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coldman a écrit:
voila que maintenant tu fais tienne la propagande de l'ultra conservateur "National Review". ils voeint des islamistes d'al qaida partout. en lybie, pour eux, c’était déjà un complot islamiste.
quelle misére........
on est trés loin de rony brauman là.......
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omar625 a écrit:
"Les rebelles sont responsables du massacre de Houla"
Salam Salmones
ce sont les rebels qui ont fait ça alors demain ne viens pas accuser les juifs.
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a écrit:
Toujours selon les militants syriens, les forces fidèles au régime venaient de villages des environs qui sont, eux, majoritairement de confession alaouite, comme la famille Assad, au sud de Houla. "Notre coin est sunnite et les villages avoisinants sont alaouites", comme la famille Assad, expliquait Abou Walid, pour qui cette attaque était clairement motivée par "la haine religieuse".
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a écrit:
La version du régime, qui accuse des groupuscules terroristes (sunnites) d'être les auteurs des massacres, paraît "totalement invraisemblable" à Thomas Pierret, pour qui "le secteur de Houla est une zone sunnite, centre de nombreuses manifestations et foyer de l'ASL".
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salmones a écrit:
Salam, Rasta,
Qu'est-ce que tu veux prouver avec un organe de propagande comme l'Express ?
L'armée était à l'extérieur de la ville afin de protéger les villages alentours qui sont Alaouites.
Houla est majoritairement sunnite, c'est pourquoi les terroristes se cachent dedans.
Après avoir provoqué l'armée qui s'est défendue, ils se sont repliés, pour ensuite s'en prendre aux quelques Alaouites présents à Houla. Cela dans le but, évidemment, d'attribuer le massacre au régime. Ce que les médias occidentaux, dont ton journal l'Express, se sont chargés, sans même vérifier.
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Unesuggestion a écrit:
Pour une fois que je suis plutôt d'accord avec salmones
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Le Figaro a écrit:
La Russie insiste également sur l'organisation au plus vite d'une conférence internationale avec la présence de l'Iran, condition rejetée par les capitales occidentales et contestée par le Conseil national syrien (CNS), principale plate-forme de l'opposition. «Nous ne sommes pas en principe contre cette idée, mais, en pratique, je ne vois pas comment associer des États qui soutiennent encore les crimes de ce régime dans une conférence dont le but est de trouver une solution», a commenté Burhan Ghalioun, président sortant du CNS. M. Ghalioun avait démissionné après avoir été critiqué pour avoir laissé les Frères musulmans prendre une place trop importante au sein du CNS.
Son successeur, le Kurde Abdel Basset Sayda, élu dimanche, fera-t-il mieux? Ce philosophe de formation, exilé en Suède depuis près de vingt ans, modéré mais sans grande expérience politique, aura la rude tâche de réformer le CNS pour en faire un interlocuteur crédible aux yeux de l'ensemble de l'opposition et de la communauté internationale. Depuis sa création, le CNS est jugé inefficace: pas assez d'aide aux militants et pas ou peu de financement et d'armement pour l'Armée syrienne libre (ASL), qui tend à se tourner vers des groupes djihadistes ou étrangers et à se couper de l'opposition politique.
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Le Temps a écrit:
La principale organisation de l’opposition syrienne, le Conseil national syrien (CNS), a annoncé dimanche avoir élu le Kurde Abdelbasset Sida à sa tête lors d’une réunion à Istanbul. Agé de 56 ans, il était le seul candidat à la présidence du CNS pour cette réunion des 33 membres de son secrétariat général.
Abdelbasset Sida vit en exil en Suède. Il succède à Burhan Ghalioun, figure de l’opposition laïque, très critiqué pour avoir été constamment reconduit à la tête du Conseil depuis sa création en août dernier. Le CNS est supposé représenter une alternative démocratique au régime autoritaire du président Bachar al-Assad.
Les Frères musulmans, acteur le plus influent du CNS, avaient d’abord fait savoir qu’ils souhaitaient le maintien de Burhan Ghalioun à la présidence. Ils vont fini par apporter leur soutien à Abdelbasset Sida pour tenir compte des protestations de membres de l’opposition intérieure syrienne après un troisième renouvellement du mandat du professeur Ghalioun le mois dernier.