Cette décision catastrophe, combinée avec l’autre aberration cette semaine de « l’élection » du chef de la Commission de la justice de la législation et des droits de l’homme au parlement, sont des coup durs pour la transition démocratique.
On n’est certainement pas une dictature, mais si les marocains laissent passer ce genre de régressions, nous risquons de nous éloigner de l’état « en transition vers la démocratie ».
J'ai cru voir un commentaire passer ici, mais supprimé visiblement par la modération !! Je mets quand même ce lien pour aider son auteur à comprendre de quoi je parle précisément: