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Un réseau franc-maçon derrière la tentative de meurtre d’une coach par des...
3 février 2021 09:24
Salam aleykoum wa rahmatullah.


"L’enquête sur le projet d’assassinat visant une coach en entreprise a abouti à l’identification du commanditaire présumé. Selon nos informations, ce dernier est lié à un réseau maçonnique qui serait à l’origine du meurtre d’un pilote corse.

L'affaire était déjà rocambolesque, elle prend une tournure encore plus incroyable. Et inquiétante. L'enquête sur la tentative d'assassinat d'une coach en entreprise-hypnotiseuse dans laquelle plusieurs militaires de la DGSE sont impliqués a mis au jour l'existence d'une officine privée de tueurs à gages nichée au cœur d'une loge maçonnique de l'Ouest parisien.

Daniel B., un ancien policier des services de renseignement à la retraite, interpellé le 22 janvier puis mis en examen, a révélé au cours de sa garde à vue qu'il avait déjà été impliqué dans deux projets criminels, dont l'un a bel et bien abouti à un meurtre il y a deux ans. Vertigineux. Il a également mis les enquêteurs de la brigade criminelle de Paris sur la piste du commanditaire présumé du contrat contre la coach. Jean-Luc A.B., un rival de la cible dans ce milieu professionnel juteux, a été mis en examen ce mardi et écroué. Il avait été interpellé vendredi dernier, ainsi que l'a révélé France Télévisions.

Tout débute le 24 juillet dernier au petit matin. Intrigué par la présence de deux hommes vêtus de noir et porteurs de gants, un habitant de Créteil (Val-de-Marne) alerte les forces de l'ordre. Dans le véhicule, les policiers découvrent un pistolet avec une cartouche chambrée et un système artisanal de silencieux à base d'emballage souple de compote. Les deux passagers, Pierre B. et Carl E., sont deux militaires affectés à la surveillance du centre parachutiste d'entraînement spécialisé (CPES) de Cercottes (Loiret), où sont formés les agents du service action de la DGSE. Lors de son transfert vers la brigade criminelle, Pierre B. annonce qu'il œuvre pour le service action de la DGSE. Sa mission : exécuter Marie-Hélène Dini, une cheffe d'entreprise spécialiste du coaching.

Un contrat, de nuit, sous un pont

Les enquêteurs de la Crim' s'attachent alors à démêler les contours de cette ténébreuse affaire. L'armée dément toute implication. Au gré des auditions, les policiers identifient le recruteur des deux soldats, un certain Sébastien L. Interpellé, cet autodidacte spécialisé dans la protection rapprochée finit par admettre le projet d'assassinat. Il affirme dans un premier temps avoir été missionné par un homme « de type européen d'une quarantaine d'années […] à la gueule carrée » parlant avec « un léger accent d'Europe de l'Est » qui lui aurait soumis le contrat une nuit de mai 2020 sous un pont surplombant le périphérique parisien.

Réentendu en septembre dernier, il précise avoir été mis sur la piste de Marie-Hélène Dini en janvier 2020 par « un ancien agent des services de renseignement ». Sébastien L. reconnaît en tout cas avoir monté une équipe, notamment par l'intermédiaire de Yannick P., un policier de la DGSI en congé parental reconverti dans la sécurité sur Internet et formateur à la DGSE. Mais il se refuse à donner le nom de son commanditaire qu'il appelle « le vieux ».

C'est l'audition récente de la compagne de Sébastien L. qui va faire rebondir l'enquête. La jeune femme révèle qu'en 2016 son compagnon a été mis en relation avec Daniel B., un ancien policier de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI, l'ancêtre de la DGSI) à la retraite depuis 2009. Et que c'est ce dernier, spécialiste en intelligence économique, qui lui aurait remis le contrat de Marie-Hélène Dini. Une somme de 50 000 euros est évoquée.

L'ancien commandant est interpellé le 22 janvier dernier. Et se met à table. Daniel B., qui se revendique franc-maçon, explique qu'il a effectivement recruté Sébastien L. pour s'en prendre à Marie-Hélène Dini, victime en octobre 2019 d'une première agression devant son domicile au cours de laquelle son ordinateur portable est dérobé. Très fortement suspecté d'y avoir participé, Sébastien L. le conteste. Mais ce premier avertissement n'ayant manifestement pas été jugé suffisant, il est alors question d'éliminer la quinquagénaire en simulant un accident. Daniel B. explique que, pour motiver son contact, il lui fait croire qu'il s'agit d'une mission d'Etat…

«Des dérives d'institutions censées être irréprochables»

Mais Daniel B. va plus loin encore et livre le nom de ses commanditaires présumés. Le contrat lui aurait été présenté par Frédéric V., qu'il présente comme un frère appartenant à la même loge que la sienne et ayant un fort ascendant sur lui. Cet ancien « vénérable » l'aurait introduit dans la confrérie. Il s'agit d'un homme à la tête d'une société de sécurité privée. Frédéric V. a été mis en examen le 29 janvier. [...]


[www.leparisien.fr]
Ce bas monde est un pont. Traverse-le et ne compte pas y résider. [b][quote=Luqman][/quote][/b]
3 février 2021 09:35
Correction du lien :

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Citation
Sand Rose a écrit:
Salam aleykoum wa rahmatullah.


"L’enquête sur le projet d’assassinat visant une coach en entreprise a abouti à l’identification du commanditaire présumé. Selon nos informations, ce dernier est lié à un réseau maçonnique qui serait à l’origine du meurtre d’un pilote corse.

L'affaire était déjà rocambolesque, elle prend une tournure encore plus incroyable. Et inquiétante. L'enquête sur la tentative d'assassinat d'une coach en entreprise-hypnotiseuse dans laquelle plusieurs militaires de la DGSE sont impliqués a mis au jour l'existence d'une officine privée de tueurs à gages nichée au cœur d'une loge maçonnique de l'Ouest parisien.

Daniel B., un ancien policier des services de renseignement à la retraite, interpellé le 22 janvier puis mis en examen, a révélé au cours de sa garde à vue qu'il avait déjà été impliqué dans deux projets criminels, dont l'un a bel et bien abouti à un meurtre il y a deux ans. Vertigineux. Il a également mis les enquêteurs de la brigade criminelle de Paris sur la piste du commanditaire présumé du contrat contre la coach. Jean-Luc A.B., un rival de la cible dans ce milieu professionnel juteux, a été mis en examen ce mardi et écroué. Il avait été interpellé vendredi dernier, ainsi que l'a révélé France Télévisions.

Tout débute le 24 juillet dernier au petit matin. Intrigué par la présence de deux hommes vêtus de noir et porteurs de gants, un habitant de Créteil (Val-de-Marne) alerte les forces de l'ordre. Dans le véhicule, les policiers découvrent un pistolet avec une cartouche chambrée et un système artisanal de silencieux à base d'emballage souple de compote. Les deux passagers, Pierre B. et Carl E., sont deux militaires affectés à la surveillance du centre parachutiste d'entraînement spécialisé (CPES) de Cercottes (Loiret), où sont formés les agents du service action de la DGSE. Lors de son transfert vers la brigade criminelle, Pierre B. annonce qu'il œuvre pour le service action de la DGSE. Sa mission : exécuter Marie-Hélène Dini, une cheffe d'entreprise spécialiste du coaching.

Un contrat, de nuit, sous un pont

Les enquêteurs de la Crim' s'attachent alors à démêler les contours de cette ténébreuse affaire. L'armée dément toute implication. Au gré des auditions, les policiers identifient le recruteur des deux soldats, un certain Sébastien L. Interpellé, cet autodidacte spécialisé dans la protection rapprochée finit par admettre le projet d'assassinat. Il affirme dans un premier temps avoir été missionné par un homme « de type européen d'une quarantaine d'années […] à la gueule carrée » parlant avec « un léger accent d'Europe de l'Est » qui lui aurait soumis le contrat une nuit de mai 2020 sous un pont surplombant le périphérique parisien.

Réentendu en septembre dernier, il précise avoir été mis sur la piste de Marie-Hélène Dini en janvier 2020 par « un ancien agent des services de renseignement ». Sébastien L. reconnaît en tout cas avoir monté une équipe, notamment par l'intermédiaire de Yannick P., un policier de la DGSI en congé parental reconverti dans la sécurité sur Internet et formateur à la DGSE. Mais il se refuse à donner le nom de son commanditaire qu'il appelle « le vieux ».

C'est l'audition récente de la compagne de Sébastien L. qui va faire rebondir l'enquête. La jeune femme révèle qu'en 2016 son compagnon a été mis en relation avec Daniel B., un ancien policier de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI, l'ancêtre de la DGSI) à la retraite depuis 2009. Et que c'est ce dernier, spécialiste en intelligence économique, qui lui aurait remis le contrat de Marie-Hélène Dini. Une somme de 50 000 euros est évoquée.

L'ancien commandant est interpellé le 22 janvier dernier. Et se met à table. Daniel B., qui se revendique franc-maçon, explique qu'il a effectivement recruté Sébastien L. pour s'en prendre à Marie-Hélène Dini, victime en octobre 2019 d'une première agression devant son domicile au cours de laquelle son ordinateur portable est dérobé. Très fortement suspecté d'y avoir participé, Sébastien L. le conteste. Mais ce premier avertissement n'ayant manifestement pas été jugé suffisant, il est alors question d'éliminer la quinquagénaire en simulant un accident. Daniel B. explique que, pour motiver son contact, il lui fait croire qu'il s'agit d'une mission d'Etat…

«Des dérives d'institutions censées être irréprochables»

Mais Daniel B. va plus loin encore et livre le nom de ses commanditaires présumés. Le contrat lui aurait été présenté par Frédéric V., qu'il présente comme un frère appartenant à la même loge que la sienne et ayant un fort ascendant sur lui. Cet ancien « vénérable » l'aurait introduit dans la confrérie. Il s'agit d'un homme à la tête d'une société de sécurité privée. Frédéric V. a été mis en examen le 29 janvier. [...]


[www.leparisien.fr]
Ce bas monde est un pont. Traverse-le et ne compte pas y résider. [b][quote=Luqman][/quote][/b]
3 février 2021 09:44
eye popping smiley hallucinant.
3 février 2021 09:56
Cela ne m'étonne pas, perso...


 
Théories du complot (3) 0
Citation
Magneto* a écrit:
eye popping smiley hallucinant.
Ce bas monde est un pont. Traverse-le et ne compte pas y résider. [b][quote=Luqman][/quote][/b]
P
3 février 2021 10:06
Oui c'est bien connu ça,et ce n'est rien comparé à d'autres affaires
3 février 2021 10:15
"ce n'est rien comparé à d'autres affaires"

Oui !
Citation
Petit Beurre a écrit:
Oui c'est bien connu ça,et ce n'est rien comparé à d'autres affaires
Ce bas monde est un pont. Traverse-le et ne compte pas y résider. [b][quote=Luqman][/quote][/b]
 
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