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poeme d'amour
n
8 juin 2005 01:09


il est triste sad smiley


mais j'ai hate de lire la suitewinking smiley
n
8 juin 2005 11:14
C'est moi qui le pense
Mais la plume qui l'écrit
Ma feuille donne un sens
A l'encre qui le dit

La goutte naît de sa plume
Qui pleure au dessus de son mouchoir
Pour mourir en écriture
Et donner son espoir

Un petit bruit qui m'inspire
Qui déchire le silence
La plume écrit son histoire
Comme pour redire son enfance

Je continue de penser mon amour
Elle continue à le dire
C'est devenu mon obsession
Je ne peut plus m'arrêter d'écrire

Maintenant que j'ai tout dit
Je doit marquer l'adresse de mon paradis
Elle peut partir faire sa route
Petit mot d'amour...

n
8 juin 2005 11:23
La nuit est tombée,
Mais nous ne dormons pas,
Nous ne sommes même pas couchés
J’avais envie de tes bras.

Allumant des bougies
Comme tu allumes le feu en moi
Nue, je rougis
Sur le drap de soie.

Tu t’approches, une rose à la main
Pour dessiner mon corps, ses contours.
Je soupires, halètes et respires enfin
A cause de ce supplice d’amour.

Tu es beau dans ce clair-obscur
L’éclat dans tes yeux dit ton désir
Tu t’approches sans un murmure
Et fait monter en moi le plaisir.

Les flammes des bougies
Dansent sur les murs,
Dansent sur nos corps rougis
Par l’acte qui perdure.

Un cri s’échappe hors de moi
Il est plaintif presque animal
Un autre s’enfuit de toi
Beaucoup plus guttural.

Le silence retombe
Puis un murmure, un « je t’aime »
J’aperçois une ombre,
C’est la rose suprême.
n
8 juin 2005 11:27
A la lune

Pâle soeur du premier rayon,
Image en deuil de la tendresse,
Le nuage, en passant, caresse,
D'une frisson d'argent ton beau front.
Hors du gouffre au jour interdit
Tes pas silencieux n'éveillent
Que l'âme des morts qui sommeillent,
Et moi et les oiseaux de nuit.

Ton regard au loin se déploie
Découvrant un immense espace,
Là-haut, près de toi, fais moi place,
Offre à mes songes cette joie !
Ainsi, la distance effaçant,
Donne au chevalier le plaisir
De voir, par les vitraux, dormir
Celle que son coeur aime tant.

Ô ravissement, ô bonheur !
Adieu, distance qui me tue !
De tout le pouvoir de ma vue
Je rassemble en moi tes lueurs.
De plus en plus clairs, tes rayons
Qui son corps dévoilé révèlent,
Me font descendre ainsi, près d'elle,
Que toi, jadis, d'Endymion.
n
8 juin 2005 11:34



Je suis le ténébreux, le veuf, l'inconsolé,
Le prince d'Aquitaine à la tour abolie :
Ma seule étoile est morte, et mon luth constellé
Porte le soleil noir de la Mélancolie.

Dans la nuit du tombeau, toi qui m'as consolé,
Rends-moi le Pausilippe et la mer d'Italie,
La fleur qui plaisait tant à mon coeur désolé,
Et la treille où le pampre à la rose s'allie.

Suis-je Amour ou Phébus ?... Lusignan ou Biron ?
Mon front est rouge encore du baiser de la reine ;
J'ai rêvé dans la grotte où nage la sirène...

Et j'ai deux fois vainqueur traversé l'Achéron :
Modulant tour à tour sur la lyre d'Orphée
Les soupirs de la sainte et les cris de la fée.





El Desdichado

r
8 juin 2005 11:39
Môh Tsu a écrit:
-------------------------------------------------------
> Merci à vous pour vos commentaires. Alors
> continuons, si vous le voulez bien. Ce qui suit
> est un poème en trois partie sur un trio amoureux.
> Chaque poème décrit le point de vue de chacun.
> Deux fille qui aiment le même garçon.
>
> Amour singulier
>
> Je t'aime, elle t'aime, nous t'aimons.
> C'est le dilemme de l'amour au féminin.
> Tu es unique, nous, de nombreux pantins.
> Tu choisis, tire sur les fils, nos crins.
>
> Je t'aime jusqu'à en oublier ma vie.
> Je ne mange plus. Je ne dors plus.
> Distraite par les fantasmes d'une nuit,
> Ce Rêve que j'épouse, belle inconnue.
>
> Ces regards mendiants, bien excités,
> Je le renie comme l'amour des yeux.
> Je brûle les parfums, Alcools, interdits
> Et répands encens sur le corps amoureux.
>
> Je cache mes désirs qui me détruisent.
> Je t'aime, elle t'aime, à la folie.
> Pour éviter les larmes qui me sont promises,
> Je ferme les yeux, le cœur et m'enfuis.
>
> Môh Tsu
> Le 27/03/2005
>
> A suivre...
>
>
>
> Edité 1 fois. Dernière modification
> le 08-06-05 01h08.



vivement la suite winking smiley
8 juin 2005 12:13
nabilla a écrit:
-------------------------------------------------------
> C'est moi qui le pense
> Mais la plume qui l'écrit
> Ma feuille donne un sens
> A l'encre qui le dit
>
> La goutte naît de sa plume
> Qui pleure au dessus de son mouchoir
> Pour mourir en écriture
> Et donner son espoir
>
> Un petit bruit qui m'inspire
> Qui déchire le silence
> La plume écrit son histoire
> Comme pour redire son enfance
>
> Je continue de penser mon amour
> Elle continue à le dire
> C'est devenu mon obsession
> Je ne peut plus m'arrêter d'écrire
>
> Maintenant que j'ai tout dit
> Je doit marquer l'adresse de mon paradis
> Elle peut partir faire sa route
> Petit mot d'amour...
>
>


J'aime bien ce genre de style, posé, espérant et simple à la fois. Ceci me rappelle un de mes poèmes que voici sur l'intimité de l'esprit qui espère... espère.

Le journal intime

La voilà seule avec son miroir,
Ses pages blanches bien vides
Qu'elle remplit de son histoire
Qui prend comme elle des rides.

C'est le temps du journal intime.
Des amours et secrets s'y cachent.
Entre deux larmes et deux rimes
L'espoir renaît entre les tâches.

L'histoire est faite de ratures.
Des fautes et erreurs du Style...
Il y a les mouchoirs, ou buvards,
Pour absorber ce liquide des cils.

Le journal intime, son autre moi,
Écoute et note tout de bout en bout.
Comme quatre murs, il tait bien bas...
Ce que son cœur lui raconte tout haut.

Môh Tsu
Le 30/04/2005

8 juin 2005 12:14
Amour singulier 2

J'ai beau te fuir mais tu me rattrapes.
Je suis partie puisque tu m'échappes.
Je te laisse à elle, abandonnant la lutte,
Par amour, voulant ton bonheur, sans doute.

Elle t'aime et je t'aime, pauvre folle,
Perdue au milieu de la cour d'école.
Autour, c'est le vide, d'étranges ombres.
Je ne distingue plus rien, tout est sombre.

Je fais partie sûrement de ces silhouettes,
Pour ne pas m'avoir remarquée, sans doute.
Trop petite, je te comprends ! La femme,
Que je ne suis pas, existe avec des formes.

Je t'aime, elle t'aime et nous t'aimons.
Le choix s'offre à toi, j'attends ta décision.
En attendant, le peu d'espoir qui s'offre à moi
Je le garde et continue d'y croire parfois.

Môh Tsu
Le 03/05/2005

Ce poème est la suite du point, mais c'est le point de vue de la seconde fille.
Un troisième, ceui du garçon, qui doit trancher, devrait venir pour éclaircir ce trio amoureux.
8 juin 2005 12:21
JEUX DE MIROIRS

Je te prends, si tu me comprends.
Désirs refoulés. Entorse au coeur.
Pansements de bleus changeants.
Je saigne des larmes de couleurs.

Je te comprends sans t'atteindre.
Vivons, gâchés. Pour être heureux.
C'est trou noir pour s'éteindre,
Après ces feux en nous, en ces lieux.

Je te prends, si toi, tu m'attends.
Au quai des Orfèvres, vaux bijoux.
Mes lèvres plaquées sur ton diamant,
Beau caillou, si jamais loin de ton cou.

Miroir aux alouettes, des âmes soeurs,
En toi, je crois et me laisse prendre.
Piqué au jeu de ces beaux acteurs,
Ces couples, pareils à s'y méprendre.

Môh Tsu
07/03/2005
n
8 juin 2005 13:26


beaucoup d'émotion

merci moh tsuwinking smiley
8 juin 2005 13:50
nabilla a écrit:
-------------------------------------------------------
> >
> beaucoup d'émotion
>
> merci moh tsu
>
> Un Jour l'amour alla demander a l'amitié pour quoi
> existe tu? C'es pour faire secher les larmes ke tu
> as fai couler

smiling smiley

r
8 juin 2005 14:10
moh tsu ... magnifik tes poèmes smiling smiley



Modifié 1 fois. Dernière modification le 08/06/05 14:15 par rifia1.
8 juin 2005 14:42
ON VIT TROP

Baiser d'adieu, baiser de Judas.
Tu seras heureux, bien mieux là-bas
Je ferme les yeux, pars mon amour !
File comme le vent, sans retour !
Même si je te regrette déjà, loin.
J'ai ton beau sourire sur le mien.
Baiser d'un Dieu, baiser d'un ange.
Je te veux heureux, aux vendanges.
Abreuve-toi de douceurs du passé,
En pensent à nous, mon tendre aimé.
Sèche tes larmes, et ne parle plus.
Un mot de trop et je ne saurai plus.
J'ai peur que la réalité fasse défaut,
En me faisant oublier même le Beau.
Va mon amant, va-t-en loin de moi !
Je ne saurai te consoler du froid.
Mes bras frileux n'ont plus la force
D'aimer comme neuf muses de Perse.
Retiens ton souffle, j'ai la gorge
Sèche, serrée, comme mon coeur d'orge.
Si tu m'aimes, alors pars loin d'ici,
Dans ses bras pour refaire ta vie.
Quand la mienne se défera au vent,
Repensant à toi, à toi, mon bel amant.
Je suis une femme, je suis cruelle,
Je souffre pour cette vie nouvelle.
Comprends-moi ! Je souffre d'avantage
Chaque minute qui t'éloigne du voyage.
À mes côtés, il aura toujours ta place,
Et sache que même l'or ne te remplace.
Précieux trésor dont rêve toute femme,
Tu es à jamais dans mon coeur ! Je t'aime !

Môh Tsu
05/08/2004

Histoire qui se base sur une femme stérile qui ne peut rendre heureux l'homme de sa vie et qui le pousse vers une autre femme, s'estimant inutile et vieille.
8 juin 2005 14:49
UN AUTRE REVE

C'est le temps de la nonchalence, du beau temps.
Rien ne semble troubler la quiétude de nos sens,
Le calme plat de l'âme, des eaux, même le vent.
Tout est fin et coloré dans ce retour à l'enfance.

Qu'importe ce qui arrivera, l'amour ici suffit
À calmer les douleurs et à rassasier les faims.
Je t'es à mes côtés, dans les saisons de la vie,
Mes rêves luisant dans tes yeux, tels le Divin.

Je te vénère quand tu accouches mes douleurs,
Quand tu les fais tiennes, comme le lourd fardeau
Qu'est la longue vie, que tu m'aide, chaque jour,
À porter pour alléger mon coeur, avec tes mots.

C'est le temps des amours éternels, des amants.
Je fête la vie que tu enfantes dans le silence,
Quand mes cris te réveillent, alors souffrant
De cette peur de te perdre dans la distance.

J'ai rêvé, et tu étais là, le coeur calme, posé.
Joli oiseau que je retiens en cage -par les lois
De l'amour- dont on ne s'échappe pas, même libéré.
L'amour pur est prison, et la mienne : c'est toi.

Môh Tsu
25/02/2005
r
8 juin 2005 15:21
Amour interdit

On s’aime si fort

bien plus encore

nous savons que ce n’est pas bien

et pourtant

notre raison, nos sens, notre coeur

tous s’unissent et l’emportent

impossible de lutter

l’amour est plus fort

ce bonheur est immense

nos rencontres sont délicieuses

nos étreintes sont brûlantes

rien ne peut arrêter

cette folie d’amour

je t’aime et tu m’aimes

c’est notre choix

Noir Désir
r
8 juin 2005 15:28
La vie est ainsi faite ? Pourquoi je ne le sais pas.
Comment exprimer ce qu'il y a dans mon coeur ? Je ne le sais pas.
Pourquoi faut-il toujours faire des choix ? Je ne le sais pas.
J'ai été avec toi et après très peu de temps je t'ai laissé.
Tu m'as laissé partir, sans rien dire, pourquoi ? Je ne le sais pas.
Aujourd'hui je le regrette.

Malgré nos disputes, tu resteras quelqu'un d'important à mes yeux.
J'aurais du revenir, mais je ne l'ais pas fais, pourquoi ?
Je ne le sais toujours pas. Peut-être ais-je eu peur.
Peur du regard du regard des autres, peur de souffrir, je ne le sais pas.
Les choses ont changés, je le sais.

Tu es une personne unique. Peut-être es-tu la personne
qui guérira mon coeur blessé, brisé, vidé et si souvent piétiné.
Dans tes bras j'étais bien, mais je l'ai vu trop tard, pourquoi ?
Je ne le sais pas. Les mots me manque pour exprimer mes sentiments.
Peut-être qu'un jour tu comprendra pourquoi j'ai fais cela.
Maintenant, je n'ais plus peur, mais je regrette.

Tant de questions restent sans réponses, pourquoi ? Je ne le sais pas.
Peut-être te reconnaîtras-tu, si tu n'as pas oublié
cette chanson, écrite pour toi, écrite pour moi...
A travers ce poème je me suis exprimée.
Peut-être trop tard mais je l'ai fais malgré tout.

Je te demande de me pardonner pour tout ce que j'ai dis ou fais
qui aurait pu te blesser. Le coeur a ses raisons que la raison ignore.
Pourquoi ? Je ne le sais pas.

Les gens ne comprendront peut-être jamais.
Comment le pourraient-ils ?
Ils ne sont ni dans ma tête, ni dans mon coeur rongé par le remords...

Après tout ce temps, je délivre tous ces sentiments cachés
que je ne pourrais jamais oublier... Tu resteras, tout comme ce poème,
à jamais gravé dans mon coeur, qui s'est confié, à travers ces mots,
ces phrases qui donneront sûrement un sens plus claire à ma vie...

- Aurély Montredon -
n
8 juin 2005 16:27
Je n’ai plus d’ancre pour m’ancrer

Je n’ai plus d’âme pour ma dame
Je n’ai plus d’Ève pour rêver
Je n’ai plus d’or pour t’adorer
Je n’ai plus d’air pour errer

Je n’ai plus d’encre dans l’encrier
N’ai plus de corde pour nous accorder
N’ai plus de chant pour nous enchanter
Je n’ai plus d’ancre pour m’ancrer

Je n’ai plus de voix pour voyager
N’ai plus de vent pour m’aventurer
Je n’ai plus d’âge à partager
N’ai plus de lit pour me libérer

Je n’ai plus d’encre dans l’encrier
N’ai plus de train pour t’entraîner
N’ai plus de bras pour t’embraser
Je n’ai plus d’ancre pour m’ancrer

Je n’ai plus de fleurs pour te flirter
N’ai plus de soie pour te soigner
N’ai plus de rime pour m’arrimer
N’ai plus de poème pour t’aimer

Avril 1994
n
8 juin 2005 23:23

L'amour n'as pas de sens,
pas d'endroits, pas d'envers!
Mais parfois des revers,

....qui aurai la fragance,
....d'un souvenir amer,
....étheré de soufrance,
....remettant le couvert,
....à chaque fois qu'on y pense.

L'amour n'as pas de sens,
pas d'endroits, pas d'envers!

....juste un passé pervers,
....empreint de tes absences,
....que je preferrerai taire,
....qui plonge dans l'ignorance,
....du douloureux mystere,
....transperçant mes cinq sens;

Ce sentiment hoster devenant la sentence
de mon âme qui se perd jouant à contre sens
condamnant mon esprit à vivre dans l'érrance

iah-hel le 27 avril 2004
n
8 juin 2005 23:24
Une pensée m'éfleure

Je veux être ton amant pour innonder ton coeur
et réécrir l'histoire ou ce doux rêve m'enmene
de ma mains qui pour toi esseme toute les graines
des pensées de bonheur d'ou écloront ces fleurs...

J'en ferai un bouquet au mille et une couleurs
aux parfums envoutants de tout ce que je ressent
transfigurant la peine que je porte en mon sang
à la douce chaleur des battements de ton coeur..

Chacune des pulsations fluctuantes passions
qui m'ennivre lentement de si belle émotions
et me transporte ailleur vers ces rivages charmants
ou il pousse la fleur, précieuse que j'attend

Tu es cette pensée fragile et delicate
qu'en songe j'ai rêver pour laquelle je me hate
sintillante beauté aux aromes si fin
voudrais tu me donner du bonheur pour demain.



Iah-hel le 03 mai 2004
n
8 juin 2005 23:27
J'ai vu...

J'ai vu naitre la peur d'une si belle emotion,
dont j'ai fais mon malheur j'en suit ensorcellé,
cette force est iréèl et dechaine sa passion,
ce sentiment cruel parcequ'un jour j'ai aimé....

J'ai vu mourir l'envie dans le creux de ma main,
durant cette longue vie ou me traine mon destin,
airain fruit du pardon tu asseche en mon âme,
de toute ta devotion mon coeur s'emplit de larmes...

J'ai vu renaitre l'amour dans le bleu de ses yeux,
l'étincelle qui un jour ranimera le feu,
qui brule de ce désir consumant tous mes rêves,
aux parfums des plaisirs sur le rouge de ses lêvres.


iah-hel le 17 mai 2004
Emission spécial MRE
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