Dans des ports de brigands J ‘aime accoster Ces lieux infâmes ont le relent D’une vraie liberté Que le vent marin chante
Auprès de jeunes vieilles débauchées Arbres touchés par la foudre Qui comme d’anciennes tranchées Sentent encore la poudre Je sens un désir qui monte
Dans la sueur des corps D’une taverne sordide L’alcool est plus fort Le cœur jette la bride Dehors , il pleut, il vente
Un lit de fer j’entend Qui grince comme une vieille Qui a la rage aux dents Je sens soudain une vive plaie Que ne guérira qu’une amante
la chavirante poésie n’est pas dans la voie bien tracée mais dans l’hérésie celle qui est, folle , mal placée et pour les bonnes gens choquante
Les bonnes gens qui vivent calmement La vie, à leurs yeux la vraie Et qui meurent toujours bien sagement Eh bien, je leur ricane au nez En bon bandit du port où il vente
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Mme Romantik
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L'amitié est une religion sans Dieu ni jugement dernier. Sans diable non plus. Une religion qui n'est pas étrangère à l'amour. Mais un amour où la guerre et la haine sont proscrites, où le silence est possible.
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Mme Romantik
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L'amitié est une religion sans Dieu ni jugement dernier. Sans diable non plus. Une religion qui n'est pas étrangère à l'amour. Mais un amour où la guerre et la haine sont proscrites, où le silence est possible.
bizarre à part qu'il s'agit aussi d'un port ici je n'ai pas vu la ressemblance!! comme quoi!! port d'amsterdam c'est l'histoire de marins qui chantent dorment meurent naissent mangent dansent boivent reboivent et pissent sur les femmes infidéles
je suis sûr que Brel a voulu décrire la vie de brutes dans ttes leurs activités et ménageant la chute pour tomber comme d'habitude sur les femmes