Citation
Sigus a écrit:
Le président de think thank est Robert Malley. Il est actuellement l'envoyé spécial de Biden pour l'Iran.
Autrement dit ce rapport ne va pas tomber dans l'oreille d'un sourd.
On va sur une nomination d'un Envoyé special et la reprise des pourparlers avec le polisario.
Tout ce tintamarre pour en arriver la.
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Sigus a écrit:
Le président de think thank est Robert Malley. Il est actuellement l'envoyé spécial de Biden pour l'Iran.
Autrement dit ce rapport ne va pas tomber dans l'oreille d'un sourd.
On va sur une nomination d'un Envoyé special et la reprise des pourparlers avec le polisario.
Tout ce tintamarre pour en arriver la.
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Sigus a écrit:
Le président de think thank est Robert Malley. Il est actuellement l'envoyé spécial de Biden pour l'Iran.
Autrement dit ce rapport ne va pas tomber dans l'oreille d'un sourd.
On va sur une nomination d'un Envoyé special et la reprise des pourparlers avec le polisario.
Tout ce tintamarre pour en arriver la.
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gustavo321 a écrit:
Ajoutons à tout de qu'on vient de dire, et outre donc l'impasse faite par les ''analystes'' de ce rapport sur la symbolique et l'importance quasi sacrée de la question du Sahara pour l'ensemble de la société marocaine (une dimension que toute analyse géostratégique sérieuse ne peut négliger), un second facteur, totalement éludé par le ''think en toc''.
Il s'agit des situations politique, économique et sociale prévalant dans les deux pays. Comment un rapport qui se veut de réflexion et de proposition à un haut niveau, peut-il faire l'impasse d'une prise en compte des environnements socio-politiques dans lesquels se déroulent ces confrontations? Ainsi, l'Algerie est aujourd'hui perçue par l'ensemble des analystes sérieux comme au bord du gouffre au plan économique et social, et clairement instable et vacillante au plan politique et institutionnel.
Le Hirak, aujourd'hui encore son puissant souffle peut en témoigner, est loin d'être l'expression d'un simple mécontentement populaire passager et contextuel, mais se profile comme une lame de fond appelée à balayer l'ensemble des fondations d'un régime militaro-politique illégitime et prédateur.
Le Maroc, de son côté, et en dépit des problèmes sociaux et économiques qu'il doit surmonter, fait preuve d'une agilité et d'une résilience étonnantes et louables face à ces problèmes. Les investissements et réalisations accomplies ces dernières années, ainsi que les perspectives qu'il semble se tracer pour les années à venir dans des secteurs aussi stratégiques et variés que le tourisme, les biotechnologies, l'agro-industrie, l'industrie automobile ou aéronautique, les banques, et j'en passe, sont aussi ambitieuses que prometteuses.
Au plan politique, la stabilité dont jouit le pays est l'une des plus solide et des plus reconnue au plan international, et l'unanimité et la cohésion nationales sont totales et évidentes dès lors qu'il s'agit de l'intégrité territoriale et du Sahara marocain.
Dès lors, comment peut on parler de ''pressions'' sur les deux pays en les mettant sur un même pied d'égalité face aux dangers d'une guerre potentielle, alors que l'un, totalement déstabilisé et décrédibilisé de l'intérieur même, étouffé économiquement et socialement, sera de toute évidence incapable de faire face à une telle guerre (sera-t-il encore debout ce régime dans un an ou deux?). Tandis que l'autre, solide économiquement et stable politiquement, et adossé à une légitimité et une unanimité nationales sans faille, peut tenir un conflit sur le long terme sans que cela ne soit destructif pour sa cohésion nationale.
Ce rapport est une nouvelle bulle lancée par les lobbies algéro-polisariens aux États-Unis, et son contenu est totalement dépassé et déphasé par rapport à la situation sur le terrain et aux dernières évolutions ...
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Newhorizon20 a écrit:
C'est un rapport bricolé et trahi par un ton menaçant qui n'est pas digne d'un rapport sérieux d'un groupe de réflexion.
En le lisant, on a l'impression de lire un discours du voisin de l'Est.