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Yassine.Boubou a écrit:
Salam alaykoum,
Que pensez-vous du cas suivant :
Une personne d'origine maghrébine (qui parle arabe depuis longtemps, le dialecte) mais qui a du mal avec le r roulé.
Chaque prière durent environ 30 minutes (si on exclut celle de 2 raakats).
Elle ne dure pas autant que la personne prononce des sourates longues mais plutôt parce quelle s'efforce durant la priere à bien prononcer. Pour cela a des qu'il faut prononcer un r roulé (la fatiha, takbir, paroles lors prosternation et inclinaison) elle fait le processus suivant :
- Elle cherche et touche avec sa langue la crete alvéolaire (le palais juste au dessus des dents)
- Elle décolle un petit peu sa langue sans décaler à droite à gauche en haut en bas.
- Elle essaye de souffler pour faire vibrer.
Ce processus peut-être répéter si :
- ça n'a pas vibré,
- au moment de décoller la langue la langue n'est pas rester face à la crete alvéolaire
- j'ai mal placé ma langue
Et cela énerve la personne, vraiment lors de la priere et elle est peu (voir quasiment pas ou pas du tout) enthousiaste à aller faire la priere quand c'est l'heure.
Vous me direz que Dieu n'impose à personne une charte supérieure à sa capacité (je lai peut-être pas dis correctement)... mais cette personne crois que cette charge de bien prononcer le r roule est dans sa capacité vu quelle y arrive (péniblement des fois).
Et cette personne "a le temps" pour durer autant dans la priere en ce moment...
Cette personne doit elle continuer ainsi jusqua maîtriser la prononciation ?
Doit elle recommencer lorsqu'elle prononce mal un r roulé sachant qu'en renommant elle peut réussir (ou pas), du moins c'est dans ses capacités?
Si possible délivrez moi des sources svp.
Merci d'avance
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