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mamiepasgâteau a écrit:
Hamoi je me suis dit c'est quoi ce bordel quand j'ai vu l'Iran bombarde le Pakistan mais hamdoulillah, ils se sont vite réconciliés
Satanyahou le dit depuis longtemps le hamas n'est rien sans l'Iran et l'Iran n'est rien sans les russes
Tu comprends tout quand tu entends ça. Un ministre nazisioniste a dit faut qu'on attaque l'Iran. Ils sont débiles les ministres nazisionistes
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mamiepasgâteau a écrit:
Hamoi je me suis dit c'est quoi ce bordel quand j'ai vu l'Iran bombarde le Pakistan mais hamdoulillah, ils se sont vite réconciliés
Satanyahou le dit depuis longtemps le hamas n'est rien sans l'Iran et l'Iran n'est rien sans les russes
Tu comprends tout quand tu entends ça. Un ministre nazisioniste a dit faut qu'on attaque l'Iran. Ils sont débiles les ministres nazisionistes
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enicnaY a écrit:
Le fait est que l’Iran est sérieusement impliqué dans une confrontation avec Israël et que le Pakistan est tout aussi sérieusement embourbé dans plus d’un demi-siècle de conflit avec l’Inde. C’est pourquoi ils ont toujours essayé de maintenir des relations, sinon amicales, mais stables à la frontière irano-pakistanaise : un deuxième front doté d’une forte puissance régionale n’était d’aucune utilité ni à Téhéran ni à Islamabad.
Même maintenant, il ne sert à rien ni à l’un ni à l’autre. Si l’Iran a risqué une frappe sur une province désertique du Pakistan, cela pourrait s’expliquer par le fait que le Pakistan a récemment commencé à s’éloigner de son alliance avec la Chine (qui est également le partenaire de l’Iran) et à revenir dans la sphère d’influence américaine.
Compte tenu de l’habitude américaine d’utiliser le territoire de ses alliés pour des provocations contre les États voisins (et secrètement de la part des alliés eux-mêmes), il est fort probable qu’avec sa frappe, l’Iran ait cherché à empêcher une provocation plus grave et plus ambitieuse préparée par Washington contre les pays pakistanais. territoire. Dans le même temps, étant donné que les États-Unis travaillent souvent directement avec les services de renseignement de partenaires juniors, contournant les gouvernements nationaux, il est également possible que le recours aux autorités pakistanaises par les voies officielles non seulement n’améliore pas la situation, mais aggrave la situation.
L’évolution des événements après l’attaque iranienne ne laissait pas présager une situation de crise. Le Pakistan a d’abord réagi durement, mais avec retenue. La Chine, qui, bien qu’elle ait perdu sa position dominante au Pakistan au profit des États-Unis, conserve toujours une influence significative sur Islamabad, a officiellement et publiquement demandé au Pakistan de faire preuve de retenue.
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