Citation
Rozenn* a écrit:
Salam aleikoum,
Je voudrais partager avec vous une reflexion au sujet de la societe et de la déresponsabilisation des individus.
Je préviens que je vais généraliser, je sais que c'est une tendance qui ne concerne pas tout le monde.
La société est organisée pour faire des individus des contribuables et des consommateurs.
Les enfants et jeunes sont éduqués dans l'optique du capitalisme, et principalement à devenir des salariés.
Filles et garçons sont éduqués dans cette idée, au point qu'ils intègrent un modèle familial complètement différent de celui que nous propose l'Islam.
Les hommes attendent des femmes qu'elles travaillent et participent aux charges du foyer au même titre qu'eux.
Les jeunes filles et femmes construisent leurs projets de vie autour du travail et non plus du mariage et de la maternité, alors que c'est leur première responsabilité en tant qu'épouse musulmane, et essaient d'intégrer le mariage et la maternité dans leur mode de vie professionnellement et socialement chargé.
Je ne parle pas les femmes qui travaillent mais les femmes "carriéristes". Bien des femmes travaillent dans l'intérêt de leur famille et font de leur mieux pour concilier vie familiale et vie professionnelle en donnant la priorité à leur famille.
Donc on voit des femmes qui ne souhaitent plus s'occuper à plein temps de leur bébé ou enfant en bas âge, qui ne prennent plus soin de leur mari et attendent de lui qu'il partage la responsabilité de la tenue du foyer.
Les hommes perdent de leur virilité et les femmes de leur féminité.
L'état se substitut aussi à la solidarité familiale.
Les bébés en crèche plutôt qu'avec mère ou grand mère, les personnes âgées en EPHAD plutôt qu'auprès de leurs enfants et petits enfants.
Les personnes marginalisées suite à un accident de parcours, qui se retrouvent isolés dans des conditions précaires voir indignes, mais ils ont droit au RSA, ils auront bien droit un jour à un logement en HLM, donc la famille (fratrie, enfants adultes) s'en lave les mains et ferme les yeux.
Il y a aussi cette perte d'autonomie à tous les niveaux.
Le citadin dépend entièrement de la société pour tout.
Souvent locataire, il dépend du parc locatif pour se loger, de la production et de la vente des autres pour se fournir et se nourrir, etc.
Il n'est plus responsable de son autonomie et s'en remet entièrement à la société pour pourvoir à tous ses besoins.
On est donc dans une sitiation où les gens ne sont plus poussés à assumer leurs responsabilités.
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Rozenn* a écrit:
Salam aleikoum,
Je voudrais partager avec vous une reflexion au sujet de la societe et de la déresponsabilisation des individus.
Je préviens que je vais généraliser, je sais que c'est une tendance qui ne concerne pas tout le monde.
La société est organisée pour faire des individus des contribuables et des consommateurs.
Les enfants et jeunes sont éduqués dans l'optique du capitalisme, et principalement à devenir des salariés.
Filles et garçons sont éduqués dans cette idée, au point qu'ils intègrent un modèle familial complètement différent de celui que nous propose l'Islam.
Les hommes attendent des femmes qu'elles travaillent et participent aux charges du foyer au même titre qu'eux.
Les jeunes filles et femmes construisent leurs projets de vie autour du travail et non plus du mariage et de la maternité, alors que c'est leur première responsabilité en tant qu'épouse musulmane, et essaient d'intégrer le mariage et la maternité dans leur mode de vie professionnellement et socialement chargé.
Je ne parle pas les femmes qui travaillent mais les femmes "carriéristes". Bien des femmes travaillent dans l'intérêt de leur famille et font de leur mieux pour concilier vie familiale et vie professionnelle en donnant la priorité à leur famille.
Donc on voit des femmes qui ne souhaitent plus s'occuper à plein temps de leur bébé ou enfant en bas âge, qui ne prennent plus soin de leur mari et attendent de lui qu'il partage la responsabilité de la tenue du foyer.
Les hommes perdent de leur virilité et les femmes de leur féminité.
L'état se substitut aussi à la solidarité familiale.
Les bébés en crèche plutôt qu'avec mère ou grand mère, les personnes âgées en EPHAD plutôt qu'auprès de leurs enfants et petits enfants.
Les personnes marginalisées suite à un accident de parcours, qui se retrouvent isolés dans des conditions précaires voir indignes, mais ils ont droit au RSA, ils auront bien droit un jour à un logement en HLM, donc la famille (fratrie, enfants adultes) s'en lave les mains et ferme les yeux.
Il y a aussi cette perte d'autonomie à tous les niveaux.
Le citadin dépend entièrement de la société pour tout.
Souvent locataire, il dépend du parc locatif pour se loger, de la production et de la vente des autres pour se fournir et se nourrir, etc.
Il n'est plus responsable de son autonomie et s'en remet entièrement à la société pour pourvoir à tous ses besoins.
On est donc dans une sitiation où les gens ne sont plus poussés à assumer leurs responsabilités.
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Rozenn* a écrit:
Salam aleikoum,
Je voudrais partager avec vous une reflexion au sujet de la societe et de la déresponsabilisation des individus.
Je préviens que je vais généraliser, je sais que c'est une tendance qui ne concerne pas tout le monde.
La société est organisée pour faire des individus des contribuables et des consommateurs.
Les enfants et jeunes sont éduqués dans l'optique du capitalisme, et principalement à devenir des salariés.
Filles et garçons sont éduqués dans cette idée, au point qu'ils intègrent un modèle familial complètement différent de celui que nous propose l'Islam.
Les hommes attendent des femmes qu'elles travaillent et participent aux charges du foyer au même titre qu'eux.
Les jeunes filles et femmes construisent leurs projets de vie autour du travail et non plus du mariage et de la maternité, alors que c'est leur première responsabilité en tant qu'épouse musulmane, et essaient d'intégrer le mariage et la maternité dans leur mode de vie professionnellement et socialement chargé.
Je ne parle pas les femmes qui travaillent mais les femmes "carriéristes". Bien des femmes travaillent dans l'intérêt de leur famille et font de leur mieux pour concilier vie familiale et vie professionnelle en donnant la priorité à leur famille.
Donc on voit des femmes qui ne souhaitent plus s'occuper à plein temps de leur bébé ou enfant en bas âge, qui ne prennent plus soin de leur mari et attendent de lui qu'il partage la responsabilité de la tenue du foyer.
Les hommes perdent de leur virilité et les femmes de leur féminité.
L'état se substitut aussi à la solidarité familiale.
Les bébés en crèche plutôt qu'avec mère ou grand mère, les personnes âgées en EPHAD plutôt qu'auprès de leurs enfants et petits enfants.
Les personnes marginalisées suite à un accident de parcours, qui se retrouvent isolés dans des conditions précaires voir indignes, mais ils ont droit au RSA, ils auront bien droit un jour à un logement en HLM, donc la famille (fratrie, enfants adultes) s'en lave les mains et ferme les yeux.
Il y a aussi cette perte d'autonomie à tous les niveaux.
Le citadin dépend entièrement de la société pour tout.
Souvent locataire, il dépend du parc locatif pour se loger, de la production et de la vente des autres pour se fournir et se nourrir, etc.
Il n'est plus responsable de son autonomie et s'en remet entièrement à la société pour pourvoir à tous ses besoins.
On est donc dans une sitiation où les gens ne sont plus poussés à assumer leurs responsabilités.
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Dystopia23 a écrit:
Je consomme donc je suis.
J'ai vu récemment une vidéo intéressante d'Onfray assez courte et exactement sur ce sujet.
Je vais donc la chercher :p
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LynTu a écrit:
Les élites des" droits de l'homme", ont trouvé et donné "la liberté des femmes " pour aller au travail !
Faut bien remplir les caisses du fisc ! Un couple ou célibataire qui bossent ... c'est 2x plus d'entrées de taxes et donc millions en plus !
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Hoplitès a écrit:
Aleykoum Salam oukhty
Tu dis vrai.
La situation actuelle n'est que les conséquences des choix passées des élites. Ces choix n'ont jamais été dans l'intérêt du peuple.
Maintenant fort de constat, libres à tout un chacun de choisir sa voie.
La liberté ici-bas n'existe pas vraiment. C'est un concept vague et fumeux pour endormir les gens.
L'authentique liberté puis la libération je dirais se trouve dans la spiritualité.
Avoir la foi sauve, être empêtré dans ce bas monde tue.
La liberté c'est le libre-arbitre.
Allah swt nous a laissés libres, Il n'a pas voulu que nous soyons des êtres faits pour effectuer telle tâche puis telle autre puis encore telle autre et ce sans fin pour espérer un jour toucher suffisamment d'argent pour profiter de ce que ce monde éphémère offre de satisfactions factices et autres réjouissances illusoires.
Il n'y a rien à attendre de ce bas monde.
Prends soin de toi,
Wa Salam Aleykoum Wa Rahmatullah Wa Barakatuh
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SamCoaching a écrit:
cela peut également être vu comme une forme de progrès. Les services de garde pour les enfants et les personnes âgées permettent aux parents et aux enfants de poursuivre une carrière et une vie sociale tout en s'occupant de leurs proches. Les politiques sociales telles que le RSA permettent à ceux qui ont connu des difficultés de subsister financièrement. Cependant, il est important que les individus restent conscients de leurs propres responsabilités et continuent à s'efforcer de prendre soin d'eux-mêmes et de leur famille autant que possible, tout en profitant des avantages que la société peut leur offrir.
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Rozenn* a écrit:
Le problème n'est pas le progrès social, mais ce que nous en faisons.
Et certaines conséquences négatives des changements sociétaux.
Par exemple la fragilisation voir la dislocation de la famille.
La mère qui n'est plus le pilier du foyer car aussi peu présente que le père.
La disparition des foyers intergénérationnels et la richesse que ça apportait du point de vue de l'éducation de l'âme, de l'entraide familiale, de la transmission des savoirs, savoirs faire et sagesse.
Le mariage à vie qui n'est plus la norme et les familles éclatées.
J'y vois plus de négatif que de positif, bien qu'individuellement ça puisse comporter des avantages voir être une nécessité.
Il y a un manque de conscience et de spiritualité dans notre façon d'appréhender la vie.
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