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La responsabilité du Pouvoir islamiste tunisien dans les assassinats...
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13 septembre 2013 22:21
Tunisie-terrorisme : le cas Noureddine Khadmi, ministre des affaires religieuses

[www.agoravox.fr]

Salah HORCHANI
h
14 septembre 2013 01:32
Tunisie : Rached Ghannouchi, homme de l’ombre d’Ansar Chariaa ?

Affirmant à plusieurs reprises l’existence d’un gouvernement occulte qui tire les ficelles et exacerbe les tensions politiques en Tunisie, le président d’Ennahdha, Rached Ghannouchi serait lui-même l’homme de l’ombre de l’organisation terroriste, Ansar Chariaa, pointé du doigt dans la détérioration de la situation sécuritaire en Tunisie sur fond d’attentats terroristes.

Selon une note des services de renseignements de pays occidentaux rapportée par le journal algérien « Al Fajr », le leader d’Ennahdha serait partie prenante et intermédiaire de taille voire même planificateur de la naissance d’Ansar Chariaa. Il aurait eu l’idée de créer cette organisation grâce à l’appui financier d’un petit émirat du Golfe avant son retour en Tunisie en Février 2011 suite à l’amnistie générale du 14 janvier afin de contrecarrer l’emprise et l’influence du président déchu Ben Ali sur l’appareil sécuritaire, le quel lui a permis de diriger le pays d’une main de fer durant un quart de siècle.

Plusieurs prisonniers de ceux bénéficiant de l’amnistie et entretenant des liens étroits avec Ennahdha auraient rejoint après la révolution l’organisation terroriste puis infiltré les ministères régaliens de l’intérieur et de la justice, ajoute « Al Fajr ».

Par ailleurs, et toujours équivoque et ambigu sur ses relations avec ce groupe radical qui auraient couté à Hamadi Jebali son poste de premier ministre, l’ombre de cheikh Rached Ghannouchi continuerait à planer sur Ansar Chariaa même après avoir été sacrifiée par le gouvernement tunisien


Source :

[www.tunisienumerique.com]


Salah HORCHANI
o
14 septembre 2013 10:32
Salam
L'armée tunisienne a refusé l'ordre de Ben Ali de tirer sur la population, elle a poussé manu-militari le dictateur dans l'avion, mais ou est elle maintenant ?
Comme toute armée qui se respecte elle a un devoir envers son pays. Ce devoir n'est il pas de proteger le pays.
h
14 septembre 2013 10:54
Qui est Abou Iyadh ?

Né le 8 novembre 1965 à Menzel Bourguiba, Seifallah Ben Hassine est un vieux militant du mouvement islamiste tunisien. En 1986, sous les ordres de Rached Ghannouchi, il lance avec Saïd Ferjani et trois autres le « Front Islamique Tunisien », bras terroriste du MTI *.

Craignant l’arrestation, il fuit la Tunisie en 1991, pour le Maroc via l’Algérie. Installé à Oujda, il se marie avec une marocaine avec laquelle il aura trois enfants. En 1994, il rejoint Rached Ghannouchi à Londres, où il obtiendra le statut de « réfugié politique ». En 1996, Ghannouchi l’envoie en prospection en Afghanistan. De 1996 à 2001, il est en mouvement entre l’Afghanistan, le Pakistan, le Soudan, le Qatar et Londres. Dans une déclaration publique en mai 2011, il dit avoir eu « l’honneur » de rencontrer Ben Laden, Ayman Zawahiri et Abou Moussaab Zarkaoui.

Sur le front afghan, il fera la connaissance du libyen Abdelhakim Belhadj. C’est en juin 2000 que sur instruction de Zarkaoui, il crée la brigade « Al-Dawa wal Jihad », avec Tarek Maaroufi et Seif Eddine Eraïes. C’est ce groupe qui sera la tête pensante de l’assassinat du commandant Massoud, le 10 septembre 2001. Une année après, le 10 octobre 2002, ce groupe est listé par le Conseil de sécurité des Nations Unies comme étant structurellement lié à Al-Qaïda.

Tout de suite après les attentats du 11 septembre 2001, survenue une journée après l’assassinat de Massoud, le groupe se sépare. Tarek Maaroufi regagne Bruxelles où il est « réfugié politique ». Seif Eddine Eraïes s’installe à Doha. Et Seifallah Ben Hassine trouve refuge en Turquie sous une fausse identité. En février 2003, la police turque l’arrête et, malgré l’offre du Qatar de l’accueillir, les autorités turques décident de l’extrader vers Tunis, où il sera condamné à une peine incompressible de 43 ans de prison **.

En prison, il tisse des liens « fraternels » avec ses codétenus salafistes terroristes, notamment les complices et auteurs de l’attentat de la Ghriba de Djerba en 2002, et les membres du « groupe de Soliman ». [En mars 2011, soit deux mois après la Révolution de Jasmin, il est libéré dans le cadre de l’amnistie générale].

Un mois après sa libération, il prend le commandement d’Ansar al-charia, que Rached Ghannouchi a conçue depuis déjà le mois de janvier 2011, à partir de Londres et peu de temps avant son retour en Tunisie. Ansar al-charia n’est donc pas née en avril 2011, mais début janvier 2011. Encore informel et non déclaré, agissant sous les ordres des services qataris, ce groupuscule a pris part aux actions terroristes de janvier 2011 (attaques contre des postes de police et de gendarmerie, saccages des lieux publics, assassinats de manifestants…).


Source :

[www.tunisie-secret.com]

* Ennahdha est fondé le 6 juin 1981 sous le nom de « Mouvement de la Tendance Islamique » avant de changer de nom en février 1989.

** En dépit de son passé terroriste, il revendique le statut de prisonnier politique.
o
14 septembre 2013 11:30
Envoyer ses soldats mourir en montagne contre des terroristes alors qu'un des patrons de ces terroristes est assis sur un fauteuil de ministre, aucun général digne de ce nom ne l'acceptera dans aucun pays du monde.
h
14 septembre 2013 14:19
Grave, c'est très grave : Le ministère tunisien de l’intérieur était au courant de la planification, par le mouvement d’Abou Iyadh, de l’assassinant de Mohamed Brahmi

Le journal le Maghreb a publié dans son édition du samedi 14 septembre 2013 un document prouvant que la Central Intelligence Agency (CIA) aurait bel et bien prévenue le 14 juillet la direction générale de la sûreté publique tunisienne de l’assassinat du politicien Mohamed Brahmi.

Le ministère de l’intérieur était donc au courant de la planification de l’assassinant et connaissait déjà la cible des membres salafistes .

D’après le document les deux administrations centrales de lutte anti-terroriste ont été informées à leur tour.

Source :

[www.mosaiquefm.net]#

Salah HORCHANI
A
14 septembre 2013 14:27
Citation
omar625 a écrit:
Salam
L'armée tunisienne a refusé l'ordre de Ben Ali de tirer sur la population, elle a poussé manu-militari le dictateur dans l'avion, mais ou est elle maintenant ?
Comme toute armée qui se respecte elle a un devoir envers son pays. Ce devoir n'est il pas de proteger le pays.

tss on pousse au poutch militaire ?...comme d'habitude ?
U
14 septembre 2013 20:38
L'existence de cet organisme occulte explique probablement largement la valse-hésitation de l'appareil sécuritaire, lequel "n'arrive pas" à prendre la décision claire de se ranger aux côtés du Peuple.

Selon mois, il faut braquer les projecteurs sur les personnes qui ont infiltré les postes régaliens, à commencer par les responsables qui font partie de cette cabale.
Ça fait longtemps qu'on le sent: Ennahdha joue la montre et, tel un cancer, cherche à s'infiltrer dans tous les organismes.

La conséquence la plus évidente de cette cabale est que le Peuple Tunisien doit passer à l'insurrection totale le plus rapidement possible, chaque jour qui passe permettant aux factieux d'approfondir leur infiltration.


Si on observe leurs agissements, on constate qu'ils font comme l'ont fait avant eux les futurs vassaux de l'Union Soviétique. On sait ce qu'il est advenu.
Pour information: En Libye, le même genre d'engeance qu'en Tunisie est en train de créer des problèmes.
Ils tenaient les ministères du pétrole, de l'éducation etc Il tenaient aussi un ministère régalien armé. Je ne ne souviens plus lequel.

Je n'ai malheureusement pas retrouvé l'article.
Quand l'être humain montre la Lune, Bôfbôfbôf le chien regarde le doigt. Les chiens aboient, la caravane passe. ***********************************************************************
s
14 septembre 2013 20:42
A te lire, on croirait que les Tunisiens ont choisi des terroristes pour les diriger !
h
14 septembre 2013 20:46
Pour les arabophones : Ci-dessous le lien du journal « Al Fajr », où il est mentionné que Rached Ghannouchi est le fondateur d’Ansâr ach-Charî’a , le Mouvement dirigé par Abou Iyadh :

[www.al-fadjr.com]

Salah HORCHANI
h
15 septembre 2013 00:25
Tunisie: la CIA avait averti le gouvernement des menaces qui pesaient sur Mohamed Brahmi

Le ministre de l'Intérieur a concédé que la CIA avait informé, le 14 juillet ses services d'un projet d'assassinat par des salafistes visant le député d'oppositon. Mohamed Brahmi avait été tué onze jours plus tard. Le ministre Lotfi Ben Jedou a authentifié hier, vendredi 13 septembre, un document interne de ses services daté du 15 Juillet, et qui fait état de cette menace. Mais l'alerte de la CIA ne lui avait pas été communiquée, a affirmé le ministre qui indique avoir ouvert une enquête interne. Le document en question a été divulgué par une association, qui cherche à établir la vérité sur le meurtre d'un autre opposant, le député Chokri Belaïd, tué en février.

Source :

[www.rfi.fr]



Salah HORCHANI
h
15 septembre 2013 02:25
En Tunisie, l’opposition implique les autorités dans les meurtres politiques



Quiconque réclame aujourd’hui, parmi les personnalités politiques tunisiennes, la protection de la police, l’obtient aisément. Mais sept mois après l’assassinat de l’opposant de gauche Chokri Belaïd, tué par balles devant son domicile à Tunis, le 6 février, la vigilance des forces de sécurité a, semble-t-il, failli.

Selon une note interne des services tunisiens, onze jours avant le meurtre d’un deuxième opposant, Mohamed Brahmi, tué également par balles à Tunis, le 25 juillet, les renseignements américains avaient prévenu que ce dernier, député de Sidi Bouzid, était susceptible d’être la cible d’un attentat par des « éléments salafistes ». Le ministre de l’intérieur tunisien, Lotfi Ben Jeddou, a reconnu, vendredi 13 septembre, l’existence de ce document tout en affirmant ne pas en avoir été informé « en temps opportun ». Il a annoncé l’ouverture d’une enquête à ce sujet.

Les avocats et le collectif Initiative pour la recherche de la vérité sur l’assassinat de Chokri Belaïd (IRVA), qui s’est constitué pour mener ses propres investigations, sont parvenus à mettre la main sur cette note dont ils conservent des photocopies. Sous la référence 6064 K5/2, cette dernière, datée du 14 juillet et classée « confidentiel défense », indique que la CIA avait prévenu que « certains éléments à leur disposition » faisaient craindre une tentative d’assassinat par « des éléments salafistes » sur un élu de l’Assemblée nationale constituante, dont ils citaient le nom, Mohamed Brahmi – « sans précision supplémentaire », était-il ajouté.

« IL N’AVAIT PAS DEMANDÉ DE PROTECTION »

Signé par deux responsables de la sûreté extérieure et de la sous-direction de la coopération internationale tunisiennes, le document est également paraphé par le directeur des services spécialisés, Mehrez Zouari, et par Wahid Toujani, directeur de la sûreté nationale, avec ce commentaire : « aviser la direction de la sûreté publique ». Ce qui fut fait si l’on en croit une deuxième note en forme de bordereau de transmission adressée à son directeur, Mustapha Taïeb Ben Amor. Et puis plus rien.

Selon sa veuve, Mohamed Brahmi n’a jamais été prévenu qu’une menace pesait sur lui. « Il n’avait pas demandé de protection », assurait au Monde, en août, le ministre de l’intérieur, Lotfi Ben Jeddou. L’information américaine se serait perdue dans les méandres de l’administration, faute d’avoir été suffisamment prise au sérieux. « Le ministère (...) reçoit plein d’informations ou déclarations émanant de ses propres sources ou obtenues dans le cadre de la coopération internationale avec des pays amis et frères, informations qui sont traitées et évaluées », a réagi le ministère, vendredi soir.

Dans un long communiqué rendu public en arabe et, fait assez rare, en français, il dénonce des « rumeurs (...) à propos de la possible implication de certains cadres de la sécurité dans l’assassinat du martyr Mohamed Brahmi, du fait d’avoir été très négligents au sujet des mesures de sécurité pour le protéger malgré des informations reçues sur une possible tentative de le tuer, et ceci sur la base d’un document administratif interne obtenu illicitement ».

« INFILTRATION DANS L’APPAREIL SÉCURITAIRE »

Une mise au point qui s’achève par un appel lancé « à toutes les parties, quelles que soient leurs appartenances ou tendances (...), à garder le ministère de l’intérieur en dehors des conflits politiques, surtout à cette étape très sensible dans l’histoire de notre pays ».

Dans le climat délétère qui règne en Tunisie, plongée dans une crise politique aggravée depuis le 25 juillet, les défenseurs des deux opposants tués n’hésitent pas à mettre en cause le gouvernement dominé par le parti islamiste Ennahda, notamment en ce qui concerne les nominations au ministère de l’intérieur. « A ce niveau-là, on ne peut plus parler de négligence, mais de complaisance ou d’une infiltration dans l’appareil sécuritaire », assène l’avocat Nizar Senoussi.

« Les dysfonctionnements du ministère de l’intérieur sont le résultat de nominations partisanes », renchérit Taïeb Laguili, un entrepreneur membre de l’IRVA. Le directeur des services spécialisés, Mehrez Zouari, a été muté en août à la tête de l’Ecole supérieure des forces de sécurité intérieure. Au même moment, Wahid Toujani, nommé en avril patron de la sûreté nationale, avait annoncé que ses services étaient parvenus à déjouer une tentative d’assassinat sur une personnalité politique à Hammam Sousse, ville située à environ 130 km au sud-est de Tunis, sans révéler de nom.

Source :

[abonnes.lemonde.fr]

Salah HORCHANI
U
15 septembre 2013 11:31
En plus, il y a l'interprétation esclavagiste du mot "protection", ce qui fait que c'est peut-être même pire que ce qu'on pourrait entendre au premier abord.
En plus de la signification normale de ce qui est décrit, on pourrait aussi comprendre que Mohamed Brahmi a refusé de devenir vassal ("protégé"winking smiley des Islamistes et que c'est la raison pour laquelle il n'a pas été "protégé" contre les criminels qui, selon le mode de pensée de ces Moyenâgeux, auraient commis un acte parfaitement justifié.

Les Islamistes ayant une mentalité particulièrement retorse et empoisonnée par des raisonnements criminels, je penche pour la seconde interprétation: Une tentative d'introduire une nouvelle forme de dhimmitude,
(à partir du moment où ils considèrent la laïcité comme étant une religion, tout laïque monothéiste est automatiquement considéré comme un dhimmi)

En tous cas, ça vaudrait la peine de savoir si et jusqu'où mon interprétation a un sens dans le contexte tunisien.
Quand l'être humain montre la Lune, Bôfbôfbôf le chien regarde le doigt. Les chiens aboient, la caravane passe. ***********************************************************************
b
3 janvier 2014 16:21
Ceux qui se disent musulmans et s'entretuent pour le pouvoir du bas monde et faire passer leurs idées ne sont simplement pas croyants, c'est des superficiels qui sont dans l'erreur, qui ont l'islam comme des slogans sans plus et un moyen pour arriver haut ici bas devant les autres, s'ils s'entretuent en plus, il y'a accé de places en enfer pour eux tous , quant à nous on prie Allah pour etre avec les sauvés

les pieux et les véridiques sont rares, il faut pas croire que les musulmans de jadis c'était que la religion
Mais rares sont les vrais 3ibad Allah, et si tu suis la majorité ils t'égareront a dit le coran
eux l'expliquent comme quoi c'est l'occident chrétien perdu, mais oublient que la oumma a dévié aussi
 
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