avait l'urgence de trouver un expert face à la vulnérabilité de nos systèmes». Pour leur défense, les deux hommes expliquent qu'ils n'ont fait qu'interpréter les formulaires qu'eux-mêmes ont dû remplir pour leur habilitation secret-défense. «Nous n'étions pas au courant des conditions d'habilitation», se défend Philippe Hannebicque. Sur ces formulaires, apparaissent l'origine des parents, les voyages faits à l'étranger depuis cinq ans, les éventuels contacts avec les services secrets etc. «Nous avons fait une déduction malencontreuse», clame Patrick Halleguen. «Je n'imaginais pas que l'annonce passe si facilement entre les mailles du filet des RH», confie-t-il.

Quand Maxime Cessieux, avocat de SOS Racisme, prend la parole, il semble comprendre la contrainte de temps mais s'étonne que l'annonce soit passée au travers du comité de direction. Le procureur, Roland Banton, est lui aussi très surpris que les deux hommes n'aient pas demandé de l'aide pour ce processus d'habilitation qui les dépassait complètement.

Et puis, très vite, vient le problèmes des sociétés citées : Cegetel, SFR et Neuf Cegetel. Le procureur s'y perd. «Je me suis fait un schéma pour comprendre», plaisante Maxime Cessieux. «A l'époque, deux sociétés coexistaient : Cegetel groupe et SFR ancienne. En 2003, Cegetel a absorbé SFR mais a changé de dénomination pour donner SFR nouvelle. On poursuit SFR nouvelle parce que c'est Cegetel ancien», conclut Me Cessieux. Mais Olivier Fourmy, le président, s'y perd aussi. «Si on ne sait même pas quelle société on poursuit, souvent c'est perdu», ironise-t-il.

Samuel Thomas, vice-président de SOS Racisme, insiste sur le fait que dans cette annonce «vous aurez beau être les meilleurs, les plus fiables, si vous êtes étrangers, vous ne serez jamais habilitables secret-défense». Pour appuyer son propos, il cite de nombreux exemples de personnes étrangères habilitées. «Pourtant cette discrimination continue, regrette-t-il, au mois de décembre j'ai recensé 10 plaintes pour le même motif». S'appuyant sur les textes officiels existants sur les conditions d'habilitation, il affirme qu'«aucune consigne de discrimination fondée sur la nationalité n'est donnée».

«Tout ce ceci devient le procès de SFR alors que c'est le procès de la procédure d'habilitation», clame l'avocate de SFR pendant sa plaidoirie. «Vous voulez juger des lampistes, ajoute-t-elle, même si l'annonce est très moche».

Le procureur, Roland Banton, a demandé de retenir la culpabilité des deux hommes et de Cegetel rebaptisé SFR. Il a requis des amendes de 1.000 et 3.000 euros pour les deux prévenus et de 100.000 euros pour la société Cegetel. Après trois heures d'audience, l'affaire a été mise en délibéré au 16 février.
19 février 2009 16:07
La 17e chambre correctionnelle du tribunal de grande instance (TGI) de Nanterre a condamné, lundi 16 février, "Cegetel-SFR" à 20 000 euros d'amendes, dont 10 000 avec sursis, pour avoir diffusé une offre d'emploi discriminatoire.

Deux personnes, qui travaillaient dans l'encadrement du groupe au moment des faits, ont également écopé d'une amende (1 000 euros dans un cas, 3 000 dans l'autre).

L'affaire est relativement ancienne. En septembre 1999, une petite annonce avait été diffusée sur le site Intranet de l'opérateur de télécommunications Cegetel (racheté, depuis, par SFR). Elle visait à trouver un "chef de projet" au sein du "département de la sécurité informatique" - un poste qui implique, parfois, d'intercepter des communications. "Attention, précisait le texte de l'annonce, le candidat doit être habilitable par des organismes de défense ou autre, il doit être impérativement français et, de préférence, de parents français nés en France."

Maintenue sur l'Intranet de l'entreprise pendant seize mois, l'offre d'emploi avait servi à recruter plusieurs salariés. Mais en janvier 2001, la CGT la dénonçait par voie de tracts à cause de son caractère "discriminatoire".

HABILITATION SECRET DÉFENSE

Alertée à peu près au même moment, l'association SOS-Racisme avait saisi la direction départementale du travail des Hauts-de-Seine, qui avait, à son tour, signalé l'affaire au parquet de Nanterre.

Malgré le retrait de l'annonce, une enquête préliminaire avait été ouverte. Elle s'était soldée par un classement sans suite, les juges estimant que l'infraction était "insuffisamment caractérisée".

A la suite d'une plainte de SOS-Racisme, les investigations avaient été rouvertes mais le dossier fut à nouveau classé. Finalement, le groupe et deux de ses cadres, responsables de la parution de l'annonce litigieuse, ont été jugés, le 12 janvier, dans le cadre d'une "citation directe" réclamée par SOS-Racisme.

A l'audience, les deux prévenus ont contesté avoir eu l'intention de trier les candidats en fonction de leurs origines. Insistant sur l'urgence à pourvoir le poste, ils ont fait valoir que la recrue devait pouvoir être habilitée secret défense et ont rappelé qu'ils n'avaient jamais procédé à une embauche de ce type auparavant.

De son côté, SOS-Racisme s'est appuyée sur deux documents officiels (dont l'un émane du ministère de la défense), qui montrent que la délivrance de l'habilitation n'est soumise à aucune condition de nationalité.

Le tribunal a considéré que l'annonce était "incontestablement destinée à écarter d'office toute personne qui (...) postulerait alors qu'elle est de nationalité étrangère ou d'origine étrangère". Elle "va encore plus loin (...) puisqu'elle tend à limiter les candidatures de ceux dont les parents seraient eux-mêmes étrangers", a-t-il ajouté, en concluant : "Le caractère discriminatoire des faits reprochés est donc établi."

SFR "prend acte" de cette condamnation, en précisant que le litige n'est "pas représentatif des modalités de recrutement actuellement en vigueur dans le groupe". Lundi soir, la direction n'avait pas encore décidé si elle comptait faire appel ou non de la décision du TGI.
Bertrand Bissuel (Le Monde)
M
19 février 2009 16:09
Si c'est vrai tout ça
La flotte téléphone entreprise qui rapporte une moyenne 600€/mois chez SFR sera radiée de suite.

.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 19/02/09 17:34 par MOUSSA3ID.
t
20 février 2009 09:31
La descrimination et le racisme en France!! c´ est tout à fait normalsmiling smiley)
l
20 février 2009 09:44
Citation
telev a écrit:
La descrimination et le racisme en France!! c´ est tout à fait normalsmiling smiley)


ben pas tant que cela vu qu'ils sont condamnés.
M
20 février 2009 10:35
Citation
l'européen a écrit:
Citation
telev a écrit:
La descrimination et le racisme en France!! c´ est tout à fait normalsmiling smiley)


ben pas tant que cela vu qu'ils sont condamnés.


la preuve: S'il ya condamnation il y'a racisme,

S'il n'ya pas de racisme il n'y aura pas de condamnation, et il n'exiterait ni même de loi pour le comdamner.
w
20 février 2009 11:49
Citation
MOUSSA3ID a écrit:
Citation
l'européen a écrit:
Citation
telev a écrit:
La descrimination et le racisme en France!! c´ est tout à fait normalsmiling smiley)


ben pas tant que cela vu qu'ils sont condamnés.


la preuve: S'il ya condamnation il y'a racisme,

S'il n'ya pas de racisme il n'y aura pas de condamnation, et il n'exiterait ni même de loi pour le comdamner.


exactement d accord. c est d une logique en plus. seuls les esprit obtus refusent de voir certaines réalités
 
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