On ne peut plus continuer à se taire face aux enjeux qui ensanglantent le Proche-Orient et en particulier la Syrie. Depuis deux ans que les troubles ont commencé en ce pays, il suffit de téléphoner à des Syriens ou en interroger en France. pour se rendre compte immédiatement que la couverture médiatique des événements est complètement et systématiquement faussée. En décembre 2011 déjà, à l’Ambassade de France en Israël, des journalistes bien en cour affirmaient sans pudeur qu’aucune liberté d’expression ne peut exister en France dès que la politique étrangère est impliquée : « Soit on est aux ordres, soit on change de département ». Aux ordres de qui ?a vous le micro