Il est arrivé dans ma vie Sans esclandre sans faire de bruit Il est venu réchauffer mon coeur Avec lui j'ai trouvé un grand bonheur
Il a su prendre ma raison Il est devenu mon obsession Je voudrais lui le dire souvent Mais je le lui écrirais tout autant
Dire "je t'aime" il sait si bien le dire Mais plus encore me le faire sentir Au travers de quelques mots Il a su me donner ce qu'il y a de plus beau
Qui aurait su me dire un mois auparavant Que je serais attirée à lui comme à un aimant Que nos coeurs et nos sens seraient ainsi liés Alors que tous deux cherchions de l'amitié
Je ne me poserais aucune question Et si effectivement j'ai perdu la raison Je n'ai nullement envie de la retrouver Mais juste et pour toujours l'aimer
Il est vrai que ce poème Donne envie qu'on s'aime Voici deux minutes J'étais en colère Le suis-je encore Sans doute oui Mais le plus fort C'est ton souffle Chargé d'amour D'ailleurs comme toujours Qui l'emporte Sur ma colère Mais pas sur ma compassion Pour ces jeunes égarées Trompées, humiliées, emprisonnées Ah ! Amour, j'ai envie de pleurer Mais ce n'étais pas Toi Amour Mais revenons à nous Amour A ton obsession, à la mienne A la poésie cette bohémienne Et à perdre la raison Fabienne Soyons Deux Soyons beaux.
Abdellatif d'Occident.
Modifié 3 fois. Dernière modification le 18/06/05 23:40 par Abdellatif d'Occident.
Merci pour ton amour Tu as rallumés la flamme Tu as fait brulait mon ame Tu as libérés mon coeur du desepoir et du malheur Petit à petit la vie me souri me sortant de l’oubli dans lequel plongeait mon esprit abandoné. Idées longtemps resté noires ont enfin laissé place a l’espoir. Ce sourire qui me fait rougir ma fait passer l’envie d’mourir Ces yeux qui me font fremir, m’enpeche de me fuir. Me noyer dans ton regard, sort mes pensées du noir. Je me demande si ton amour je le meriterai un jour. tu peut sans doute trouver mieux meme si tu compte plus que tout a mes yeux. . . . . . . Je t’aime. . . .
Simplement moi Moi, sans artifice Jeune fille sans malice Rêveuse avant tout Dans ce monde de fou Je ne détonne pas vraiment Au milieux de tout ces gens Mais je suis loin de ressembler À ces gens incapable de raisonner Je suis entourée d’une mer De personne amers Plusieurs personnes pensent me connaître Savoir tout de moi jusqu’aux profond de mon être Mais rare sont ceux qui me connaissent réellement Je ne suis pas si compliquer pourtant C’est parce que ma confiance n’est pas donnée C’est une chose qu’il faut mériter Si peu sont les vrais amis Qui resteront avec moi jusqu’à la fin de ma vie Je suis souvent méfiante Mais jamais méchante L’amitié n’est pas chose facile Elle est si fragile Avoir des vrais amis est si important C’est pourquoi à eux je tiens tant!
Bravo à nous Bravo à ce forum Bravo à la poésie Bravo à l'amour Garde cette flamme C'est notre fil d'Arianne Entre l'Amour et l'Inconnu L'espoir mérite bien son nom L'amour ignore le mérite Rien à ses yeux ne s'explique Si tu es heureuse Je le suis Sur ces mots Je compte bien m'endormir je vois le Rêve revenir.
J'aime le frisson qui m'envahit. À chacune de tes caresses. Les battements fous de mon coeur Quand je me blottis contre toi. Des feux d'artifices explosent dans mon ventre. Quand je me sens si proche. Ton odeur me rend folle. J'aime tes mots doux. Qui me remplissent de désir. Tes baisers à perdre haleine. Qui pincent si fort mon ventre. Je ne peux te résister Je n'ai qu'une envie, me laisser aller. Je voudrais t'attacher à moi pour ne jamais te perdre. Je pense à toi le jour. Je rêve de toi la nuit. Les sentiments que je ressens sont si forts. Si un jour je meurs dans mon coeur sera écrit je t'aime à jamais. J'ai ton sourire, tes yeux, tes manies, toi au complet gravé dans ma mémoire. Je te veux près de moi et en moi à jamais pour le Reste de ma vie. Je suis ton homme, ton bébé, ton maître pour toujours. Tu es la seule chose de bien qui me soit arrivé Et rien au Monde, ni personne ne pourra nous séparer. Je t'aime pour toujours avec tout mon amour.
Le pâle soleil d'hiver éclaire ta peau diaphane Illuminant la neige de tes cheveux blancs. Je te contemple, pour graver en moi ce moment Avant que le froid ne m'emporte vers les mânes.
Je te regarde et je souris. Tu es si belle! Belle à mes yeux, malgré la charge des années Qui durant toutes ces décades ont passé Te laissant à présent à mes côtés si frêle.
Ma main se tend vers toi, caresse ton visage. Ces rides, ce sont les témoins de notre vie Chacune raconte de son trait un souci Se creusant lentement, s'accroissant avec l'âge.
Celle-ci, la plus fine est née il y a cinquante ans Quand je ne pus venir la première fois Tu avais tant pleuré, gémissante aux abois Croyant déjà fini, notre amour débutant.
Celle-là raconte la venue parmi nous De notre tout petit, à présent grand et fort. Mais la plus profonde, lorsque tu m'as cru mort A marqué de son fer le velours de ta joue.
Tant de joies et de peines, de larmes et de rires M'ont donné auprès de toi le goût de la vie Au cours de ces années j'ai tellement appris Cadeaux indicibles que je ne peux décrire.
A présent qu'est venu l'automne de nos vies Parfois le froid m'étreint, quand je songe qu'un jour Qui peut être demain, nous partirons toujours Chacun sur sa route, à jamais dans l'oubli.
Laisse-moi, mon amour, encore te serrer Je suis faible et vieux mais je me sens un géant Quand dans mes bras tu viens te blottir tendrement Car soudain je ne sens plus le poids des années.
Je t'aime. Encore une fois je veux le dire Comme la première fois, comme à chaque fois Le regard amoureux et le coeur en émoi Naguère dans un cri, aujourd'hui dans un soupir.
Voilà. Ainsi fut notre vie, mon adorée Ou plutôt sera-t-elle quand je t'aurai trouvée Car ces instants de bonheur dans mes souvenirs Seront les mots de notre passé à venir.
Un beau jour le chevalier envoya ce parchemin dans le royaume d'une douce princesse: Juste un instant pour oublier Un court instant pour espérer Juste une heure pour se confier Mais un siècle pour rêver Juste une minute pour se donner Une seconde pour se désirer Juste un rien d'éternité pour apprendre à partager Juste un clin d'oeil pour frissonner et une soirée pour s'abandonner Juste une nuit pour s'enflammer mais toute une vie pour s'aimer.
Je voudrais être le soleil au coeur de ta nuit chaque rayon forgé à l'encre de ma vie pour écrire toute ces pages encore vierges de tout ce qui aujourd'hui me submerge.
Je voudrais être souffle de vent sur tes yeux te caresser de cette douce brise impalpable; t'apporter le murmure de tous mes ineffables mots d'amour ,comme un chant vers les cieux.
Je voudrais être une étoile scintillante lumière qui viendrait illuminer tes rêveries d'hiver et mes pensées comme un voile sur le firmament pour iriser la voie lactée d'un tendre enchantement.
Je voudrais être pluie,ou bien encore flocon de neige et fondre sur ta bouche en un doux et tendre baiser pouvoir forger de mes mots un si beau sortilège et renaître à l'infini pour revivre ce brasier.
Une nuit j'ai fait un rêve, Nous étions tous les deux Sous un arbre où coulait sa sève. Nous échangions un doux baiser fougueux. L'odeur de ses fleurs s'échappait Entre nos deux coeurs entremêlaient. Et un matin mon corps s'éveilla, Mes yeux s'ouvrirent, et je te vis, toi. Toi qui serait incapable de me faire souffrir, Toi qui emplie mon coeur, Chaque jour d'un peu plus d'amour. Sans avoir à chercher, j'ai trouvé mon âme soeur, J'espère la garder pour toujours...
Ta main contre la mienne, qui en moi s'aventure Explore peu à peu le puit de ma nature Le désir qui en moi, en vagues déferlantes, Monte, part et revient d'une passion dévorante...
L'ouragan de mon corps, se déchaîne peu à peu, Et me laisse, enfin, dans tes bras pantelante, Je découvre avec toi des plaisirs amoureux, Qui font qu'avec ton corps je sois meilleure amante...
Te désirer si fort, si longtemps m'éblouit, La douceur de tes lèvres, la tendresse de tes doigts, La pression de ton corps au plus profond de moi, Le parfum de ta sève qui toujours me ravit...
Quand après nos ébats je sombre dans l'oubli, Le repos tout à coup semble comme infini, L'éveil de nos désirs prend une dimension, Qui confirme oh combien nous sommes à l'unisson...
Je contemple la mer assise sur les rochers Me demandant ce que j’y suis venue chercher La paix du corps ou celle de l’âme ? Ta présence que mon cœur réclame ?
Soudain un vent violent se lève Les vagues furieuses se soulèvent. Les nuages envahissent le ciel Le nimbant d’une lumière artificielle.
Je me souviens des temps heureux Où nous venions ici tous les deux, Joyeux, marchant contre le vent Pour admirer le soleil levant.
Il y a si longtemps que tu n’es plus là Je suis seule dorénavant ici-bas, Revenant sans cesse sur ce rivage Cherchant le reflet de ton visage Qui de ma mémoire peu à peu s’efface Ne laissant plus aucune trace.
La vie reprend ses gages, Le vent a balayé les nuages, Le soleil à nouveau resplendit Et fait entendre sa belle mélodie.