La rue assourdissante autour de moi hurlait. Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, Une femme passa, d'une main fastueuse Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ;
Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.
Un éclair... puis la nuit ! _ Fugitive beauté Dont le regard m'a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ?
Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être ! Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais !
oui Paz c'est un de mes poémes préférés de Baudelaire avec le voyage. en voici de mémoire quelques vers
Pour l'enfant, amoureux de cartes et d'estampes l'univers est grand comme son vaste appétit Ah que le monde est grand à la clarté des lampes Aux yeux du souvenir, qu le monde est petit
Un matin nous partons, le cerveau plein de flammes le coeur gros de raucunes et de désirs amers et nous allons suivant le rythme de la lame berçant notre infini dans le fini des mers
Les uns joyeux de fuire une patrie infame d'autres l'horreur de leur berceau et quelques uns Astrologues noyés dans les yeux d'une femme la cyrcée tyrannique aux dangereux parfums
Voilà je me mets à nue,mdrrrrrr, c'est mon premier poème que j'ai écrit il y a quelques années maintenant à une personne que j'appréciai énormement dont je n'ai plus de nouvelle c'est triste!!!!!!
DIVINE VOIX
Il y a quelques heures, quelques jours, quelques semaines Je ne sais quand au juste Un homme me téléphona ayant pour arme une divine voix Face à cette voix, je suis en émoi Et face à cette inconnu je ressens tant d'émotion que tout mon être chavire A toi l'homme nouveau A toi mon destin qui est entré dans mon coeur comme un rayon de soleil A toi ma voix qui me séduit chaque soir A toi l'homme qui me fait vibrer Je voulais te dire Que je suis en manque, chaques heures, chaques minutes, chaques secondes Que je vais mal, très mal Que ma douleur à soif de toi Que je suis en mal d'ésperance A toi ma voix divine A toi mon Prince que je désire ardemment Je voulais te dire Que je n'oublierai jamais les milles mots voulus et prononcés chaque soir dans une intensité réelle Et que je n'oublierai jamais tes rires que j'ai cueilli à foison A toi ma voix, mon ami, mon confident, j'espère te garder encore très longtemps ou mieux encore éternelllement.
« En vérité, tant que les gens ne changent pas ce qui se trouve dans leur cœur, Dieu ne modifie en rien leur condition. » (Coran 13:11)« N’est-ce point par l’évocation de Dieu que se tranquillisent les cœurs? » (Coran 13:28)