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plume rose a écrit:
Esselamu عaleykum,
J'espère que vous allez bien
Alors mes questions concernent les sourates lu pendant les prières.
▪︎ Doit on absolument lire les sourates dans l'ordre ?
Si je suis à Kafirun dans le prochain kiyam puis-je retourner à Asr par exemple ?
▪︎Le nombre de versets d'une sourate doit elle être plus dans le premiers kiyam que dans le deuxième ?
Si je lis la sourate tekasur dans le premier kiyam dans le suivant puis je lire la sourate Tin ou Asr+Humeze ?
▪︎Puis je enchaîner plusieurs sourates lune après l'autre dans un même kiyam ou avons nous une durée ?
>> Ya til une différence entre les réponses pour les prières obligatoire et celles surrerogatoire ?
>> Est-ce que les réponses pourraient varier par rapport aux écoles juridiques ?
Baarak Allahu fik par avance pour vos réponses ???
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Bim Bam Booom a écrit:
Wa 3alayk as salam
Al HamduliLlah rien n’a été imposé concernant la récitation, sauf de ne pas s’arrêter au milieu d’un verset (exception faite a l´oubli). Donc tu as le choix quelque soit la prière.
Mais ce qui est recommandé par la Sunna est de réciter tes sourates/versets dans l’ordre :
par exemple Ayat Al Kursi puis Al Asr ou alors Kafiroun puis Al Ikhlas comme pour fajr a titre d’exemple
Et faire en sorte que ce que tu récites à la première unité de prière soit plus long en nombre de versets qu’a la 2e rak3a
par exemples : les 5 premiers verset de Al Baqara dans la 1re rak3a et les deux derniers versets de Al Baqara pour la 2e ; ou encore Sourate Rahman et après sourate Mulk)
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stinky is back!! a écrit:
Assalam aleiki
C'est une sounnah de lire les sourates dans l'ordre mais pas une obligation.
Idem pour les versets d'une même sourate.
Tu peux lire plus, à égalité ou moins dans la 1ere rak'at ou la 2 eme. Il n'y a pas de règle obligatoire.
Il faut juste ne pas s'arrêter au milieu d'un verset sauf si tu as un trou de mémoire
La règle générale est que tu lis ce que tu peux...
Tu peux lire la même sourate pendant tes 11 rak'ats du qiyam, aucun mal à ça...
Pareil pour la salat obligatoire, possibilité de lire la même sourate dans les 2 rak'ats.
Les choses nous ont été rendus facile...
A bientôt incha allah
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nanasotto a écrit:
D'après Hudhayfa (radhiallâhu 'anhu) il dit :
« J'ai prié au cours d'une nuit avec le Prophète (sallallahu 'alayhi wa sallam) et il commença la sourate de la vache [al-Baqarah] et je me suis dit : il s'arrêtera au 100ième verset, mais il le dépassa et je me suis dit encore : peut-être qu'il va réciter toute la sourate au cours d'une rak'ah. Mais il poursuivit sa lecture et commença la sourate des femmes [an-Nissâ] et la récita puis récita celle d'Al-'Imrân. »
Rapporté par Muslim
L'Imâm An-Nawawî (rahimahullâh) a dit [dans son commentaire] :
Al-Qâdhî 'Iyâdh a dit : le hadith est une preuve [Dalîl] pour celui qui soutient que l'ordre de succession des sourates repose sur un effort d'interprétation [Ijtihâd] des musulmans qui ont rassemblé le Qor'ân, et qu'aucun classement n'avait été établi par le Prophète (sallallahu 'alayhi wa sallam).
Bien au contraire, il en laissa le soin à la Communauté après lui.
Il dit : C'est l'opinion de Mâlik et de la majorité des savants [Djoumhoûr al-'Ulémâ].
C'est aussi le point de vue du Qâdhî Abû Bakr al-Bâqilânî.
Ibn al-Bâqilânî dit : c'est l'avis le plus juste de deux avis tous plausibles.
Il dit : Nous disons que le classement des sourates - tel qu'il figure actuellement - n'est pas obligatoire ni dans l'écriture, ni dans la prière, ni dans l'enseignement, ni dans l'initiation et l'apprentissage et qu'il n'y a aucun texte du Prophète interdisant son non respect, rien qui ne contredise cela.
C'est pourquoi le classement adopté dans les exemplaires du Qor'ân antérieurs à celui de 'Uthmân est différent.
Il dit encore : Le Prophète (sallallahu 'alayhi wa sallam) et les membres de la Communauté venus à travers les siècles se sont permis de ne pas respecter l'ordre de succession des sourates dans la prière, l'enseignement et l'initiation.
Il ajoute [Al-Qâdhî 'Iyâdh] : quant aux savants qui soutiennent que le classement a fait l'objet d'une prescription du Prophète (sallallahu 'alayhi wa sallam) qu'il a fixée selon la disposition de l'exemplaire de 'Uthmân, et que les différences constatées sur le sujet avaient eu lieu avant que les gens n'aient appris la décision portant sur la disposition définitive.
Ceux-là interprètent la récitation par le Prophète (sallallahu 'alayhi wa sallam) de la sourate « Les femmes » [an-Nissâ] avant la sourate « Al-'Imrân » en affirmant que cela s'était passé avant l'établissement du classement définitif des sourates, quand les deux sourates se présentaient dans l'ordre suivi par le Prophète (sallallahu 'alayhi wa sallam) selon l'exemplaire de Oubay.
Il dit encore : Il n'y a aucune divergence sur le fait qu'il est permis au prieur de réciter dans la deuxième rak'ah une sourate qui précède celle lue dans la première rak'ah.
Mais cette pratique reste réprouvée [Makroûh] dans la même rak'ah et pour celui qui récite en dehors de la prière.
Cependant d'autres l'acceptent - dit-il.
L'interdiction de l'inversion du Qor'ân émise par les anciens [as-Salafs] est interprétée en disant qu'elle s'applique à la pratique qui consiste à réciter une sourate en allant de la fin au début.
Il ajoute ensuite : Il n'y a aucune divergence sur le fait, l'ordre de succession des versets de chaque sourate a été arrêté par Allâh - Ta'âla - dans son état actuel qui figure dans le Qor'ân et tel que rapporté par la Communauté de son Prophète (sallallahu 'alayhi wa sallam).
C'est ici que se terminent les propos de al-Qâdhî 'Iyâdh - et Allâh Seul Sait.
Charh an-Nawawî 'ala Sahîh Muslim, vol-3 p.298-299
La prière de Tahaj-jud consiste en huit Rak’at. Le Messager d’Allah, que la paix et les bénédictions d’Allah soient avec lui, observait toujours cette prière, la divisant en quatre unités de deux Rak’at. Il récitait de longs passages du Saint Coran dans la position de Qiyam et prolongeait ses Rukû’ et ses Sujud, en y faisant de longues supplications. Ses prières de Tahaj-jud étaient toujours suivies de trois Rak’ât de Witr. Par conséquent, il faisait onze Rak’ât chaque nuit avant l’aube
La définition de la prière surérogatoire
La prière surérogatoire
La prière légiférée qui n’est pas obligatoire.
Les vertus de la prière surérogatoire
1- La prière surérogatoire est une des raisons qui conduit à ce qu’Allah aime Son serviteur. En effet, il a été rapporté, dans le hadith divin qu’Allah, Exalté Soit-Il, a dit: “Et Mon serviteur ne cesse de se rapprocher de Moi par les actes d’adoration surérogatoires, jusqu’à ce que Je l’aime, et si Je l’aime, alors Je serais son ouïe, avec laquelle il entend, sa vue, avec laquelle il voit, sa main, avec laquelle il frappe, son pied, avec lequel il marche, et s’il Me demande, Je lui donnerai, et s’il prends refuge auprès de Moi, Je le protégerai” [ Rapporté par Al Boukhari].
2- La prière surérogatoire compens
Donc obligatoire et non obligatoire
Et dernière question oui les reponses sur certains sujet de jurisprudence font des divergences pour les écoles comme par exemple les crustacés sont il halal ou harlam.
?? Citation
plume rose a écrit:
Machaa Allah tu connais la sourate Ar Rahman et Al Mulk par cœur ? ?
Mon plus grand souhait avant de mourir c'est de connaitre le Kuran par coeur bi idnillah ??
Je te remercie pour ta réponse baarak Allahu Fik
Citation
nanasotto a écrit:
Pour la différence entre 5prieres elle sont obligatoires et fonctionne par 2rakats,4ou 8rakats la surogatoire n'est pas obligatoire et elle est composée de 12ou11rakats
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