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Pandi a écrit:
Dieu est aux hommes ce que la sève est à l'arbre. Dans ma vie compliqué, il est ma lueur. Jamais il ne me laisse, sinon je serai orpheline.
Dieu est dans la joie, il transcende l'existence, banni le mal de mon coeur.
Il est la grandeur, la pureté, le don de cette vie. Je suis comblé quand je pense à ses bienfaits. Dans ce monde où tout est dur, il est mon moteur.
Ma joie et mes peines, je lui confie. Sans lui je ne serais presque, rien, tous les jours, je le remercie, ô lumière des galaxies.
D'instants de grâce tu me touches.
De l'or sors de ta bouche, et par ta voix, j'imagine mille fleuves, qui grandissent chaque jour. Le beau étouffe la haine.
Ta paix tait mes cris. Je suis ton amie. Chaque jour j'essaie d'être digne.
Je suis si heureuse quand je pense à ta douceur, à ces mots gravés dans mon coeur.
Tu passes à travers ma plume.
Tu éclaire mille visage.
Grâce à toi je tend à être sage.
Ô l'éternel guide moi dans cette quête, j'espère une issue, mon ultime requête.
Quand je chante, je danse, c'est sous tes yeux, ô toi béni des cieux.
Sois la dans mes doutes, aide moi à combattre le mazout.
Je suis en galère, quand je désespère, je le répète, tu es ma lumière.
Mon conscient, mon inconscient t'appartienne.
Ô Dieu de victoire, de bonheur et d'espoir, sans toi je me retrouve bien trop souvent dans le noir.
Eclaire mes nuits, éclaire mes jours, par ta grandeur, par ton amour. Ô zeste de légèreté, Dieu bon de pureté, ces mots sortent de mon coeur, comme un chaîne sort de terre.
Je le répète tu es ma lumière.
Qui me guide quand ça va pas, quand je me perd.
J'avance dans la mélasse, trépigne et trépasse.
Chacun de mes battements de cils, je te les voue, l'hirondelle s'envole dans un battement d'aile.
Elle me rappelle que ce monde est éphémère.
Je t'aime, et je le redirais jusqu'à ce que la lumière s'éteigne.
Tu es ma plaine, mon eau de source, ma voie, mon sacré.
Je pense à toi, et des lors mon passé, s'efface comme si'l n'avais jamais existé.
Lune fendue, beauté du ciel, nuit étoilée, j'aime ton souffle qui me permet d'exister.
Dune de cristal au milieu du désert tu est ma source, dans laquelle jamais l'eau ne tarie.
Je t'aime, et je le redirais et même si je disparait c'est pour toi que j'aimerais donner ma vie.
Je ne suis plus dans l'expectative, j'essaye d'avancer, essaye de vivre mes rêves qu'on a coupé au scalpel.
Je me rappelle, toutes ces nuits, tous ces jours espérant ton aide.
Je n'avais seulement pas conscience que tu étais là à chacun de mes pas.
Quand viendra la fin j'espère tenir dans ta main. Peut importe mes choix, si tu les agrés, c'est ce qui compte pour moi.
Tu es le plus grand des rois.
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om mounir a écrit:
tu es musulmane ?
j ai pas compris ton poeme est ce concerne Allah soubhanah ?
pourquoi tu as dis tu es le plus grand des rois ???
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