Citation
imtiyaz a écrit:
.
Pour toi oui, pour les autres NON
Puisque tu es un musulman vrai de vrai, Tu penses à aider les associations des petits abandonnés par les filles musulmanes célibataires ?
Et l'avenir de ces enfants qu'on appelle depuis leurs naissance "Ould lahram" ?
Ça serait pas plus facile d'avorter des le premier mois de grossesse ?
Il ne faut pas me dire que les rapports sexuels ne se font qu'aprés le mariage
Il n'existe aucun musulman sur la terre qui a attendu d'être marié pour avoir un ace sexuel.
Faites ce que je vous dis et non pas ce que je fais.
.
.
Citation
Ndia a écrit:
Il n'existe aucun musulman sur la terre qui a attendu d'être marié pour avoir un ace sexuel.
Sans rentrer dans ce débat, ta phrase m'a fait tiquer.
Donc aucun musulman n'êtes vierge au mariage
Heu, faut arrêter de délirer.
Et saches que pour ta gouverne même des non musulmans, des chrétiens, des juifs, des athées qui sont vierges au mariage
Citation
imtiyaz a écrit:
.
J'ai vécu au Maroc de 0 an à 18 ans. Je peux te confirmer qu'aucun marocain ne reste "vierge" jusqu'à l'age de 20 ans sauf quelques exceptions maladie etc. et j'ai quitté le Maroc en 1972 et à cette époque il n' y avait pas l'achalandage d'aujourd'hui.
En Europe c'est possible pour les frustrés, handicapés, isolés, complexés qui n'arrivent pas à aborder une fille.
.
Citation
Ndia a écrit:
Bah on a trouvé le premier homme sur terre qui connait toute la population de son pays en toute intimité.
Tu devrais t'inscrire au Guinness des records
Citation
imtiyaz a écrit:
.
Si tu as quelque chose d'important à nous apprendre OK
Sinon. le langage des quartiers n'a pas sa place ici.
Ce forum n'est pas un combat sur le ring
.
.
Pour Smahane, le calvaire a commencé il y a bien longtemps. Originaire d’un douar (petit village) pauvre de la campagne marocaine, elle est employée comme femme de ménage à l’âge de 6 ans dans une famille de Beni Mellal, au nord-est de Marrakech. « Chaque fois que je faisais mal la vaisselle ou que le lavabo ne brillait pas assez, ma patronne me tabassait. » A seulement 20 ans, son visage strié de petites cicatrices est déjà abîmé par une vie en mille morceaux. Ses mains minuscules, qui ont longtemps servi à « frotter les escaliers à l’acide », ont gardé les traces du travail acharné. Seuls ses yeux en amande trahissent sa jeunesse sacrifiée. A 14 ans, l’adolescente parvient à s’échapper et rentre chez elle. « Je n’ai pas reconnu mes frères et sœurs, continue-t-elle dans un sanglot. Je n’ai pas eu d’enfance. Je ne suis pas allée à l’école et je suis incapable de lire ne serait-ce qu’une pancarte dans la rue. » A peine est-elle de retour que son père menace de l’« égorger » si elle ne repart pas travailler. Comme beaucoup de jeunes filles privées d’instruction, Smahane décide de se rendre à Casablanca, la capitale économique, pour chercher du travail comme femme de ménage. « Mon employeur a essayé de me violer, alors je me suis enfuie. Je n’avais pas d’argent car j’envoie tout ce que je gagne à mes parents. » Livrée à elle-même dans une ville de 5 millions d’habitants, elle rencontre, après des semaines passées « à dormir dans les cages d’escalier », un homme qui promet de l’aider. « Au début, il était gentil. Il m’hébergeait gratuitement et se comportait comme un père. Un jour, il est rentré saoul et m’a violée. » Les violences sexuelles se poursuivent jusqu’au jour où elle lui annonce la nouvelle : « Quand je lui ai dit que j’attendais un enfant, il a déménagé et changé de numéro », se souvient la jeune femme. « Au bout du septième mois, j’ai décidé de nous empoisonner, le bébé et moi, avec de l’arsenic. » Ses yeux gonflés de chagrin s’assombrissent davantage. « Toute ma vie, les portes se sont fermées les unes après les autres. Je ne voulais pas lui faire subir ça », dit-elle en jetant un regard navré sur le petit Yassir."