En m'offrant ainsi ton coeur, Tu m'as fait découvrir un pur bonheur Il était tout au fond de moi Il fallait simplement une personne comme toi
Une personne douce, tendre et patiente Afin que je permette à mon coeur De se laisser envahir par cette douce torpeur
Même si celle-ci est parfois inquiétante La plupart du temps cela se passe bien Amour fidéle et Amour partagé Voilà ce que signifient nos liens
Nous ne sommes plus des étrangers Tu m'es apparu comme un ange Ta douceur m'a d'abord paru étrange Je voulais m'en protéger
Afin que rien ne vienne me perturber Depuis peu j'ai remarqué Qu'en réalité Tu comptais énormément pour moi
La vie sans toi ? Elle me parait bien désagréable J'apprécie chacun de nos moments ensemble Tu es l'ange gardien de mon coeur Je te l'offre sans aucune peur ...
Tel un ange dans la nuit, J'aimerais que tu guides ma vie Il est encore tôt pour avouer Tout l'effet que tu produis sur moi Cependant, sans jamais t'avoir rencontré, Je pense sans cesse à toi.
J'ai essayé de me raisonner et tenté de t'oublier Mais rien n'y fait ! Ne dit on pas "Vouloir oublier quelqu'un c'est y penser Davantage " ? A ma grande surprise je ne peux que confirmer.
J'ai peur de moi, peur de toi, Depuis quelque temps déjà, Je pense bien trop souvent à toi De façon inavouable...
Pardonne la faiblesse de mon coeur Il a été si souvent meurtri Qu'il ne sait plus comment agir Pour avoir droit au bonheur...
Si tu décides de me faire confiance, Et de me donner une chance Je te promets une histoire différente des autres
Mon coeur est une fontaine d'amour Accorde-toi un moment de bonheur Bichonne sans tarder mon coeur Il a trop souvent manqué d'amour Empêche nos deux âmes de s'effondrer Et navigue le long de mon coeur brisé
Surtout ne me laisses pas tomber Oublies tes peurs et préjugés Laisse-toi aller Et découvre l'immensité de ma fontaine d'amour Elle t'aimera sans détour ... Viens , n'aies pas peur Il n'y aura que toi dans mon coeur Lorsque tu en auras fait le tour Alors, l'amour inondera ta vie ...
Abdellatif d'Occident a écrit: ------------------------------------------------------- > Les poèmes que tu postes sont également autant > chargés d'émotion et il font vibrer. Merci à toi > aussi pour ces efforts. Quand à moi je > n'interviendrai que de temps en temps puisque je > ne peux écrire que ce que je ressens.
c'est se qui fait tout le charme de tes poems abdellatif
Ma tendresse enfouie au fond de mon coeur S'est réveillée soudain depuis qu'elle te connaît J'éprouve de merveilleux frissons à mon plus grand bonheur Je ne rêve que de t'aimer
C'est vrai que ça parait énorme on ne se connaît que depuis peu Seulement voilà tu as pris mon coeur en otage sans le vouloir Et je n'ose plus croire En ce feu qui brûle en moi, ce feu merveilleux
Qui me fait frissonner au son de ta voix Qui me fait sans cesse penser à toi Que j'aime entretenir afin qu'il ne s'éteigne pas Et surtout qui m'entraîne dans un tourbillon de rêve et personne ne m'en délivrera
Je n'ose pas résister je me laisse entraîner C'est si bon si doux si merveilleux Mais la possibilité de mourir dans ce cyclone d'amour me tétanise Mais je tente de ne plus y penser de vivre libérée de secrets
Ce cyclone est magique être à l'intérieur C'est comme vivre dans un rêve te voir là à côté de moi Je te vois m'embrasser, me caresser faire plus qu'un avec toi... Mon coeur bat la chamade je suis aussi fragile qu'une fleur.
Mais entre tes bras je sens que jamais rien ne m'arrivera !! J'suis si bien. Le cyclone soudain ralentit Le vent se calme et j'ouvre les yeux tu es à côté de moi Et tendrement tu me souris.
Tu murmures tendrement à mon oreille des mots qui font accélérer mon coeur Maintenant sans peur Je me love dans tes bras Je t'aime... est la seule phrase que je puisse murmurer avant de m'endormir tout contre toi.
Tu étais tout pour moi, Je t’aimais comme je n’ai jamais aimé Mais tu m’as quittée Maintenant que je reviens vers toi Comme un oiseau vers son nid Tu me rejettes... On s’était choisi pour la vie, On s’est aimé et aujourd’hui, une détresse Profonde se lit dans mon cœur... Oh ! Mon chéri je t’aime tant ! Mais là, ce soir doucement, Je pleure. Je pleure d’avoir perdu L’homme que j’aimais J’aurais voulu être avec toi pour l’éternité Mais l’amour qui te brûlait autrefois s’es tu... Tu ne m’aimes plus... Moi j’ai du mal à le croire Et, seule dans le noir, Je repense à nous deux, A tous les souvenirs qu’on a partagés Et j’aimerais que l’amour que j’éprouve soit contagieux Pour qu’enfin tu réalises que tu m’as aimée, que tu m’aimes et que tu m’aimeras Tu comptes tellement pour moi ! Comprendras tu que je suis sincère Quand je te dis que je t’aime...
Ne me quitte pas Il faut oublier Tout peut s'oublier Qui s'enfuit déjà Oublier le temps Des malentendus Et le temps perdu A savoir comment Oublier ces heures Qui tuaient parfois A coups de pourquoi Le coeur du bonheur Ne me quitte pas Ne ma quitte pas Ne ma quitte pas Ne me quitte pas
Moi je t'offrirai Des perles de pluie Venues de pays Où il ne pleut pas Je creuserai la terre Jusqu'après ma mort Pour couvrir ton corps D'or et de lumière Je ferai un domaine Où l'amour sera roi Où l'amour sera loi Où tu seras reine Ne me quitte pas Ne me quitte pas Ne me quitte pas Ne me quitte pas
Ne me quitte pas Je t'nventerai Des mots insensés Que tu comprendras Je te parlerai De ces amants-là Qui ont vu deux fois Leurs coeurs s'embraser Je te raconterai l'histoire de ce roi Mort de n'avoir pas Pu te rencontrer Ne me quitte pas Ne me quitte pas Ne me quitte pas Ne me quitte pas
On a vu souvent Rejaillir le feu D'un ancien volcan Qu'on croyait trop vieux Il est paraît-il Des terres brûlées Donnant plus de blé Qu'un meilleur avril Et quand vient le soir Pour qu'un ciel flamboie Le rouge et le noir Ne s'épousent-ils pas
Ne me quitte pas Ne me quitte pas Ne me quitte pas Ne me quitte pas
Ne me quitte pas Je ne vais plus pleurer Je ne veux plus parler Je me cacherai là A te regarder Danser et sourire Et à t'écouter Chanter et puis rire Laisse-moi devenir L'ombre de ton ombre L'ombre de ta main l'ombre de ton chien même Ne me quitte pas Ne me quitte pas Ne me quitte pas Ne me quitte pas.
Quand on n'a que l'amour A s'offrir en partage Au jour du grand voyage Qu'est notre grand amour Quand on n'a que l'amour Mon amour toi et moi Pour qu'éclatent de joie Chaque heure et chaque jour Quand on n'a que l'amour Pour vivre nos promesses Sans nulle autre richesse Que d'y croire toujours Quand on n'a que l'amour Pour meubler de merveilles Et couvrir de soleil La laideur des faubourgs Quand on n'a que l'amour Pour unique raison Pour unique chanson Et unique secours
Quand on n'a que l'amour Pour habiller matin Pauvres et malandrins De manteaux de velours Quand on n'a que l'amour A offrir en prière Pour les maux de la terre En simple troubadour Quand on n'a que l'amour A offrir à ceux-là Dont l'unique combat Est de chercher le jour Quand on n'a que l'amour Pour tracer un chemin Et forcer le destin A chaque carrefour Quand on n'a que l'amour Pour parler aux canons Et rien qu'une chanson Pour convaincre un tambour
Alors sans avoir rien Que la force d'aimer Nous aurons dans nos mains Amis le monde entier.
Abdellatif d'Occident a écrit: ------------------------------------------------------- > Quand on a que l'amour > > > Quand on n'a que l'amour > A s'offrir en partage > Au jour du grand voyage > Qu'est notre grand amour > Quand on n'a que l'amour > Mon amour toi et moi > Pour qu'éclatent de joie > Chaque heure et chaque jour > Quand on n'a que l'amour > Pour vivre nos promesses > Sans nulle autre richesse > Que d'y croire toujours > Quand on n'a que l'amour > Pour meubler de merveilles > Et couvrir de soleil > La laideur des faubourgs > Quand on n'a que l'amour > Pour unique raison > Pour unique chanson > Et unique secours > > Quand on n'a que l'amour > Pour habiller matin > Pauvres et malandrins > De manteaux de velours > Quand on n'a que l'amour > A offrir en prière > Pour les maux de la terre > En simple troubadour > Quand on n'a que l'amour > A offrir à ceux-là > Dont l'unique combat > Est de chercher le jour > Quand on n'a que l'amour > Pour tracer un chemin > Et forcer le destin > A chaque carrefour > Quand on n'a que l'amour > Pour parler aux canons > Et rien qu'une chanson > Pour convaincre un tambour > > Alors sans avoir rien > Que la force d'aimer > Nous aurons dans nos mains > Amis le monde entier. > > J. Brel, 1956. >
Par delà les mots qui ont si souvent ricoché Sur mon cœur au rythme endiablé D’une encre qui se faufile telle une rivière Implorant chaque détour de ligne d’une prière Inavouée, désabusée, espérée Brûlant mes veines d’un feu à peine déclaré Que même le silence n’arrive pas à taire Y creusant les sillons d’un éternel mystère
Aujourd’hui je sais Qu’être ne se conjugue pas à l’imparfait Que seul compte le présent Que devenir n’est qu’une question de temps
Sur mes lèvres se dessine brièvement L’aurore de mes sourires naissants Dévoilant à vos regards l’illusion éphémère De ce que je suis, sans être chimère Sans tricher, sans faux semblants Je m’expose impunément à tous les vents Fragile, fébrile, mais entière De ces sentiments que j’éprouvais encore naguère
Aujourd’hui je sais Qu’être ne se conjugue pas à l’imparfait Que seul compte le présent Que devenir n’est qu’une question de temps
Au-delà du silence que je devine Et qui à mon cœur tant de choses serine De l’inconscience à l’évidence De n’être bien souvent que simple apparence De paroles se révélant assassines Et qui trop souvent me chagrinent De n’être en fait qu’un pâle reflet d’une absence D’une soif d’amour qui se fait espérance
Aujourd’hui je sais Qu’être ne se conjugue pas à l’imparfait Que seul compte le présent Que devenir n’est qu’une question de temps
Cette rose embaumée Que de toi j’ai gardée Déjà toute fanée Dans mes doigts va mourir Au cours morne des heures Dans ma triste demeure Ses pétales m’effleurent Comme des souvenirs...
Qu’il est lourd le silence De ces nuits où je pense A ta chère présence Au doux son de ta voix Lorsque après riant d’ivresse De bonheur, de tendresse Ses pétales m’effleurent Comme des souvenirs...
Quelques pas en arrière, cueillir les souvenirs, De ce bouquet fané décorer l’avenir, D’un regard nostalgie, pétales caresser, Le pardon dans les yeux, en raphias les nouer.
Aux pétales asséchés tombant sur le parquet, Leur raconter l’histoire de ce qui fut parfait, A ces âmes froissées offrir un bel écrin, Les coucher sur la soie d’un sourire sans fin.
Dans un coin de sa vie les déposer heureux, De tous ces rires anciens entendre encor’ l’éclat, A nos haines si futiles dépeçant les adieux, Fredonner les rythmes qui balançaient nos pas.
Les larmes tant versées en sucrer l’amertume, Pour que les roses pâles de nos mémoires subtiles, Anoblissent nos âmes sans haine pour enclume, Et que les vains regrets soient fantômes graciles.
Arranger son bouquet sans épines et remords, Dans cet immense vase aux années révolues, Y noyer ses colères, chapitres sans trésors, D’une nature morte dessiner l’aube nue.
Quand le cœur se voudrait être cimetière, Le fleurir des amours tant de fois dénigrés, Et laisser s’épanouir les boutons chagrinés, En une magnifique floraison buissonnière.
Quelques pas en avant, déjà un souvenir, Vient au monde innocent, vierge de tout passé, Il rejoindra pourtant un jour sans défaillir , Le bouquet des pardons aux pétales asséchés.
Abdellatif d'Occident a écrit: ------------------------------------------------------- > Je ne me lasse pas de la réécouter. Je suis > content de la partager avec toi. > > Abdellatif d'Occident. > > > > Edité 1 fois. Dernière modification > le 24-06-05 15h42.