Citation
samma a écrit:
C'est quand même étonnant de voir qu'il y a encore des personnes qui s’interrogent sur ce point.
Ceci est une théorie datant du XIXe siècle. Siècle, ne l'oublions pas,
Dire qu'aujourd'hui certains peuples sont plus intelligents, plus sportifs ou plus idiots serait de retourner à cette époque et d'établir une théorie complètement erroné.
Tout ceci est dû au milieu social, au mode de vie et surtout à la faculté propre de l'être humain. Sur ce point je rejoins les propos de khalid2009 qui a clairement expliqué les faits.
Citation
coldman a écrit:Citation
samma a écrit:
C'est quand même étonnant de voir qu'il y a encore des personnes qui s’interrogent sur ce point.
Ceci est une théorie datant du XIXe siècle. Siècle, ne l'oublions pas,
Dire qu'aujourd'hui certains peuples sont plus intelligents, plus sportifs ou plus idiots serait de retourner à cette époque et d'établir une théorie complètement erroné.
Tout ceci est dû au milieu social, au mode de vie et surtout à la faculté propre de l'être humain. Sur ce point je rejoins les propos de khalid2009 qui a clairement expliqué les faits.
tout est dit. ça n'a plus de sens de parler de "races" pour un biologiste aujourd'hui.
et que dire des c.onneries qu l'on peut lire sur ce post du style "les noirs ont un point de gravité plus bas, des cages thoraciques plus devellopées, des muscles plus fibreux....etc".
c'est n'importe quoi. "les noirs", cela regroupe une communauté à la diversité tres riche. il n'y a pas un morphotype "noir".
les petits kenyans et ethiopiens qui, avec leur 50 kgs tout mouillés, trustent les premieres places dans les epreuves d'endurance doivent leur prédispositions à leur environnement et non au fait qu'ils soient noirs. courrir ou marcher sur des hauts plateaux perchés à 3000 m, ça sélectionne des individus les plus adaptés. pas des gros gabarits au soufle court.
et tout est comme ça. il faut aussi garder à l'esprit que les grandes competitions sportives veulent des conditions facilitant le record. le jour ou on fera les jeux olympiques à moscou en automne et en plein air, on verra combien d'africains arriveront en tète. dans les epreuves de force athletique, on voit peu de black ou de maghebins et pas mal d'européens de l'est ou du nord. est ce que cela veut dire que les européens de l'est et du nord sont plus forts? on a tres peu de maghrebins jouant au rugby en france. est ce que cela veut dire qu'ils sont moins bons? attention aux apparences trompeuses.
les noirs pauvres aux etats unis misaient beaucoup sur le sport pour s'en sortir. boursiers à la fac, ils privilegiaient le sport dés qu'ils avaient des capacités. sans compter l'exemple des stars noires de l'athletisme us qui inevitablement les incitaient
pour revenir aux assertions de rastapopoulos, on a en france des milliers d'exemples de bébés adoptés venant de pays pauvres, de l'Afrique à l'asie, et ces gosses ne sortent pas de la norme par rapport à leur petits camarades de classe.
quand à la dimension du cerveau évoquée par je ne me rapelle plus qui, il n'a pas d'incidence notoire. le plus petit cerveau mesuré en france etait celui d'anatole france, un des grands ecrivains francais..
comme le dit samma, c'est avant tout une affaire de mode de vie d'education......
on a des cas rares d'enfants dits "sauvages" qui ont survecu seuls ou grace à des animaux et dont on n'a pu rattraper le retard. incapacité à communiquer avec les autres, à adopter des postures humaines.
sur les "types", on peut en distinguer trois:
le mesomorphe prend facilement du muscle, le visage plutot carré, charpente osseuse solide, des muscles plutot longs.
l'endomorphe prend facilement du gras et du muscle, a des membres et des muscles courts, un visage rond et a besoin de phases de repos plus importantes que les autres. c'est le type meme de l'altherophile.
l'ectomorphe ne prend ni muscle ni gras meme en mangeant comme 4, est actif, endurant, a une faible ossature.
c'est le marathonien type.
et bien si vous regardez autour de vous, vous trouverez ces types dans toutes les communautés. et etre endo, meso ou ectomorphe ne préjuge pas des qualités intellectuelles.
dans certaines communautés certains types sont prédominants à cause de l'environnement.
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a écrit:
tout est dit. ça n'a plus de sens de parler de "races" pour un biologiste aujourd'hui.
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a écrit:
les petits kenyans et ethiopiens qui, avec leur 50 kgs tout mouillés, trustent les premieres places dans les epreuves d'endurance doivent leur prédispositions à leur environnement et non au fait qu'ils soient noirs.
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a écrit:
et tout est comme ça. il faut aussi garder à l'esprit que les grandes competitions sportives veulent des conditions facilitant le record. le jour ou on fera les jeux olympiques à moscou en automne et en plein air, on verra combien d'africains arriveront en tète. dans les epreuves de force athletique, on voit peu de black ou de maghebins et pas mal d'européens de l'est ou du nord. est ce que cela veut dire que les européens de l'est et du nord sont plus forts? on a tres peu de maghrebins jouant au rugby en france. est ce que cela veut dire qu'ils sont moins bons? attention aux apparences trompeuses.
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a écrit:
et que dire des c.onneries qu l'on peut lire sur ce post du style "les noirs ont un point de gravité plus bas, des cages thoraciques plus devellopées, des muscles plus fibreux....etc".
Citation
chti'sem a écrit:
En 2008, la revue Science a publié l'étude génomique la plus complète jamais effectuée. Cette étude compare 650 000 nucléotides chez 938 individus appartenant à 51 ethnies. Les nombreux généticiens qui ont participé à ce travail ont conclu de leurs travaux qu'il existait sept groupes biologiques parmi les hommes : les Africains subsahariens, les Européens, les habitants du Moyen-Orient, les Asiatiques de l'Est, les Asiatiques de l'Ouest, les Océaniens et les Indiens d'Amérique.
Plusieurs études génétiques récentes tendent à réfuter l’existence d’une « race européenne » aux contours bien précis. En effet, selon une étude de l'expert Chao Tian, en 2009, ayant calculé les distances génétiques (Fst) entre plusieurs populations en se basant sur l’ADN autosomal, les Européens du Sud tels que les Grecs et Italiens du Sud apparaissent soit à peu près autant distants des Arabes du Levant (Druzes, Palestiniens) que des Scandinaves et Russes, soit plus proches des premiers. Un Italien du Sud est ainsi génétiquement deux fois et demi plus proche d'un Palestinien que d'un Finlandais.
Feldman, Lewontin et King, résument ainsi la situation dans un article du magazine Nature, daté de 2003 :
« Contrairement à l'idée défendue depuis le milieu du XXe siècle, on peut définir scientifiquement des races dans l’espèce humaine. La connaissance du génome humain permet en effet de regrouper les personnes selon les zones géographiques d’où elles sont issues
Références bibliographiques :
Worldwide Human Relationships Inferred from Genome-Wide Patterns of Variation, Science, 28 février 2008
C.Tian et .al 2009, European Population Genetic Substructure: Further Definition of Ancestry Informative Markers for Distinguishing among Diverse European Ethnic Groups
Nelis et al. 2009, Genetic Structure of Europeans: A View from the North–East
Citation
azzzozza a écrit:
De toute manière, l'intelligence seule ou les capacités physiques seules ne justifient et ne suffisent pas à la bonne adaptation à un milieu ; il y a le QE, il y a les comportements adéquats ; il y a etc.... C'est tout un ensemble. Des expériences ont été menées face à un milieu hostile par exemple : il en est ressorti que les individus capables de survivre et de s'assurer une descendance sont ceux qui maîtrisent leurs émotions, sont capables de se fédérer avec d'autres et capables d'empathie avec eux (éviter et sortir de l'isolement), appliquent la loi du talion et effectivement usent de l'intelligence, bonne hygiène et santé. Mais un individu moyen qui a ses capacités s'en sort au contraire de qqu'un de très intelligent ou très fort physiquement qui n'a pas ces savoirs-faire ( savoirs-faire souvent acquis grâce à son milieu).
On ne peut isoler un élément. Au cours de mon activité professionnelle, j'ai pu m'apercevoir qu'un certain nombre d'enfants en échec scolaire et inadaptés socialement avaient un QI très au-dessus de la moyenne, mais leur milieu n'était pas adapté à leurs possibilités.
Et qqu'un de très bien adapté ds son milieu peut se retrouver en faiblesse et très démuni s'il est parachuté ds un autre.
Le débat de l'inné et l'acquis a encore de beaux jours devant lui.
Citation
chti'sem a écrit:
Trois points de réponses importants pour poursuivre ce débat :
* Dire que c'est une théorie datant du XIXe siècle et que ça étonne que des gens s'interrogent "encore", il faut que tu saches que c'est un sujet d'actualité, la génétique des populations chez l'homme, depuis le séquençage du génome en entier, des études publiées récemment dans des revues prestigieuses montrent des différence génétiques entre des population (si le terme race vous dérange, ça n'a rien de raciste, ce terme est utilisé ici par convention pour définir des populations à caractéristiques globalement différentes et que la diversité au sein d'une même population (race) est bien évidente)
Citation
chti'sem a écrit:
En 2008, la revue Science a publié l'étude génomique la plus complète jamais effectuée. Cette étude compare 650 000 nucléotides chez 938 individus appartenant à 51 ethnies. Les nombreux généticiens qui ont participé à ce travail ont conclu de leurs travaux qu'il existait sept groupes biologiques parmi les hommes : les Africains subsahariens, les Européens, les habitants du Moyen-Orient, les Asiatiques de l'Est, les Asiatiques de l'Ouest, les Océaniens et les Indiens d'Amérique.
Plusieurs études génétiques récentes tendent à réfuter l’existence d’une « race européenne » aux contours bien précis. En effet, selon une étude de l'expert Chao Tian, en 2009, ayant calculé les distances génétiques (Fst) entre plusieurs populations en se basant sur l’ADN autosomal, les Européens du Sud tels que les Grecs et Italiens du Sud apparaissent soit à peu près autant distants des Arabes du Levant (Druzes, Palestiniens) que des Scandinaves et Russes, soit plus proches des premiers. Un Italien du Sud est ainsi génétiquement deux fois et demi plus proche d'un Palestinien que d'un Finlandais.
Feldman, Lewontin et King, résument ainsi la situation dans un article du magazine Nature, daté de 2003 :
« Contrairement à l'idée défendue depuis le milieu du XXe siècle, on peut définir scientifiquement des races dans l’espèce humaine. La connaissance du génome humain permet en effet de regrouper les personnes selon les zones géographiques d’où elles sont issues
Références bibliographiques :
Worldwide Human Relationships Inferred from Genome-Wide Patterns of Variation, Science, 28 février 2008
C.Tian et .al 2009, European Population Genetic Substructure: Further Definition of Ancestry Informative Markers for Distinguishing among Diverse European Ethnic Groups
Nelis et al. 2009, Genetic Structure of Europeans: A View from the North–East
* Les facteurs environnementaux influencent les gènes, une science en porte le nom l'épigénétique ( le domaine qui étudie comment l'environnement et l'histoire individuelle influent sur l'expression des gènes, et plus précisément l'ensemble des modifications transmissibles d'une génération à l'autre et réversibles de l'expression génique sans altération des séquences nucléotidiques)
Un exemple simple de l'influence de l'environnement sur les gènes : l'obésité, des études épidémiologiques chez l'homme, montrent que certaines influences de l'environnement (nourriture, perturbateurs endocriniens, toxiques, tabagisme...) subies par les générations antérieures pourraient également être véhiculées grâce à des marques épigénétiques non effacées d'une génération à l'autre et responsables d'effets transgénérationnels.
* Il existe bien des différences morphologiques globales entre différentes ethnies, a moins d'être aveugle et ne pas les voir...
les noirs ont plus de capacité respiratoire (La capacité vitale est le volume d'air maximal qui peut être inspiré et expiré (rejeté par les poumons) en une inspiration et une expiration maximales. La technique utilisée est le plus souvent la spirométrie qui consiste à enregistrer sur un spirographe les volumes d'air inspirés et expirés, puis à les traduire sous forme de graphique permettant le calcul des volumes. L'étude de la capacité vitale, simple et rapide, relève de la pratique courante. Les valeurs normales, comprises entre 3 et 5 litres environ chez l'adulte, varient selon l'origine ethnique, l'âge, le sexe, la taille et le poids. cf Larousse)
(Valeurs de références changent selon l’ethnie : Pour les Noirs africains, Indiens, Pakistanais et Polynésiens,
appliquer un facteur de correction de 0.9 à la valeur prédite du VEMS (volume air max inspiré par seconde) et de la CV(capacité vitale) cours 5eme année médecine spirométrie)
ps : les hommes ont plus de capacités respiratoires que les femmes car leur cage thoracique est plus large, le fait de dire ça fait de moi une sexiste??????
...
Citation
a écrit:
Il existe des être humains ayant des capacités intellectuelles ou des capacités de calculs exceptionnelles mais ce n'est pas spécifique à telle ou telle "race" si c'était le cas et qu'ils soient héréditaires comme tu le prétends pourquoi ne sont pas "transmissibles" à toute la descendance ou au moins à certains des descendants !!! parce que cette "intelligence exceptionnelle" n'est pas transcrite dans les cellules germinales.
Citation
a écrit:
souvent, on donne aux noirs de prétendues qualités physiques pour leur nier des capacités intellectuelles. c'etait ce que sous entendait le pen dans ses sorties sur "l'inégalité des races". le noir a été l'humain le plus victime de prejugés et pas que par les blancs, loin de là. encore aujourd'hui, cette propension à l'affubler de qualités physiques hors normes ou d'un sexe démesuré (ce qui renvoie à la bestialité) est l'expression de ces vieux Répondre
préjugés.
Citation
coldman
ce que je voulais dire, c'est que le fait de vivre en altitude et etre endurant, tu le retrouves ailleurs. pas besoin d'aller en afrique tiens, prends certains peuples du perou, bolivie etc.....quote a écrit:
Une étude a été faite en 1994 sur les populations tibétaines et elle a démontré qu'une base génétique intervenait pour la régulation de l'oxygène et que c'était une spécificité des tibétains. Une autre étude a été faite ensuite sur une population des hauts plateaux boliviens et cette variable génétique n'existait. Donc pour une population vivant dans le même environnement de haute altitude, les capacités innées ne sont à priori pas identiques, ce qui laisse supposer qu'il y a une part génétique et héréditaire.
Citation
louise a écrit:Citation
coldman
ce que je voulais dire, c'est que le fait de vivre en altitude et etre endurant, tu le retrouves ailleurs. pas besoin d'aller en afrique tiens, prends certains peuples du perou, bolivie etc.....quote a écrit:
Une étude a été faite en 1994 sur les populations tibétaines et elle a démontré qu'une base génétique intervenait pour la régulation de l'oxygène et que c'était une spécificité des tibétains. Une autre étude a été faite ensuite sur une population des hauts plateaux boliviens et cette variable génétique n'existait. Donc pour une population vivant dans le même environnement de haute altitude, les capacités innées ne sont à priori pas identiques, ce qui laisse supposer qu'il y a une part génétique et héréditaire.
mais de toutes façons je ne voulais pas dire que tout les individus vivant en altitude etaient génétiquement favorisés pour l'effort. tout comme tout les kenyans et ethiopiens ne le sont eux aussi. mais c'est dans ces contrées qu'ont a le plus de chance d'en rencontrer.
Citation
azzzozza a écrit:Citation
chti'sem a écrit:
Trois points de réponses importants pour poursuivre ce débat :
* Dire que c'est une théorie datant du XIXe siècle et que ça étonne que des gens s'interrogent "encore", il faut que tu saches que c'est un sujet d'actualité, la génétique des populations chez l'homme, depuis le séquençage du génome en entier, des études publiées récemment dans des revues prestigieuses montrent des différence génétiques entre des population (si le terme race vous dérange, ça n'a rien de raciste, ce terme est utilisé ici par convention pour définir des populations à caractéristiques globalement différentes et que la diversité au sein d'une même population (race) est bien évidente)
Citation
chti'sem a écrit:
En 2008, la revue Science a publié l'étude génomique la plus complète jamais effectuée. Cette étude compare 650 000 nucléotides chez 938 individus appartenant à 51 ethnies. Les nombreux généticiens qui ont participé à ce travail ont conclu de leurs travaux qu'il existait sept groupes biologiques parmi les hommes : les Africains subsahariens, les Européens, les habitants du Moyen-Orient, les Asiatiques de l'Est, les Asiatiques de l'Ouest, les Océaniens et les Indiens d'Amérique.
Plusieurs études génétiques récentes tendent à réfuter l’existence d’une « race européenne » aux contours bien précis. En effet, selon une étude de l'expert Chao Tian, en 2009, ayant calculé les distances génétiques (Fst) entre plusieurs populations en se basant sur l’ADN autosomal, les Européens du Sud tels que les Grecs et Italiens du Sud apparaissent soit à peu près autant distants des Arabes du Levant (Druzes, Palestiniens) que des Scandinaves et Russes, soit plus proches des premiers. Un Italien du Sud est ainsi génétiquement deux fois et demi plus proche d'un Palestinien que d'un Finlandais.
Feldman, Lewontin et King, résument ainsi la situation dans un article du magazine Nature, daté de 2003 :
« Contrairement à l'idée défendue depuis le milieu du XXe siècle, on peut définir scientifiquement des races dans l’espèce humaine. La connaissance du génome humain permet en effet de regrouper les personnes selon les zones géographiques d’où elles sont issues
Références bibliographiques :
Worldwide Human Relationships Inferred from Genome-Wide Patterns of Variation, Science, 28 février 2008
C.Tian et .al 2009, European Population Genetic Substructure: Further Definition of Ancestry Informative Markers for Distinguishing among Diverse European Ethnic Groups
Nelis et al. 2009, Genetic Structure of Europeans: A View from the North–East
* Les facteurs environnementaux influencent les gènes, une science en porte le nom l'épigénétique ( le domaine qui étudie comment l'environnement et l'histoire individuelle influent sur l'expression des gènes, et plus précisément l'ensemble des modifications transmissibles d'une génération à l'autre et réversibles de l'expression génique sans altération des séquences nucléotidiques)
Un exemple simple de l'influence de l'environnement sur les gènes : l'obésité, des études épidémiologiques chez l'homme, montrent que certaines influences de l'environnement (nourriture, perturbateurs endocriniens, toxiques, tabagisme...) subies par les générations antérieures pourraient également être véhiculées grâce à des marques épigénétiques non effacées d'une génération à l'autre et responsables d'effets transgénérationnels.
* Il existe bien des différences morphologiques globales entre différentes ethnies, a moins d'être aveugle et ne pas les voir...
les noirs ont plus de capacité respiratoire (La capacité vitale est le volume d'air maximal qui peut être inspiré et expiré (rejeté par les poumons) en une inspiration et une expiration maximales. La technique utilisée est le plus souvent la spirométrie qui consiste à enregistrer sur un spirographe les volumes d'air inspirés et expirés, puis à les traduire sous forme de graphique permettant le calcul des volumes. L'étude de la capacité vitale, simple et rapide, relève de la pratique courante. Les valeurs normales, comprises entre 3 et 5 litres environ chez l'adulte, varient selon l'origine ethnique, l'âge, le sexe, la taille et le poids. cf Larousse)
(Valeurs de références changent selon l’ethnie : Pour les Noirs africains, Indiens, Pakistanais et Polynésiens,
appliquer un facteur de correction de 0.9 à la valeur prédite du VEMS (volume air max inspiré par seconde) et de la CV(capacité vitale) cours 5eme année médecine spirométrie)
ps : les hommes ont plus de capacités respiratoires que les femmes car leur cage thoracique est plus large, le fait de dire ça fait de moi une sexiste??????
...
Si tu cites la revue Nature Merci d'étayer le débat et de ne pas rester sur des lieux communs.
Bien sûr qu'il y a des ethnies différentes avec des différences physiques, mais aujourd'hui tous les scientifiques biologistes ont abandonné la notion de race (mm ceux que tu cites) et s'accordent à dire que patrimoine génétique ne peut être dissocié de l'environnement social, que cette notion n'a aucune utilité, que des individus d'un mm groupe peuvent être plus éloignés les uns des autres que d'un autre groupe.
Au niveau biologique, cette notion n'a aucun intérêt. Nous partageons plus de 99% de notre patrimoine génétique avec les chimpanzés, et pourtant.....
Aujourd'hui, la communauté scientifique préfère la notion d'ethnie, plus juste puisqu'elle tient compte à la fois du patrimoine génétique et de l'environnement social.
Citation
chti'sem a écrit:Citation
azzzozza a écrit:Citation
chti'sem a écrit:
Trois points de réponses importants pour poursuivre ce débat :
* Dire que c'est une théorie datant du XIXe siècle et que ça étonne que des gens s'interrogent "encore", il faut que tu saches que c'est un sujet d'actualité, la génétique des populations chez l'homme, depuis le séquençage du génome en entier, des études publiées récemment dans des revues prestigieuses montrent des différence génétiques entre des population (si le terme race vous dérange, ça n'a rien de raciste, ce terme est utilisé ici par convention pour définir des populations à caractéristiques globalement différentes et que la diversité au sein d'une même population (race) est bien évidente)
Citation
chti'sem a écrit:
En 2008, la revue Science a publié l'étude génomique la plus complète jamais effectuée. Cette étude compare 650 000 nucléotides chez 938 individus appartenant à 51 ethnies. Les nombreux généticiens qui ont participé à ce travail ont conclu de leurs travaux qu'il existait sept groupes biologiques parmi les hommes : les Africains subsahariens, les Européens, les habitants du Moyen-Orient, les Asiatiques de l'Est, les Asiatiques de l'Ouest, les Océaniens et les Indiens d'Amérique.
Plusieurs études génétiques récentes tendent à réfuter l’existence d’une « race européenne » aux contours bien précis. En effet, selon une étude de l'expert Chao Tian, en 2009, ayant calculé les distances génétiques (Fst) entre plusieurs populations en se basant sur l’ADN autosomal, les Européens du Sud tels que les Grecs et Italiens du Sud apparaissent soit à peu près autant distants des Arabes du Levant (Druzes, Palestiniens) que des Scandinaves et Russes, soit plus proches des premiers. Un Italien du Sud est ainsi génétiquement deux fois et demi plus proche d'un Palestinien que d'un Finlandais.
Feldman, Lewontin et King, résument ainsi la situation dans un article du magazine Nature, daté de 2003 :
« Contrairement à l'idée défendue depuis le milieu du XXe siècle, on peut définir scientifiquement des races dans l’espèce humaine. La connaissance du génome humain permet en effet de regrouper les personnes selon les zones géographiques d’où elles sont issues
Références bibliographiques :
Worldwide Human Relationships Inferred from Genome-Wide Patterns of Variation, Science, 28 février 2008
C.Tian et .al 2009, European Population Genetic Substructure: Further Definition of Ancestry Informative Markers for Distinguishing among Diverse European Ethnic Groups
Nelis et al. 2009, Genetic Structure of Europeans: A View from the North–East
* Les facteurs environnementaux influencent les gènes, une science en porte le nom l'épigénétique ( le domaine qui étudie comment l'environnement et l'histoire individuelle influent sur l'expression des gènes, et plus précisément l'ensemble des modifications transmissibles d'une génération à l'autre et réversibles de l'expression génique sans altération des séquences nucléotidiques)
Un exemple simple de l'influence de l'environnement sur les gènes : l'obésité, des études épidémiologiques chez l'homme, montrent que certaines influences de l'environnement (nourriture, perturbateurs endocriniens, toxiques, tabagisme...) subies par les générations antérieures pourraient également être véhiculées grâce à des marques épigénétiques non effacées d'une génération à l'autre et responsables d'effets transgénérationnels.
* Il existe bien des différences morphologiques globales entre différentes ethnies, a moins d'être aveugle et ne pas les voir...
les noirs ont plus de capacité respiratoire (La capacité vitale est le volume d'air maximal qui peut être inspiré et expiré (rejeté par les poumons) en une inspiration et une expiration maximales. La technique utilisée est le plus souvent la spirométrie qui consiste à enregistrer sur un spirographe les volumes d'air inspirés et expirés, puis à les traduire sous forme de graphique permettant le calcul des volumes. L'étude de la capacité vitale, simple et rapide, relève de la pratique courante. Les valeurs normales, comprises entre 3 et 5 litres environ chez l'adulte, varient selon l'origine ethnique, l'âge, le sexe, la taille et le poids. cf Larousse)
(Valeurs de références changent selon l’ethnie : Pour les Noirs africains, Indiens, Pakistanais et Polynésiens,
appliquer un facteur de correction de 0.9 à la valeur prédite du VEMS (volume air max inspiré par seconde) et de la CV(capacité vitale) cours 5eme année médecine spirométrie)
ps : les hommes ont plus de capacités respiratoires que les femmes car leur cage thoracique est plus large, le fait de dire ça fait de moi une sexiste??????
...
Si tu cites la revue Nature Merci d'étayer le débat et de ne pas rester sur des lieux communs.
Bien sûr qu'il y a des ethnies différentes avec des différences physiques, mais aujourd'hui tous les scientifiques biologistes ont abandonné la notion de race (mm ceux que tu cites) et s'accordent à dire que patrimoine génétique ne peut être dissocié de l'environnement social, que cette notion n'a aucune utilité, que des individus d'un mm groupe peuvent être plus éloignés les uns des autres que d'un autre groupe.
Au niveau biologique, cette notion n'a aucun intérêt. Nous partageons plus de 99% de notre patrimoine génétique avec les chimpanzés, et pourtant.....
Aujourd'hui, la communauté scientifique préfère la notion d'ethnie, plus juste puisqu'elle tient compte à la fois du patrimoine génétique et de l'environnement social.
Étayer le débat, je pense que c'est ce que nous faisons dans ces trois pages...
Le seul souci est que qlq'uns restent bloquer sur le mot "race" et on dirait que vous avez des œillères et vous êtes incapables d'avancer dans le raisonnement, sur le fond nos avis ne sont pas très différents, on tourne en rond à dire la même chose...
Citation
azzzozza a écrit:
On ne reste pas bloqué dessus, seulement c'est un mot qui est très connoté historiquement et dangereux à employer et c'est toujours le cas. Mm si biologiquement, il reste neutre, ce n'est pas le cas sociologiquement ; d'autant qu'aujourd'hui la communauté scientifique ne l'emploie pas.
Ensuite, je ne suis pas sûre qu'ici tout le monde poursuive le mm but avec l'emploi de ce mot et de cette notion. Il faut être très prudent.
Citation
azzzozza a écrit:
Bon, le créationnisme maintenant. De mieux en mieux....
Bon excusez-moi, mais là je sors de ce débat, je crois que son intérêt n'est pas le mien. Bon débat qd mm.
Citation
Rastapopûlos a écrit:
Parmi les explications que j'ai eu l'occasion de lire sur la supériorité intellectuelle des Juifs, voici les principales :
-Les Juifs ont un long passé de persécutions : groupe ethnique le plus honni de l'histoire de l'humanité, ils ont été persécutés par Nabuchodonosor en Irak, par les Perses, par les Romains, par les Chrétiens en Espagne (alors qu'en Andalousie, on accueillait tout le monde), et enfin, par les Occidentaux en Europe de l'Ouest. Ils ont donc du développer quelques dispositions pour pouvoir survivre et échapper aux persécutions : seuls les plus intelligents pouvaient survivre.
Les Juifs trop faibles ont changé de Religion. Il y a donc eu une sélection naturelle et seuls les Juifs les plus instruits ont survécu.
-Lors de la déportations des Juifs de Jérusalem par Nabuchodonosor, les chroniques (la Bible je crois) rapportent que n'ont été emmenés que les combattants hommes, les artisans, les prêtres et plus globalement, l'élite du peuple Juif. Les classes inférieures sont restées en Palestine et se sont assimilées aux autres Religions. Lorsque les exilés sont revenus, ils ont reformé une nouvelle communauté Juive, à partir de l'élite.
-Beaucoup de métiers leurs furent interdits pendant les périodes de persécution. De plus, l'Église Catholique interdisait à ses fidèles la pratique des métiers d'argent ainsi que du commerce. Les Juifs ont donc de tous temps pratiqué des métiers nécessitant des dispositions intellectuelles élevées.
-Les Juifs ont très tôt renoncé à l'agriculture, même dans l'antiquité. Ils se sont tournés vers d'autres métiers, plus urbains. Or, la survie en milieu urbain nécessite plus de facultés intellectuelles (pour pouvoir exercer certains métiers).
-La Religion Juive peut-elle même avoir eu un impact : le Torah est un livre complexe, très littéraire, poétique et profond. Le Talmud (commentaires de la Torah) est quant à lui compliqué et nécessite de bonnes facultés de raisonnement. Or, les Juifs ont de tous temps été assidus à la lecture et à l'apprentissage de leurs textes, ce qui a pu faire naitre chez eux quelques dispositions intellectuelles.
-L'Endogamie (mariage au sein du groupe) a fait se reproduire les élites. Les Juifs cherchaient à marier leurs enfants à des filles de savants ou à des savants. Il n'y a pas eu de mélange aussi poussé avec les autres ethnies.
Mais ce ne sont là que des hypothèses.
Citation
azzzozza a écrit:
Bon, le créationnisme maintenant. De mieux en mieux....
Bon excusez-moi, mais là je sors de ce débat, je crois que son intérêt n'est pas le mien. Bon débat qd mm.