J’avais perdu le goût en la vie, Perdu confiance en l’amour ; J’errais dans la nuit, Sans espoir de voir le jour…
Tu as changé ma vision des choses, Tu m’as également beaucoup fais avancé ; Maintenant grâce à toi j’ose, Je m’amuse et j’ai appris à délirer !!!!
Tu as amené le soleil dans mon existence, Notre amour m’apporte toujours plus chaque jours ; Il a donné, à ma vie et à mon cœur, un sens, Nos cœurs et nos âmes sont lié(e)s pour toujours…
Notre amour est né immédiatement, Mais ce n’est pas pour autant qu’il s’arrêtera ; Nous nous aimons infiniment et éternellement, Et malgré les dires des gens nous nous aimons comme cela !!!
Notre amour m’est indispensable, Comme nous sommes indissociables ; Je veux faire ma vie avec toi, Et je sais que ça sera le cas !!
Je ne connais pas le futur, Mais je sais de quoi je suis sûre ; Je le suis de mes sentiments, Qui, pour toi, durent dans le temps
Notre amour a vu le jour il y a un peu plus de 4 mois, Je ne pensais pas qu’un amour aussi intense puisse exister ; J’ai eu le coup de foudre pour toi, Et depuis ce jour, je ne cesse et ne cesserais jamais de t’aimer…
j'ai besoin d'Amour J'ai besoin d'aimer Besoin ,besoin de toi Et ton ange à toi Quand revient l'aurore Je regarde ton corps Ton coeur plein d'amour Pour ton réveil Bonjour Mon ange à moi Il est avec toi Il te suit partout Et il parle comme nous ! Ruru,ruru...ruru,ruru Ruru,ruru...ruru,ruru..
Ton ange à toi Il vient me parler Non ,ne t'en va pas Reste avec moi Tu es dans mon destin Et sur mon chemin Tu rêves de moi Et tu parles avec moi Oui, ton ange à toi Il est avec moi Il me suit partout Et chante comme nous! Ruru,ruru...ruru.ruru Ruru,ruru...ruru,ruru.....
J'ai besoin d'aimer J'ai besoin de toi Donnes ,donnes ton coeur Comme ton ange à toi Si tu viens vers moi Tu auras du bonheur Et suit ton chemin Pour ta liberté. Oui ,nos anges à nous Ils sont avec nous Ils nous suivent partout Ils chantent avec nous ! Ruru,ruru...ruru,ruru turu,ruru...ruru,ruru...
N'y croyant plus désespérée je t'attendais telle une rose offerte à toi je me donnerais avec douceur comme une vague glissant sur le rivage concrètement s'envoler l'espace d'un voyage aucun tabou sans pudeur sans sagesse oser vivre le romantisme avec finesse cueillir mon corps avec tes lèvres par tes baisers la chaleur et la fièvre déclenchant des désirs passionnément de toi à moi se posséder totalement sombrer dans un ailleurs infiniment au septième ciel y résider un court instant et conjuguer l'amour à tous les temps
Je l'ai entendu pour la première fois avec douceur tu t'es exprimé comme une caresse tes mots je les perçois de toi de moi vouloir s'imprégner par ta chaleur s'en dégager du je au tu du toi à moi s'entremêler a l'écoute d'un son s'en absorber mon imagination vagabonde et m'inonde jusqu'à te sentir si près de moi nous deux seuls dans un autre monde merveille de la magie, t'écouter toi je me laisse envahir par mes émois un désir de n'entendre que ta voix un voile sur ton visage le dissimule avec pudeur la vraie beauté est celle du coeur
Lentement envahissant mon être un besoin de douceur de tendresse te toucher prendre ta main la caresser avec délicatesse sur ma bouche l'embrasser sentir son odeur pour y fleurir mon coeur comme un bijoux un contact de bonheur main dans la main sensation de chaleur la garder savourer une paresse vouloir aller plus loin le désir d'un sans cesse de mes lèvres pressantes laissant leurs traces déchirer un voile révèlant nos visages lever les yeux se regarder en face à face soulevée la sagesse immaculée d'une image être inondé se confondre et se fondre échappé au temps n'être qu'une ombre
je me laisse guider par mes désirs s'attendre, se retrouver, se câliner, s'offrir sans se préoccuper, se toucher mêler nos gestes se laisser guider, sombrer dans la faiblesse un toi et moi qui se confondent te sentir vibrer, te posséder , n'être qu'une ombre nos corps dénudés, enlacés, se désirer de la vie tout oublier, vouloir recommencer mon corps se courbe sous tes caresses un coeur se gonfle par mes faiblesses laissons nous allez dans nos élans à l'infini s'ombrer profondément au creux des reins te recevoir juste nous donner, du je au tu vouloir puis recommencer et vivre, vivre en amour libre, libre
Tout au fond de mon cœur brûle une flamme intense Ta tendresse un beau soir l’a déposée en moi Jour et nuit désormais elle brille pour toi Sa torride chaleur est semblable à un soleil immense
Notre amour me dévore même s’il est interdit Je t’aime avec passion et j’en oublie tes chaînes Je voudrais les briser et qu’à moi tu t’enchaînes Ces je t’aime que j’attends jamais tu ne les dis
Parfois le vent se lève celui du désespoir La flamme devient faible mais jamais elle ne meurt Sa lumière soudain prend la couleur du noir A la place du bonheur vient s’installer la peur
Je voudrais m’en aller, pour toujours dire adieu à la vie Mais ce feu brûle inlassablement en moi L’amour est le plus fort et j’ai besoin de toi La flamme resurgit plus violente encore et avec elle l’envie
Enfin ce jour arrive, tu es là et la fièvre me trouble Nos corps ne font plus qu’un affamés de désir Je voudrais pour la vie te garder dans mes bras Et pardon à la rime Amour c’est toi que j’aime.
La vraie beauté est inconnue Le vrai n'est que par rapport à soi Relativisé, Personnalisé Que dis-je ? "Poétisé "!
J'entends ton souffle ma Muse J'entends ton choix J'entends ta voix
Si je te fais attendre C'est pour mieux te connaître Voeu pieux certes Car qui connaît-on le mieux Si ce n'est l'élan de son coeur Le tien t'as parlé ma Muse Le mien à moi se dérobe Ce coquin me fait attendre
Cuando donc vais-je connaître La vraie beauté Celle que mon coeur M'aura désignée !
Je caresse ta porte du bout des doigts Elle s'ouvre sous la pression de mes pensées Les battements de mon coeur affolés étouffent la plainte de cette entrave de bois Mes yeux te cherchent dans la lumière dorée même aveugle je saurai bien te trouver.
Ton long corps abandonné sur le lit ambré et chaud, parle entre ombres et lumières murmure ta passion, ta soif et ta fièvre Ton parfum de jasmin noie mon esprit Toute mon âme est suspendue à tes lèvres je glisse avec délice dans cet enfer.
Je t'aime dans mes nuits, aujourd'hui ! Tu habites dans mes bras, en moi, dans mes rêves, sans cesse et sans trêve, Je t'aime dans mes jours, là, ici ! Tu marches près de moi, dans mes pas. Tu es ma vie, mon sang, ma séve,
Quand je ferme les yeux, Je te vois dans mon esprit. Je te dessine, te sculpte et te devine.
Face à un écran froid, Je perçois sans peine ta chaleur. Un courant magnétique s'installe entre nous et joint tes doigts aux miens Par la magie du clavier.
Sans retenu nous nous livrons: Peines, joies, amour et même, sensations. Nous nous racontons sans gêne Comme nous ne le ferions jamais avec nos proches.
Passant du quotidien aux rêves d'avenir. De la monotonie à l'allégresse de se parler. Rien ne peut entraver nos paroles. Personne ne peut effacer cet enchantement.
Celui qui n'a jamais navigué dans le cyber espace Ne peut comprendre et même s'imaginer À quel point des liens solides peuvent se former, Des liens d'amitié immuables Qui ne cessent de grandir à chaque octet utilisé.
Par la simple pensée nous avons la force De métamorphoser le virtuel en réel. De deviner des pleurs, des rires, des sourires Et de ressentir des joies, des baisers, des caresses.
Lorsque le moment vient de nous quitter C'est avec tristesse que l'écran s'éteint. Mais avec combien de soupirs et de tendresse Nous nous sommes permis pendant quelques heures D'aimer un corps par son esprit.
Porqué yo, porqué tù Sommes-nous les rescapés de l'amour Survivants bénis Des Tsunamis de la Passion Ou tout simplement Yabiladiens bohémiens A la recherche de l'Oasis
Ah mon coeur Parle Pourquoi ce silence J'ai besoin de réponses La vrais beauté est à ma porte Oui ta Prudence Qu'importe Ce soir je veux la voir Abrège Crie Dis Oui C'est elle !
Abdellatif d'Occident.
Modifié 1 fois. Dernière modification le 20/06/05 02:44 par Abdellatif d'Occident.
Abdellatif d'Occident a écrit: ------------------------------------------------------- > La vraie beauté est inconnue > Le vrai n'est que par rapport à soi > Relativisé, > Personnalisé > Que dis-je ? > "Poétisé "! > > J'entends ton souffle ma Muse > J'entends ton choix > J'entends ta voix > > Si je te fais attendre > C'est pour mieux te connaître > Voeu pieux certes > Car qui connaît-on le mieux > Si ce n'est l'élan de son coeur > Le tien t'as parlé ma Muse > Le mien à moi se dérobe > Ce coquin me fait attendre > > Cuando donc vais-je connaître > La vraie beauté > Celle que mon coeur > M'aura désignée ! > > Abdellatif d'Occident.
Que vois-le là, un coeur troublé se lamantant De la douceur de sa bien aimée, lui manquant. Sache qu'il n'a nulle peine de celle de la joie Non partagée qui reste en elle qui est en toi.
Je t'imagines l'acccueillant avec par la taille Pour une danse, que dis-je, un slow éternel Langoureux, pieux à l'orée des coups de minuit. Voila Cendrillon, voila Roméo, pour une autre vie.
Tu la rechercheras des yeux, elle dans son coeur, Tous les deux à la quête du véritable bonheur. Celui qu'on goûte qu'une fois dans san courte vie, Et dont le goût est imcomparable au plus beau fruit.
On le cuielle comme on ne ceuille aucun autre... Le goût fruité, aux narines, arrive et enivre L'âme alors troublée, envoutée par une sensation Étrange, entre le paradis et le fruit de la passion.
Môh Tsu a écrit: ------------------------------------------------------- > Abdellatif d'Occident a écrit: > -------------------------------------------------- > ----- > > La vraie beauté est inconnue > > Le vrai n'est que par rapport à soi > > Relativisé, > > Personnalisé > > Que dis-je ? > > "Poétisé "! > > > > J'entends ton souffle ma Muse > > J'entends ton choix > > J'entends ta voix > > > > Si je te fais attendre > > C'est pour mieux te connaître > > Voeu pieux certes > > Car qui connaît-on le mieux > > Si ce n'est l'élan de son coeur > > Le tien t'as parlé ma Muse > > Le mien à moi se dérobe > > Ce coquin me fait attendre > > > > Cuando donc vais-je connaître > > La vraie beauté > > Celle que mon coeur > > M'aura désignée ! > > > > Abdellatif d'Occident. > > > Que vois-le là, un coeur troublé se lamantant > De la douceur de sa bien aimée, lui manquant. > Sache qu'il n'a nulle peine de celle de la joie > Non partagée qui reste en elle qui est en toi. > > Je t'imagines l'acccueillant avec par la taille > Pour une danse, que dis-je, un slow éternel > Langoureux, pieux à l'orée des coups de minuit. > Voila Cendrillon, voila Roméo, pour une autre > vie. > > Tu la rechercheras des yeux, elle dans son coeur, > Tous les deux à la quête du véritable bonheur. > Celui qu'on goûte qu'une fois dans san courte > vie, > Et dont le goût est imcomparable au plus beau > fruit. > > On le cuielle comme on ne ceuille aucun autre... > Le goût fruité, aux narines, arrive et enivre > L'âme alors troublée, envoutée par une sensation > Étrange, entre le paradis et le fruit de la > passion. > > Môh Tsu > Le 19/06/2005 > > > >
Comment échapper A ce qui nous assourdit Je regarde ma fenêtre ouverte Il fait chaud à Paris J'ai chaud en moi
Pourquoi ma Muse Me tortures-tu Je ne sais plus qui je suis Tu souffles sur les braises En ont-elles besoin
Mais je jure
Par ces poèmes Par ton destin Par le mien Par ces mots Qui nous font chaque jour un peu plus Par cet écran que je vois de moins en moins Par tes principes et les miens Par ta vie et la mienne
Que maintenant
Nous sommes.
Abdellatif d'Occident.
Modifié 1 fois. Dernière modification le 20/06/05 01:22 par Abdellatif d'Occident.