Citation
Momo628 a écrit:
"Au motif que monsieur après 7 ans de mariage réalisait qu'il avait épousé une femme qui ne pouvait pas enfanter [...] Je suis allée au ciné, au resto avec ma fille. "
Tu nous explique un peu ?
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Momo628 a écrit:
"Au motif que monsieur après 7 ans de mariage réalisait qu'il avait épousé une femme qui ne pouvait pas enfanter [...] Je suis allée au ciné, au resto avec ma fille. "
Tu nous explique un peu ?
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Vérosalma a écrit:
Je postais dernièrement un sujet concernant l'abandon du domicile de la part de mon mari. Au motif que monsieur après 7 ans de mariage réalisait qu'il avait épousé une femme qui ne pouvait pas enfanter et qu'il se découvrait brusquement la fibre paternelle et désirait ardemment un enfant et pour ce faire sa famille de mèche avec lui pour lui trouver la perle rare qui l'accepterai au pays.
Bien que je m'attendais tôt ou tard à ce qu'il me quitte malgré les mille promesses qu'il me tenait de ne jamais me quitter et patati et patata je ne me leurrai pas trop non plus.
Cependant j'ai eu bien du mal à digéré son départ.
Je me suis sentie bafouée, humiliée. Mais il a sû par ces paroles rassurantes me mettre en confiance afin de rester un excellent terme avec moi bien qu'il doive refaire sa vie.
Souhaitant faire de moi sa meilleurs amie et même me considérer comme membre de sa futur famille !
J'ai en effet gardé contact avec lui. Nous nous téléphonons parfois me rend visite en tou bien tout honneur.
Et moi qui au début était déprimée, triste. Réalisant que je n'avais aucune famille ni ami(es
J'avais une adversion pour la solitude, l'ennui.
Je me suis tellement consacrée à mon mari durant ces 7 ans que je ne me voyais plus.
Totalement et entièrement dévouée à son confort surotut qu'il buvait fût une période, fumait du cannabis.
J'ai traversé des périodes noires ! Mais je serrai les dents et ai eu a verser bien des larmes que lui savait par la manipulation me mettre en doute et culpabilité sur des torts que lui même avait !
Mais je n'avais que lui et ma fillle comme seule personnes dans mon quotidien.
Voilà maintenant près d'un mois qu'il est parti et bien qu'au début je me suis sentie perdue à présent je n'en reviens pas de moi même !
Je suis allée au ciné, au resto avec ma fille.
Et même dans Paris un soir ! Je tricote, j'écoute de la musique.
Me suis coupé les cheveux. Pour tout dire je ne soupçonnais en rien une guérison de moral aussi rapide.
Le pire est que je serai incapable de savoir ce qui m'a provoqué ce déclic.
Je n'éprouve pas non plus de ressentiments ou rancunes. Non totalement détachée comme indifférente à son départ.
Avec une sorte de sentiment de pardon sur ce que j'ai eu a traverser avec lui. Comme si je me retrouvais en paix avec moi même sans chercher à régler des comptes.
Fataliste mais bien dans ma peau sans ombre de chagrins.
J'ai espoir en avançant ainsi que l'horizon va s'éclaircir. Mais malgré tout hors de question pour moi de faire une rencontre masculine et espérer un nouvel amour.
Là dessus il a tué ma confiance sur ce point peut être avec le temps mais j'en doute fort.
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Vérosalma a écrit:
Je postais dernièrement un sujet concernant l'abandon du domicile de la part de mon mari. Au motif que monsieur après 7 ans de mariage réalisait qu'il avait épousé une femme qui ne pouvait pas enfanter et qu'il se découvrait brusquement la fibre paternelle et désirait ardemment un enfant et pour ce faire sa famille de mèche avec lui pour lui trouver la perle rare qui l'accepterai au pays.
Bien que je m'attendais tôt ou tard à ce qu'il me quitte malgré les mille promesses qu'il me tenait de ne jamais me quitter et patati et patata je ne me leurrai pas trop non plus.
Cependant j'ai eu bien du mal à digéré son départ.
Je me suis sentie bafouée, humiliée. Mais il a sû par ces paroles rassurantes me mettre en confiance afin de rester un excellent terme avec moi bien qu'il doive refaire sa vie.
Souhaitant faire de moi sa meilleurs amie et même me considérer comme membre de sa futur famille !
J'ai en effet gardé contact avec lui. Nous nous téléphonons parfois me rend visite en tou bien tout honneur.
Et moi qui au début était déprimée, triste. Réalisant que je n'avais aucune famille ni ami(es
J'avais une adversion pour la solitude, l'ennui.
Je me suis tellement consacrée à mon mari durant ces 7 ans que je ne me voyais plus.
Totalement et entièrement dévouée à son confort surotut qu'il buvait fût une période, fumait du cannabis.
J'ai traversé des périodes noires ! Mais je serrai les dents et ai eu a verser bien des larmes que lui savait par la manipulation me mettre en doute et culpabilité sur des torts que lui même avait !
Mais je n'avais que lui et ma fillle comme seule personnes dans mon quotidien.
Voilà maintenant près d'un mois qu'il est parti et bien qu'au début je me suis sentie perdue à présent je n'en reviens pas de moi même !
Je suis allée au ciné, au resto avec ma fille.
Et même dans Paris un soir ! Je tricote, j'écoute de la musique.
Me suis coupé les cheveux. Pour tout dire je ne soupçonnais en rien une guérison de moral aussi rapide.
Le pire est que je serai incapable de savoir ce qui m'a provoqué ce déclic.
Je n'éprouve pas non plus de ressentiments ou rancunes. Non totalement détachée comme indifférente à son départ.
Avec une sorte de sentiment de pardon sur ce que j'ai eu a traverser avec lui. Comme si je me retrouvais en paix avec moi même sans chercher à régler des comptes.
Fataliste mais bien dans ma peau sans ombre de chagrins.
J'ai espoir en avançant ainsi que l'horizon va s'éclaircir. Mais malgré tout hors de question pour moi de faire une rencontre masculine et espérer un nouvel amour.
Là dessus il a tué ma confiance sur ce point peut être avec le temps mais j'en doute fort.
Citation
Momo628 a écrit:
"Au motif que monsieur après 7 ans de mariage réalisait qu'il avait épousé une femme qui ne pouvait pas enfanter [...] Je suis allée au ciné, au resto avec ma fille. "
Tu nous explique un peu ?
! Citation
Vérosalma a écrit:
Alors là Samrahh c'est le résumé parfait que vous avez fait là ! c'est tout à fait ça !
Biensûr que c'est ce que je qualifie de "mariage paipiers" et l'excuse trouvé pour prendre la poudre d'escampette est l'envie de paternité.
En m'épousant il était tout à fait conscient que j'avais dépassé la quarantaine et qu'à cet âge là les femmes ne sont plus aussi fécondes.
A l'époque il s'en fichait et se disait transis d'amour au point de faire une impasse sur ce détail seul le fait d'être mon mari le comblait !
Bien évidement sa famille était aux anges j'étais la femme idéale pour eux.
J'allais prendre en charge leur fils, frère, cousin etc qui déjà bien que j'étais totalement ignorante ils ne savaient que faire face à ses addictions avec le cannabis et alcool.
Mais pour obtenir gain de cause évidement jamais au grand "jamais !" il n'a fumé un seul joint ou bu une goutte d'alcool devant moi tant qu'il était au pays.
Mais dès son arrivée en France ça à été l'hécatombe !
Et là seulement sa soeur ma sois disant "belle soeur" me disait au téléphone "oh oui on a eu du mal avec lui mais tu es sa femme à présent tu dois l'aider !"
Et me faisait culpabiliser quand je lui disais ne plus supporter ceci et vouloir y mettre un terme.
Cette peste me rétorquait ...."tu veux abbandonner mon frère qui t'aime sincèrement ! alors que tu devrais l'aider à s'en sortir ! Tu vas te retrouver toute seule ! A ton âge en France en plus avec ta fille et sans famille tu crois que tu trouveras facilement à refaire ta vie ?
Sauve ton mariage avant de penser à quitter mon frère !
Mais à présent que c'est lui qui a pris la fuite ils ont tous bloqué leur compte et numéro !
Ils se sont tous déchargé sur moi.
Mais à présent je suis libre et me prendre en main avec ma fille et prend un autre chemin plus digne je pense.
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