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.Reset. a écrit:
Le premier touche à peine au dessus du smic mais compte donner 1000e à sa femme tout les mois?
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romance31 a écrit:
Salam Reset,
Non le 1er il veut une femme qui habite chez lui et qui donne 1000e par mois et à côté il dut elle ne payera ni loyerni factures, ni courses et qu' il gérera tout....
Bonne journée.
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.Reset. a écrit:
Si elle donne 1000e par mois,ça veut plutôt dire que c'est elle qui paie tout là.
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stinky2 a écrit:
La vente mourabaha est considéré comme de l'intérêt déguisé par beaucoup de savants.
Perso je m'y risquerai pas.
Wallahou a'lam
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zenith182 a écrit:
Tu as des sources? C'est qui ces savants?
Vu le niveau requis en finance et en sciences islamique, c'est pas l'imam de la mosquée de quartier qu'il faut écouter pour un avis sur la mourabaha.
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stinky2 a écrit:
Concernant l’emprunt des banques islamiques
Question :
Qu’avez-vous conclu au sujet de la banque El-Baraka ? Peut-on recommander les services de cette banque à celui qui est en cas de besoin pressant, sachant qu’il recourra certainement aux autres banques ?
Fatwa n° : 465
Catégorie : Fatwas relatives aux ventes et aux transactions financières
Concernant l’emprunt des banques islamiques
Question :
Qu’avez-vous conclu au sujet de la banque El-Baraka ? Peut-on recommander les services de cette banque à celui qui est en cas de besoin pressant, sachant qu’il recourra certainement aux autres banques ?
Réponse :
Louange à Allah, Maître des Mondes ; et paix et salut sur celui qu’Allah a envoyé en miséricorde pour le monde entier, ainsi que sur sa Famille, ses Compagnons et ses Frères jusqu’au Jour de la Résurrection. Ceci dit :
Les noms et les appellations attribués aux banques ne correspondent pas forcément à ce qu’ils qualifient ; car, ce qui importe c’est l’essence du nom et non pas le nom lui-même.
Actuellement, les banques islamiques ne diffèrent point, dans leurs fonds, des banques d’usure. Essayant d’employer la ruse à l’égard de la charia. Ces banques islamiques utilisent ce qu’on appelle la vente El-Mourâbaha (à profit)(1), qui est en réalité un prêt usuraire caché sous le nom de « vente », de façon que la banque procède à l’achat d’une marchandise dont elle n’a ni la possession ni le besoin, à l’intention du commerçant. Le profit de la banque dans cette affaire consiste uniquement à réaliser un taux de gain ; de cette façon, elle aura pour but de conclure avec le commerçant une vente qui n’existe pas en réalité et qui n’est qu’un acte imaginaire dont le prêt usuraire, jugé illicite selon les textes d’avertissement Wa`îd, est couvert sous le nom de « vente ». Il est cité dans le hadith :"Ma nation connaîtra une ère où elle fera de l’usure une chose licite par l’intermédiaire de la vente"(2).
Sur ce, s’il advient que la banque El-Baraka procède vraiment à cette transaction usuraire, alors il ne sera en aucune façon permis d’orienter les gens vers elle, que l’usure soit apparente dans la transaction ou cachée et que nous soyons au courant que celui qui pose la question recourra à d’autres banques ou non, vu la grave interdiction qu’inclut cette transaction, qu’est la guerre menée par Allah et Son Messager. Aussi, le fait d’orienter autrui vers les mauvaises œuvres et la désobéissance est, certes, une entraide dans le péché et la transgression.
En cas d’une personne contrainte et qui n’a point de solution que la voie des banques, alors celle-ci doive être informée du jugement relatif à l’urgence ou à l’extrême besoin, tout en la laissant juger elle-même son cas d’urgence ou de besoin selon sa foi.
Le savoir parfait appartient à Allah سبحانه وتعالى, et notre dernière invocation est qu’Allah, Seigneur des Mondes, soit Loué et que prière et salut soient sur notre Prophète, ainsi que sur sa Famille, ses Compagnons et ses Frères jusqu’au Jour de la Résurrection.
Alger, le 23 de Djoumâda Al-Oûlâ 1427 H,
correspondant au 19 juin 2006 G
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zenith182 a écrit:
La finance islamique a fait des progrès depuis 2006.
Et puis le principal argument utilisé n'est pas valide aujourd'hui en France (peut être différent à l'époque): il y deux actes de vente, 2x les frais de notaires et la banque possède réellement le bien à un certain moment lors d'une mourabaha.