J'ai lu attentivement cet article qui m'a poussé à réagir dans un esprit libéré de tous les préalables cognitifs et scientifiques sur la psychiatrie. Il est évident que cette branche de la médecine est réservée aux acteurs de la spéculation sur le fonctionnement cognitif et mental de l'être humain. Les manuels de DSM 4 et 5, le lein ici [psychiatrieweb.files.wordpress.com] et [www.livres-medicaux.com] sont radicalement contestés et dans les pratiques. Mes expériences en France depuis de longues années m'ont permis de découvrir dans le fonctionnement institutionnel de la psychiatrie ce qu'on ne veut pas entendre et voir. Elle n'a jamais été une réponse aux souffrances des personnes, il y en a beaucoup partout dans le monde surtout dans sa sphère occidentale. Pire, par ces pratiques libres ou contraignantes elle a provoqué des dégâts irréversibles pour la majorité des personnes ayant, directement ou indirectement mises à la disposition des acteurs professionnels surtout en France. Dans toutes les formes des diagnostics menés auprès des "patients", qu'ils soient hommes ou femmes, jeunes ou adultes, aisées ou défavorisées, ce sont les préalables du professionnels qui gui guident et orientent ses diagnostics dans une volonté délibérée de réduire la complexité du fonctionnement cognitifs à quelques éléments concoctés dans un paradigmes obsolètes : Schizophrène, troubles mentaux sévères, psychose, handicap mental, déni de la réalité, psyhcorigide, etc. Le professionnel du paradigme psychiatrique ne fait pas d'effort pour écouter et comprendre en amont et en aval le "patient" dans son discours et son souffrance, il oriente la victime selon des critères normatifs imposés par des logiques institutionnelles qui par crainte de ne pas y être, le patient s'expose bon gré malgré à des traitements neuroleptiques et anxiolytiques aux effets secondaires dévastateurs sur l'ensemble du fonctionnement de la personne. Ils se manifestent par une dépendance irréversible à cette panoplie de traitements médicamenteux" qui agissent inexorablement sur la mémoire, le raisonnement, la perception, le langage, le mouvement du corps, la vue, etc. La psychiatrie est ses diagnostics obsolètes est déjà battue en brèche. Si vous prenez l'exemple de la maladie de schizophrénie, les dernières publications scientifiques ont radicalement détruit ses fondements. Elle n'existe pas. Voir les publicationsdu grand professeur psychiatre Jim Van Os dans ce lien : [www.sciencedaily.com] "Il n'est pas trot tard au Maroc pour ne pas faire confiance à la psychiatrie. Un bon psychiatre est celui qui fait ce que ne dit pas la psychiatrie". Disait Stanislas Tomkiewicz (1999).
J'ai parlé de mes expériences non en tant que professionnel de cette horreur masquée sous une appellation fallacieuse : le soin, mais en tant qu'une personne naïve qui dans des circonstances particulières a découvert que derrière le suivi psychiatrique, il y a l'acharnement "thérapeutique" synonyme de destruction. Mes expériences sont travaillées et mises en formes sous formes des articles et témoignages publiés sur mon blog : www.cvjn.over-blog.com Pour se faire une idée, je vous invite à lire l'article dans ce lien dans lequel j'ai essayé de démonter les mécanismes de la production de la maltraitance psychiatrique à partir de l'autopsie d'un paradigme mortifère régnant dans un centre psychiatrique dans le sud de la France, à Aix-en-Provence, le lien ici : Le lien ici : [cvjn.over-blog.com] . Ce que le rapport de la Controleure Générale des Lieux de Privation des Libertés Madame Adelin Hazan a bien démontré en 2016 quand elle parle des drives des hôpitaux psychiatriques en France. Le lien ici :[www.cglpl.fr]
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