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Les rencontres
P
5 septembre 2014 01:36
Citation
ConvertieMuslim a écrit:
j'ai a faire a une bande de comique di donc

Tu as quand même une reponse à ta question. Mais je te rappel quand même que la meilleur façon c'est de voir la fille sans qu'elle le sache et aller demander sa main à son pere (ou son tuteur) si tu veux appliquer la Sounna à 100%. Les rencontres sur le web c'est vraiment le niveau le plus bas.
Qu'Allah te facilite
[color=#ed7b18][b][center]إذا نطق السفيه فلا تجبه* فخير من إجابته السكوتفإن كلَمته فرَجت عنه* وإن خليته كمداً يموت[/center][/b][/color]
5 septembre 2014 02:49
Salam smiling smiley

Trouver sa hlel..................déconcertant comme expression Oups

Ca fait vraiment wesh wesh la banlieue smoking smiley

Tin faites un effort de langage..............;
5 septembre 2014 13:09
Citation
أشلحي a écrit:
Citation
baliygh75 a écrit:

Oui en effet je ne sais pas lire : d'ailleurs elles vous taraudent tant : que c'est la
première excuse pour se couvrir ...Mais tu as Raison je reconfirme ....Puplicité comme tu l'écris !!!

Allah ehdik assi baliygh tu te prend pour un Victor Hugo ! on va pas se battre pour un p ou pour une petite langue ( francais ). Essai de voir plus loin

Salam

Tu calmes stp les comparaisons stupides ne servent qu'à dévaloriser celui qui s'en sert,
Rien ne t'appartient ici , ni ailleurs , tes petites crises , particulièrement celles qui motivent tes
réflexions limites sont glanées au fond des poubelles ...Donc si tu connais Hugo Boss tant mieux
pour toi et encore que sais-tu de Victor Hugo à part son nom !!!! Calme-toi sois Zen, et tout roule (Raoul).
Allah Yehdini Wi ehdik 3Al 3Amal wa Salah le reste n'est que fioriture ...Et il ne faut être Ingrat mais
reconnaissant et applique le conseil que tu ajoutes à mon intention ou égard , il te sera utile, vue que
[ Charité bien ordonnée, Commence par soi-même..] [[[{ Il est bien de penser aux autres, mais il faudrait
d'abord s'occuper de soi-même.}]]] Tu as beaucoup à apprendre, mais cela ne te servira à Rien .,Tu en
ferais mauvais usage , vu l'exemple d’intolérance dont tu fais preuve déjà, avec le peu que tu Sais !!

Pourtant tu parles de Dalil,Halal,Haram, cerise sur le gâteau Fiqh ..Remets-toi en Question, avant de Juger ..

Tu as du lire (peut-être) [Les Misérables] et cela te reste à travers la gorge, son
goût te fut amer ..Joue dans ta cour..


Je te fais découvrir un autre : Victor Hugo .....

......il n’est pas sans intérêt de relire le poème que Hugo, dans le cadre de La légende des Siècles,
publie sur la mort du prophète de l’islam en 1858 et qui s’intitule « L’an 9 de l’hégire ». Il y donne de
Mahomet, comme il le nomme, une image bien différente de celle que l’on peut lire aujourd’hui dans le
monde européen.




Comme s’il pressentait que son heure était proche

Grave, il ne faisait plus à personne un reproche,

Il marchait en rendant aux passants leur salut ;

On le voyait vieillir chaque jour, quoiqu’il eût

A peine vingt poils blancs à sa barbe encore noire ;

Il s’arrêtait parfois pour voir les chameaux boire,

Se souvenant du temps qu’il était chamelier.



Il songeait longuement devant le saint pilier ;

par moments il faisait mettre une femme nue

Et la regardait, puis contemplait la nue,

Et disait : « La beauté sur la terre, au ciel le jour ».



Il semblait avoir vu l’éden, l’âge d’amour,

Les temps antérieurs, l’ère immémoriale.

Il avait le front haut, la joue impériale,

Le sourcil chauve, l’œil profond et diligent,

Le cou pareil au col d’une amphore d’argent,

L’air d’un Noé qui sait le secret du déluge.

Si des hommes venaient le consulter, ce juge

Laissait l’un affirmer, l’autre rire et nier,

Ecoutait en silence et parlait le dernier.

Sa bouche était toujours en train d’une prière ;

Il mangeait peu, serrant sur son ventre une pierre ;

Il s’occupait de lui-même à traire ses brebis ;

Il s’asseyait à terre et cousait ses habits.



Il jeûnait plus longtemps qu’autrui les jours de jeûne,

Quoiqu’il perdît sa force et qu’il ne fût plus jeune.



« A soixante-trois ans une fièvre le prit.

Il relut le Coran de sa main même écrit,

Puis il remit au fils de Séid la bannière,

En lui disant : « Je touche à mon aube dernière.

Il n’est pas d’autre Dieu que Dieu. Combats pour lui. »

Et son œil, voilé d’ombre, avait ce morne ennui

D’un vieux aigle forcé d’abandonner son aire.

Il vint à la mosquée à son heure ordinaire,

Appuyé sur Ali le peuple le suivant ;

Et l’étendard sacré se déployait au vent.

Là, pâle, il s’écria, se tournant vers la foule ;

« Peuple, le jour s’éteint, l’homme passe et s’écroule ;

La poussière et la nuit, c’est nous. Dieu seul est grand.

Peuple je suis l’aveugle et suis l’ignorant.

Sans Dieu je serais vil plus que la bête immonde. »

Un sheick lui dit : « Ô chef des vrais croyants ! Le monde,

Sitôt qu’il t’entendit, en ta parole crut ;

Le jour où tu naquit une étoile apparut,

Et trois tours du palais de Chosroès tombèrent. »

Lui, reprit : « Sur ma mort, les Anges délibèrent ;

L’heure arrive. Ecoutez. Si j’ai de l’un de vous

Mal parlé, qu’il se lève, ô peuple, et devant tous

Qu’il m’insulte et m’outrage avant que je m’échappe,

Si j’ai frappé quelqu’un, que celui-là me frappe. »

Et, tranquille, il tendit aux passants son bâton.

Une vieille, tondant la laine d’un mouton,

Assise sur un seuil, lui cria : « Dieu t’assiste ! »



« Il semblait regarder quelque vision triste,

Et songeait ; tout à coup, pensif, il dit : « Voilà,

Vous tous, je suis un mot dans la bouche d’Allah ;

Je suis cendre comme homme et feu comme prophète.

J’ai complété d’Issa la lumière imparfaite.

Je suis la force, enfants ; Jésus fut la douceur.

Le soleil a toujours l’aube pour précurseur.

Jésus m’a précédé, mais il n’est pas la Cause.

Il est né d’une Vierge aspirant une rose.

Moi, comme être vivant, retenez bien ceci,

Je ne suis qu’un limon par les vices noirci,

J’ai de tous les péchés subi l’approche étrange,

Ma chair a plus d’affront qu’un chemin n’a de fange,

Et mon corps par le mal est tout déshonoré ;

Ô vous tous, je serais bien vite dévoré

Si dans l’obscurité du cercueil solitaire

Chaque faute engendre un ver de terre.

Fils, le damné renaît au fond du froid caveau

Pour être par les vers dévoré de nouveau ;

Toujours sa chair revit, jusqu’à ce que la peine,

Finie ouvre à son vol l’immensité sereine.

Fils, je suis le champ vil des sublimes combats,

Tantôt l’homme d’en haut, tantôt l’homme d’en bas,

Et le mal dans ma bouche avec le bien alterne

Comme dans le désert le sable et la citerne ;

Ce qui n’empêche pas que je n’aie, ô croyants !

Tenu tête dans l’ombre aux Anges effrayants

Qui voudraient replonger l’homme dans les ténèbres,

J’ai parfois dans mes poings tordu leurs bras funèbres ;

Souvent, comme Jacob, j’ai la nuit, pas à pas,

Lutté contre quelqu’un que je ne voyais pas ;

Mais les hommes surtout on fait saigner ma vie,

Ils ont jeté sur moi leur haine et leur envie,

Et, comme je sentais en moi la vérité,

Je les ai combattus, mais sans être irrité,

Et, pendant le combat je criais : “laissez faire !

Je suis le seul, nu, sanglant, blessé ; je le préfère.

Qu’ils frappent sur moi tous ! Que tout leur soit permis !

Quand même, se ruant sur moi, mes ennemis

Auraient, pour m’attaquer dans cette voie étroite,

Le soleil à leur gauche et la lune à leur droite,

Ils ne me feraient point reculer !” C’est ainsi

Qu’après avoir lutté quarante ans, me voici

Arrivé sur le bord de la tombe profonde,

Et j’ai devant moi Allah, derrière moi le monde.

Quant à vous qui m’avez dans l’épreuve suivi,

Comme les grecs Hermès et les hébreux Lévi,

Vous avez bien souffert, mais vous verrez l’aurore.

Après la froide nuit, vous verrez l’aube éclore ;

Peuple, n’en doutez pas ; celui qui prodigua

Les lions aux ravins du Jebbel-Kronnega,

Les perles à la mer et les astres à l’ombre,

Peut bien donner un peu de joie à l’homme sombre . »



Il ajouta : « Croyez, veillez ; courbez le front.

Ceux qui ne sont ni bons ni mauvais resteront

Sur le mur qui sépare Eden d’avec l’abîme,

Etant trop noirs pour Dieu, mais trop blancs pour le crime ;

Presque personne n’est assez pur de péchés

Pour ne pas mériter un châtiment ; tâchez,

En priant, que vos corps touchent partout la terre ;

L’enfer ne brûlera dans son fatal mystère

Que ce qui n’aura point touché la cendre, et Dieu

A qui baise la terre obscure, ouvre un ciel bleu ;

Soyez hospitaliers ; soyez saints ; soyez justes ;

Là-haut sont les fruits purs dans les arbres augustes,

Les chevaux sellés d’or, et, pour fuir aux sept dieux,

Les chars vivants ayant des foudres pour essieux ;

Chaque houri, sereine, incorruptible, heureuse,

Habite un pavillon fait d’une perle creuse ;

Le gehennam attend les réprouvés ; malheur !

Ils auront des souliers de feu dont la chaleur

Fera bouillir leur tête ainsi qu’une chaudière.

La face des élus sera charmante et fière. »



Il s’arrêta donnant audience à l’espoir.

Puis poursuivant sa marche à pas lents, il reprit :

« Ô vivants ! Je répète à tous que voici l’heure

Où je vais me cacher dans une autre demeure ;

Donc, hâtez-vous. Il faut, le moment est venu,

Que je sois dénoncé par ceux qui m’ont connu,

Et que, si j’ai des torts, on me crache au visage. »

La foule s’écartait muette à son passage.

Il se lava la barbe au puits d’Aboufléia.



Un homme réclama trois drachmes, qu’il paya,

Disant : « Mieux vaut payer ici que dans la tombe. »

L’œil du peuple était doux comme un œil de colombe

En le regardant cet homme auguste, son appui ;

Tous pleuraient ; quand, plus tard, il fut rentré chez lui,

Beaucoup restèrent là sans fermer la paupière,

Et passèrent la nuit couchés sur une pierre.



Le lendemain matin, voyant l’aube arriver ;

« Aboubékre, dit-il, je ne puis me lever,

Tu vas prendre le Livre et faire la prière. »

Et sa femme Aïscha se tenait en arrière ;

Il écoutait pendant qu’Aboubékre lisait,

Et souvent à voix basse achevait le verset ;

Et l’on pleurait pendant qu’il priait de la sorte.

Et l’Ange de la mort vers le soir à la porte

Apparut, demandant qu’on lui permît d’entrer.

« Qu’il entre. »

On vit alors son regard s’éclairer

De la même clarté qu’au jour de sa naissance ;

Et l’Ange lui dit : « Dieu désire ta présence.

— Bien », dit-il. Un frisson sur les tempes courut,

Un souffle ouvrit sa lèvre, et Mahomet mourut.
B
5 septembre 2014 13:15
Citation
ConvertieMuslim a écrit:
j'ai a faire a une bande de comique di donc

Salam,

Pour répondre a ta question les rencontre internet c pas sérieux .
C
5 septembre 2014 13:17
c normal jparle comme sa moi et c comme sa ver chez moi de tt façon jconte pas trouvé sa par le web breffffff
et si jvois une femme dans la rue mashallah bell et tout jfais comment pour trouvé son pere ?

je peux directement lui demandé sa main ou je dois trouvé son tuteur?
5 septembre 2014 13:41
Citation
Alicemoitronkil a écrit:
J'ose espérer que non car les moukabalas se font rare!


Salam

Ce n'est pas cohérent cette citation : Dans La mesure ou quand il lui donne (ce que tu cites)
c'est qu'elle l'a forcé à le Faire, Elle le déconstipe en quelque sorte !!!!
5 septembre 2014 13:47
Citation
Tarifichtee a écrit:
Citation
أشلحي a écrit:
Citation
baliygh75 a écrit:

Oui en effet je ne sais pas lire : d'ailleurs elles vous taraudent tant : que c'est la
première excuse pour se couvrir ...Mais tu as Raison je reconfirme ....Puplicité comme tu l'écris !!!

Allah ehdik assi baliygh tu te prend pour un Victor Hugo ! on va pas se battre pour un p ou pour une petite langue ( francais ). Essai de voir plus loin

Mdrrrrrrr Victor Hugo ptdrptdrptdr mdrrr

@ [Tarifichtee]

Par respect , je ne relève pas cette remarque (quelque peu incongrue...)
B
5 septembre 2014 13:51
Citation
baliygh75 a écrit:
Citation
Tarifichtee a écrit:
Citation
أشلحي a écrit:
Citation
baliygh75 a écrit:

Oui en effet je ne sais pas lire : d'ailleurs elles vous taraudent tant : que c'est la
première excuse pour se couvrir ...Mais tu as Raison je reconfirme ....Puplicité comme tu l'écris !!!

Allah ehdik assi baliygh tu te prend pour un Victor Hugo ! on va pas se battre pour un p ou pour une petite langue ( francais ). Essai de voir plus loin

Mdrrrrrrr Victor Hugo ptdrptdrptdr mdrrr

@ [Tarifichtee]

Par respect , je ne relève pas cette remarque (quelque peu incongrue...)

Salam,

MDR il fais rire achelhi ptdr laisse il sais même pas c qui victor Hugo ptdr mdrrr
5 septembre 2014 14:00
Citation
Tarifichtee a écrit:
Citation
baliygh75 a écrit:
Citation
Tarifichtee a écrit:
Citation
أشلحي a écrit:
Citation
baliygh75 a écrit:

Oui en effet je ne sais pas lire : d'ailleurs elles vous taraudent tant : que c'est la
première excuse pour se couvrir ...Mais tu as Raison je reconfirme ....Puplicité comme tu l'écris !!!

Allah ehdik assi baliygh tu te prend pour un Victor Hugo ! on va pas se battre pour un p ou pour une petite langue ( francais ). Essai de voir plus loin

Mdrrrrrrr Victor Hugo ptdrptdrptdr mdrrr

@ [Tarifichtee]

Par respect , je ne relève pas cette remarque (quelque peu incongrue...)

Salam,

MDR il fais rire achelhi ptdr laisse il sais même pas c qui victor Hugo ptdr mdrrr

Salam,

Et merci , tu vois bien l'écart de langage, je sais bien ce qui le gêne , mais vraiment , je ne
vais pas en rajouter plus encore ..Ps: Vous changez tellement de Pseudos les Filles, qu'on arrive plus à savoir qui
est qui !!???
perplexeeye rolling smileyWelcome
B
5 septembre 2014 14:05
Salam ,

Baliygh75 je suis nouvelle grinning smiley
P
5 septembre 2014 14:40
Citation
baliygh75 a écrit:
Citation
أشلحي a écrit:
Citation
baliygh75 a écrit:

Oui en effet je ne sais pas lire : d'ailleurs elles vous taraudent tant : que c'est la
première excuse pour se couvrir ...Mais tu as Raison je reconfirme ....Puplicité comme tu l'écris !!!

Allah ehdik assi baliygh tu te prend pour un Victor Hugo ! on va pas se battre pour un p ou pour une petite langue ( francais ). Essai de voir plus loin

Salam

Tu calmes stp les comparaisons stupides ne servent qu'à dévaloriser celui qui s'en sert,
Rien ne t'appartient ici , ni ailleurs , tes petites crises , particulièrement celles qui motivent tes
réflexions limites sont glanées au fond des poubelles ...Donc si tu connais Hugo Boss tant mieux
pour toi et encore que sais-tu de Victor Hugo à part son nom !!!! Calme-toi sois Zen, et tout roule (Raoul).
Allah Yehdini Wi ehdik 3Al 3Amal wa Salah le reste n'est que fioriture ...Et il ne faut être Ingrat mais
reconnaissant et applique le conseil que tu ajoutes à mon intention ou égard , il te sera utile, vue que
[ Charité bien ordonnée, Commence par soi-même..] [[[{ Il est bien de penser aux autres, mais il faudrait
d'abord s'occuper de soi-même.}]]] Tu as beaucoup à apprendre, mais cela ne te servira à Rien .,Tu en
ferais mauvais usage , vu l'exemple d’intolérance dont tu fais preuve déjà, avec le peu que tu Sais !!

Pourtant tu parles de Dalil,Halal,Haram, cerise sur le gâteau Fiqh ..Remets-toi en Question, avant de Juger ..

Tu as du lire (peut-être) [Les Misérables] et cela te reste à travers la gorge, son
goût te fut amer ..Joue dans ta cour..


Je te fais découvrir un autre : Victor Hugo .....

......il n’est pas sans intérêt de relire le poème que Hugo, dans le cadre de La légende des Siècles,
publie sur la mort du prophète de l’islam en 1858 et qui s’intitule « L’an 9 de l’hégire ». Il y donne de
Mahomet, comme il le nomme, une image bien différente de celle que l’on peut lire aujourd’hui dans le
monde européen.




Comme s’il pressentait que son heure était proche

Grave, il ne faisait plus à personne un reproche,

Il marchait en rendant aux passants leur salut ;

On le voyait vieillir chaque jour, quoiqu’il eût

A peine vingt poils blancs à sa barbe encore noire ;

Il s’arrêtait parfois pour voir les chameaux boire,

Se souvenant du temps qu’il était chamelier.



Il songeait longuement devant le saint pilier ;

par moments il faisait mettre une femme nue

Et la regardait, puis contemplait la nue,

Et disait : « La beauté sur la terre, au ciel le jour ».



Il semblait avoir vu l’éden, l’âge d’amour,

Les temps antérieurs, l’ère immémoriale.

Il avait le front haut, la joue impériale,

Le sourcil chauve, l’œil profond et diligent,

Le cou pareil au col d’une amphore d’argent,

L’air d’un Noé qui sait le secret du déluge.

Si des hommes venaient le consulter, ce juge

Laissait l’un affirmer, l’autre rire et nier,

Ecoutait en silence et parlait le dernier.

Sa bouche était toujours en train d’une prière ;

Il mangeait peu, serrant sur son ventre une pierre ;

Il s’occupait de lui-même à traire ses brebis ;

Il s’asseyait à terre et cousait ses habits.



Il jeûnait plus longtemps qu’autrui les jours de jeûne,

Quoiqu’il perdît sa force et qu’il ne fût plus jeune.



« A soixante-trois ans une fièvre le prit.

Il relut le Coran de sa main même écrit,

Puis il remit au fils de Séid la bannière,

En lui disant : « Je touche à mon aube dernière.

Il n’est pas d’autre Dieu que Dieu. Combats pour lui. »

Et son œil, voilé d’ombre, avait ce morne ennui

D’un vieux aigle forcé d’abandonner son aire.

Il vint à la mosquée à son heure ordinaire,

Appuyé sur Ali le peuple le suivant ;

Et l’étendard sacré se déployait au vent.

Là, pâle, il s’écria, se tournant vers la foule ;

« Peuple, le jour s’éteint, l’homme passe et s’écroule ;

La poussière et la nuit, c’est nous. Dieu seul est grand.

Peuple je suis l’aveugle et suis l’ignorant.

Sans Dieu je serais vil plus que la bête immonde. »

Un sheick lui dit : « Ô chef des vrais croyants ! Le monde,

Sitôt qu’il t’entendit, en ta parole crut ;

Le jour où tu naquit une étoile apparut,

Et trois tours du palais de Chosroès tombèrent. »

Lui, reprit : « Sur ma mort, les Anges délibèrent ;

L’heure arrive. Ecoutez. Si j’ai de l’un de vous

Mal parlé, qu’il se lève, ô peuple, et devant tous

Qu’il m’insulte et m’outrage avant que je m’échappe,

Si j’ai frappé quelqu’un, que celui-là me frappe. »

Et, tranquille, il tendit aux passants son bâton.

Une vieille, tondant la laine d’un mouton,

Assise sur un seuil, lui cria : « Dieu t’assiste ! »



« Il semblait regarder quelque vision triste,

Et songeait ; tout à coup, pensif, il dit : « Voilà,

Vous tous, je suis un mot dans la bouche d’Allah ;

Je suis cendre comme homme et feu comme prophète.

J’ai complété d’Issa la lumière imparfaite.

Je suis la force, enfants ; Jésus fut la douceur.

Le soleil a toujours l’aube pour précurseur.

Jésus m’a précédé, mais il n’est pas la Cause.

Il est né d’une Vierge aspirant une rose.

Moi, comme être vivant, retenez bien ceci,

Je ne suis qu’un limon par les vices noirci,

J’ai de tous les péchés subi l’approche étrange,

Ma chair a plus d’affront qu’un chemin n’a de fange,

Et mon corps par le mal est tout déshonoré ;

Ô vous tous, je serais bien vite dévoré

Si dans l’obscurité du cercueil solitaire

Chaque faute engendre un ver de terre.

Fils, le damné renaît au fond du froid caveau

Pour être par les vers dévoré de nouveau ;

Toujours sa chair revit, jusqu’à ce que la peine,

Finie ouvre à son vol l’immensité sereine.

Fils, je suis le champ vil des sublimes combats,

Tantôt l’homme d’en haut, tantôt l’homme d’en bas,

Et le mal dans ma bouche avec le bien alterne

Comme dans le désert le sable et la citerne ;

Ce qui n’empêche pas que je n’aie, ô croyants !

Tenu tête dans l’ombre aux Anges effrayants

Qui voudraient replonger l’homme dans les ténèbres,

J’ai parfois dans mes poings tordu leurs bras funèbres ;

Souvent, comme Jacob, j’ai la nuit, pas à pas,

Lutté contre quelqu’un que je ne voyais pas ;

Mais les hommes surtout on fait saigner ma vie,

Ils ont jeté sur moi leur haine et leur envie,

Et, comme je sentais en moi la vérité,

Je les ai combattus, mais sans être irrité,

Et, pendant le combat je criais : “laissez faire !

Je suis le seul, nu, sanglant, blessé ; je le préfère.

Qu’ils frappent sur moi tous ! Que tout leur soit permis !

Quand même, se ruant sur moi, mes ennemis

Auraient, pour m’attaquer dans cette voie étroite,

Le soleil à leur gauche et la lune à leur droite,

Ils ne me feraient point reculer !” C’est ainsi

Qu’après avoir lutté quarante ans, me voici

Arrivé sur le bord de la tombe profonde,

Et j’ai devant moi Allah, derrière moi le monde.

Quant à vous qui m’avez dans l’épreuve suivi,

Comme les grecs Hermès et les hébreux Lévi,

Vous avez bien souffert, mais vous verrez l’aurore.

Après la froide nuit, vous verrez l’aube éclore ;

Peuple, n’en doutez pas ; celui qui prodigua

Les lions aux ravins du Jebbel-Kronnega,

Les perles à la mer et les astres à l’ombre,

Peut bien donner un peu de joie à l’homme sombre . »



Il ajouta : « Croyez, veillez ; courbez le front.

Ceux qui ne sont ni bons ni mauvais resteront

Sur le mur qui sépare Eden d’avec l’abîme,

Etant trop noirs pour Dieu, mais trop blancs pour le crime ;

Presque personne n’est assez pur de péchés

Pour ne pas mériter un châtiment ; tâchez,

En priant, que vos corps touchent partout la terre ;

L’enfer ne brûlera dans son fatal mystère

Que ce qui n’aura point touché la cendre, et Dieu

A qui baise la terre obscure, ouvre un ciel bleu ;

Soyez hospitaliers ; soyez saints ; soyez justes ;

Là-haut sont les fruits purs dans les arbres augustes,

Les chevaux sellés d’or, et, pour fuir aux sept dieux,

Les chars vivants ayant des foudres pour essieux ;

Chaque houri, sereine, incorruptible, heureuse,

Habite un pavillon fait d’une perle creuse ;

Le gehennam attend les réprouvés ; malheur !

Ils auront des souliers de feu dont la chaleur

Fera bouillir leur tête ainsi qu’une chaudière.

La face des élus sera charmante et fière. »



Il s’arrêta donnant audience à l’espoir.

Puis poursuivant sa marche à pas lents, il reprit :

« Ô vivants ! Je répète à tous que voici l’heure

Où je vais me cacher dans une autre demeure ;

Donc, hâtez-vous. Il faut, le moment est venu,

Que je sois dénoncé par ceux qui m’ont connu,

Et que, si j’ai des torts, on me crache au visage. »

La foule s’écartait muette à son passage.

Il se lava la barbe au puits d’Aboufléia.



Un homme réclama trois drachmes, qu’il paya,

Disant : « Mieux vaut payer ici que dans la tombe. »

L’œil du peuple était doux comme un œil de colombe

En le regardant cet homme auguste, son appui ;

Tous pleuraient ; quand, plus tard, il fut rentré chez lui,

Beaucoup restèrent là sans fermer la paupière,

Et passèrent la nuit couchés sur une pierre.



Le lendemain matin, voyant l’aube arriver ;

« Aboubékre, dit-il, je ne puis me lever,

Tu vas prendre le Livre et faire la prière. »

Et sa femme Aïscha se tenait en arrière ;

Il écoutait pendant qu’Aboubékre lisait,

Et souvent à voix basse achevait le verset ;

Et l’on pleurait pendant qu’il priait de la sorte.

Et l’Ange de la mort vers le soir à la porte

Apparut, demandant qu’on lui permît d’entrer.

« Qu’il entre. »

On vit alors son regard s’éclairer

De la même clarté qu’au jour de sa naissance ;

Et l’Ange lui dit : « Dieu désire ta présence.

— Bien », dit-il. Un frisson sur les tempes courut,

Un souffle ouvrit sa lèvre, et Mahomet mourut.

Salam alaykoum,
Allah e3fou 3lik Assi baiygh. je n'avais pas l'intention de t'embeter mais probablement tu ne comprend pas mes commentaires parce que la langue ne ta pas suffit, il faut être modeste winking smiley
[color=#ed7b18][b][center]إذا نطق السفيه فلا تجبه* فخير من إجابته السكوتفإن كلَمته فرَجت عنه* وإن خليته كمداً يموت[/center][/b][/color]
P
5 septembre 2014 14:54
message edité



Modifié 1 fois. Dernière modification le 06/09/14 00:07 par أشلحي.
[color=#ed7b18][b][center]إذا نطق السفيه فلا تجبه* فخير من إجابته السكوتفإن كلَمته فرَجت عنه* وإن خليته كمداً يموت[/center][/b][/color]
B
5 septembre 2014 15:52
Citation
أشلحي a écrit:
Citation
Tarifichtee a écrit:
Salam,

MDR il fais rire achelhi ptdr laisse il sais même pas c qui victor Hugo ptdr mdrrr

oui tu as raison je le connai meme pas tongue sticking out smiley
Bsahtek le nouveau look thumbs up

Salam,

Allahi atek Saha :grinning smiley
C
5 septembre 2014 16:00
Citation
baliygh75 a écrit:
Citation
Ijiss n'nador a écrit:
Salam,

ptdrptdrptdr mdrrrrrrr c'est pas halal tous ça ptdr

Salam

Nadoria , y a toujours pire et quand on se converti , entre autre on apprend , le b.a.ba avant
de devenir savant , ce que je lui souhaite ...


j'ai pas compris tu peux m'expliqué stp
5 septembre 2014 16:12
Citation
ConvertieMuslim a écrit:
Salam alkym

Je voulais savoir si c'est autorisé les sites de rencontre pour trouvé sa hlel

ya til des gens qui on trouvé leur hlel sur un site ?

Salam

Il me semble que se n'est pas hallal, mais c'est à verifier.
5 septembre 2014 21:21
Citation
أشلحي a écrit:
Citation
baliygh75 a écrit:
Citation
أشلحي a écrit:
Citation
baliygh75 a écrit:

Oui en effet je ne sais pas lire : d'ailleurs elles vous taraudent tant : que c'est la
première excuse pour se couvrir ...Mais tu as Raison je reconfirme ....Puplicité comme tu l'écris !!!

Allah ehdik assi baliygh tu te prend pour un Victor Hugo ! on va pas se battre pour un p ou pour une petite langue ( francais ). Essai de voir plus loin

Salam

Tu calmes stp les comparaisons stupides ne servent qu'à dévaloriser celui qui s'en sert,
Rien ne t'appartient ici , ni ailleurs , tes petites crises , particulièrement celles qui motivent tes
réflexions limites sont glanées au fond des poubelles ...Donc si tu connais Hugo Boss tant mieux
pour toi et encore que sais-tu de Victor Hugo à part son nom !!!! Calme-toi sois Zen, et tout roule (Raoul).
Allah Yehdini Wi ehdik 3Al 3Amal wa Salah le reste n'est que fioriture ...Et il ne faut être Ingrat mais
reconnaissant et applique le conseil que tu ajoutes à mon intention ou égard , il te sera utile, vue que
[ Charité bien ordonnée, Commence par soi-même..] [[[{ Il est bien de penser aux autres, mais il faudrait
d'abord s'occuper de soi-même.}]]] Tu as beaucoup à apprendre, mais cela ne te servira à Rien .,Tu en
ferais mauvais usage , vu l'exemple d’intolérance dont tu fais preuve déjà, avec le peu que tu Sais !!

Pourtant tu parles de Dalil,Halal,Haram, cerise sur le gâteau Fiqh ..Remets-toi en Question, avant de Juger ..

Tu as du lire (peut-être) [Les Misérables] et cela te reste à travers la gorge, son
goût te fut amer ..Joue dans ta cour..


Je te fais découvrir un autre : Victor Hugo .....

......il n’est pas sans intérêt de relire le poème que Hugo, dans le cadre de La légende des Siècles,
publie sur la mort du prophète de l’islam en 1858 et qui s’intitule « L’an 9 de l’hégire ». Il y donne de
Mahomet, comme il le nomme, une image bien différente de celle que l’on peut lire aujourd’hui dans le
monde européen.




Comme s’il pressentait que son heure était proche

Grave, il ne faisait plus à personne un reproche,

Il marchait en rendant aux passants leur salut ;

On le voyait vieillir chaque jour, quoiqu’il eût

A peine vingt poils blancs à sa barbe encore noire ;

Il s’arrêtait parfois pour voir les chameaux boire,

Se souvenant du temps qu’il était chamelier.



Il songeait longuement devant le saint pilier ;

par moments il faisait mettre une femme nue

Et la regardait, puis contemplait la nue,

Et disait : « La beauté sur la terre, au ciel le jour ».



Il semblait avoir vu l’éden, l’âge d’amour,

Les temps antérieurs, l’ère immémoriale.

Il avait le front haut, la joue impériale,

Le sourcil chauve, l’œil profond et diligent,

Le cou pareil au col d’une amphore d’argent,

L’air d’un Noé qui sait le secret du déluge.

Si des hommes venaient le consulter, ce juge

Laissait l’un affirmer, l’autre rire et nier,

Ecoutait en silence et parlait le dernier.

Sa bouche était toujours en train d’une prière ;

Il mangeait peu, serrant sur son ventre une pierre ;

Il s’occupait de lui-même à traire ses brebis ;

Il s’asseyait à terre et cousait ses habits.



Il jeûnait plus longtemps qu’autrui les jours de jeûne,

Quoiqu’il perdît sa force et qu’il ne fût plus jeune.



« A soixante-trois ans une fièvre le prit.

Il relut le Coran de sa main même écrit,

Puis il remit au fils de Séid la bannière,

En lui disant : « Je touche à mon aube dernière.

Il n’est pas d’autre Dieu que Dieu. Combats pour lui. »

Et son œil, voilé d’ombre, avait ce morne ennui

D’un vieux aigle forcé d’abandonner son aire.

Il vint à la mosquée à son heure ordinaire,

Appuyé sur Ali le peuple le suivant ;

Et l’étendard sacré se déployait au vent.

Là, pâle, il s’écria, se tournant vers la foule ;

« Peuple, le jour s’éteint, l’homme passe et s’écroule ;

La poussière et la nuit, c’est nous. Dieu seul est grand.

Peuple je suis l’aveugle et suis l’ignorant.

Sans Dieu je serais vil plus que la bête immonde. »

Un sheick lui dit : « Ô chef des vrais croyants ! Le monde,

Sitôt qu’il t’entendit, en ta parole crut ;

Le jour où tu naquit une étoile apparut,

Et trois tours du palais de Chosroès tombèrent. »

Lui, reprit : « Sur ma mort, les Anges délibèrent ;

L’heure arrive. Ecoutez. Si j’ai de l’un de vous

Mal parlé, qu’il se lève, ô peuple, et devant tous

Qu’il m’insulte et m’outrage avant que je m’échappe,

Si j’ai frappé quelqu’un, que celui-là me frappe. »

Et, tranquille, il tendit aux passants son bâton.

Une vieille, tondant la laine d’un mouton,

Assise sur un seuil, lui cria : « Dieu t’assiste ! »



« Il semblait regarder quelque vision triste,

Et songeait ; tout à coup, pensif, il dit : « Voilà,

Vous tous, je suis un mot dans la bouche d’Allah ;

Je suis cendre comme homme et feu comme prophète.

J’ai complété d’Issa la lumière imparfaite.

Je suis la force, enfants ; Jésus fut la douceur.

Le soleil a toujours l’aube pour précurseur.

Jésus m’a précédé, mais il n’est pas la Cause.

Il est né d’une Vierge aspirant une rose.

Moi, comme être vivant, retenez bien ceci,

Je ne suis qu’un limon par les vices noirci,

J’ai de tous les péchés subi l’approche étrange,

Ma chair a plus d’affront qu’un chemin n’a de fange,

Et mon corps par le mal est tout déshonoré ;

Ô vous tous, je serais bien vite dévoré

Si dans l’obscurité du cercueil solitaire

Chaque faute engendre un ver de terre.

Fils, le damné renaît au fond du froid caveau

Pour être par les vers dévoré de nouveau ;

Toujours sa chair revit, jusqu’à ce que la peine,

Finie ouvre à son vol l’immensité sereine.

Fils, je suis le champ vil des sublimes combats,

Tantôt l’homme d’en haut, tantôt l’homme d’en bas,

Et le mal dans ma bouche avec le bien alterne

Comme dans le désert le sable et la citerne ;

Ce qui n’empêche pas que je n’aie, ô croyants !

Tenu tête dans l’ombre aux Anges effrayants

Qui voudraient replonger l’homme dans les ténèbres,

J’ai parfois dans mes poings tordu leurs bras funèbres ;

Souvent, comme Jacob, j’ai la nuit, pas à pas,

Lutté contre quelqu’un que je ne voyais pas ;

Mais les hommes surtout on fait saigner ma vie,

Ils ont jeté sur moi leur haine et leur envie,

Et, comme je sentais en moi la vérité,

Je les ai combattus, mais sans être irrité,

Et, pendant le combat je criais : “laissez faire !

Je suis le seul, nu, sanglant, blessé ; je le préfère.

Qu’ils frappent sur moi tous ! Que tout leur soit permis !

Quand même, se ruant sur moi, mes ennemis

Auraient, pour m’attaquer dans cette voie étroite,

Le soleil à leur gauche et la lune à leur droite,

Ils ne me feraient point reculer !” C’est ainsi

Qu’après avoir lutté quarante ans, me voici

Arrivé sur le bord de la tombe profonde,

Et j’ai devant moi Allah, derrière moi le monde.

Quant à vous qui m’avez dans l’épreuve suivi,

Comme les grecs Hermès et les hébreux Lévi,

Vous avez bien souffert, mais vous verrez l’aurore.

Après la froide nuit, vous verrez l’aube éclore ;

Peuple, n’en doutez pas ; celui qui prodigua

Les lions aux ravins du Jebbel-Kronnega,

Les perles à la mer et les astres à l’ombre,

Peut bien donner un peu de joie à l’homme sombre . »



Il ajouta : « Croyez, veillez ; courbez le front.

Ceux qui ne sont ni bons ni mauvais resteront

Sur le mur qui sépare Eden d’avec l’abîme,

Etant trop noirs pour Dieu, mais trop blancs pour le crime ;

Presque personne n’est assez pur de péchés

Pour ne pas mériter un châtiment ; tâchez,

En priant, que vos corps touchent partout la terre ;

L’enfer ne brûlera dans son fatal mystère

Que ce qui n’aura point touché la cendre, et Dieu

A qui baise la terre obscure, ouvre un ciel bleu ;

Soyez hospitaliers ; soyez saints ; soyez justes ;

Là-haut sont les fruits purs dans les arbres augustes,

Les chevaux sellés d’or, et, pour fuir aux sept dieux,

Les chars vivants ayant des foudres pour essieux ;

Chaque houri, sereine, incorruptible, heureuse,

Habite un pavillon fait d’une perle creuse ;

Le gehennam attend les réprouvés ; malheur !

Ils auront des souliers de feu dont la chaleur

Fera bouillir leur tête ainsi qu’une chaudière.

La face des élus sera charmante et fière. »



Il s’arrêta donnant audience à l’espoir.

Puis poursuivant sa marche à pas lents, il reprit :

« Ô vivants ! Je répète à tous que voici l’heure

Où je vais me cacher dans une autre demeure ;

Donc, hâtez-vous. Il faut, le moment est venu,

Que je sois dénoncé par ceux qui m’ont connu,

Et que, si j’ai des torts, on me crache au visage. »

La foule s’écartait muette à son passage.

Il se lava la barbe au puits d’Aboufléia.



Un homme réclama trois drachmes, qu’il paya,

Disant : « Mieux vaut payer ici que dans la tombe. »

L’œil du peuple était doux comme un œil de colombe

En le regardant cet homme auguste, son appui ;

Tous pleuraient ; quand, plus tard, il fut rentré chez lui,

Beaucoup restèrent là sans fermer la paupière,

Et passèrent la nuit couchés sur une pierre.



Le lendemain matin, voyant l’aube arriver ;

« Aboubékre, dit-il, je ne puis me lever,

Tu vas prendre le Livre et faire la prière. »

Et sa femme Aïscha se tenait en arrière ;

Il écoutait pendant qu’Aboubékre lisait,

Et souvent à voix basse achevait le verset ;

Et l’on pleurait pendant qu’il priait de la sorte.

Et l’Ange de la mort vers le soir à la porte

Apparut, demandant qu’on lui permît d’entrer.

« Qu’il entre. »

On vit alors son regard s’éclairer

De la même clarté qu’au jour de sa naissance ;

Et l’Ange lui dit : « Dieu désire ta présence.

— Bien », dit-il. Un frisson sur les tempes courut,

Un souffle ouvrit sa lèvre, et Mahomet mourut.

Salam alaykoum,
Allah e3fou 3lik Assi baiygh. je n'avais pas l'intention de t'embeter mais probablement tu ne comprend pas mes commentaires parce que la langue ne ta pas suffit, il faut être modeste winking smiley

Salam

Pour m'ennuyer , il aurait fallu que tu aies de la repartie et que tu saches ce que tu écris, comme ce n'est pas le cas , tu n'existes même pas pour moi avec tes blagues à deux balles,Tu penses que tu vas changer maintenant ....?? Certainement pas , heureusement pour toi : Que le ridicule ne tue pas !!! Allah ye3fou amine, mais c'est hors contexte et inapproprié pour le Sujet , Mais je te donne l'importance que tu ne mérites pas , Allez, oublies moi s'il te plaît !!! Ne joue pas, la victime ...Ca ne te va pas .... Tu mords , mais sans dents !!!!!
P
6 septembre 2014 00:05
Citation
baliygh75 a écrit:
Salam
Pour m'ennuyer , il aurait fallu que tu aies de la repartie et que tu saches ce que tu écris, comme ce n'est pas le cas , tu n'existes même pas pour moi avec tes blagues à deux balles,Tu penses que tu vas changer maintenant ....?? Certainement pas , heureusement pour toi : Que le ridicule ne tue pas !!! Allah ye3fou amine, mais c'est hors contexte et inapproprié pour le Sujet , Mais je te donne l'importance que tu ne mérites pas , Allez, oublies moi s'il te plaît !!! Ne joue pas, la victime ...Ca ne te va pas .... Tu mords , mais sans dents !!!!![/color][/i][/b]

Awa ghilad tkhite.
[color=#ed7b18][b][center]إذا نطق السفيه فلا تجبه* فخير من إجابته السكوتفإن كلَمته فرَجت عنه* وإن خليته كمداً يموت[/center][/b][/color]
M
6 septembre 2014 00:10
Citation
أشلحي a écrit:
tanadorite,

Pourquoi c'est pas hlal? tu as un texte qui l'interdit?
[islam-dine-rappel-pdf.over-blog.com]
P
6 septembre 2014 00:48
Citation
Miel-De-Tilleul a écrit:
Citation
أشلحي a écrit:
tanadorite,

Pourquoi c'est pas hlal? tu as un texte qui l'interdit?
[islam-dine-rappel-pdf.over-blog.com]

Je sais tout ca mais je prefere parler avec preuves. Quand on parle de Halal et le Haram on ramene toujours un texte sinon on se tait. Parce que l'affaire est grave si on se trompe et surtout quand on se base sur des blogs ou des sites perso!

La reponse à cette question ne peut pas être la même pour tout le monde donc evitez de generaliser. On est dans un monde compliqué les reponses doivent être adaptés à chaque situation.
[color=#ed7b18][b][center]إذا نطق السفيه فلا تجبه* فخير من إجابته السكوتفإن كلَمته فرَجت عنه* وإن خليته كمداً يموت[/center][/b][/color]
C
6 septembre 2014 00:51
comment on ferme le post le sujet ?
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