il était en train de laver la voiture de son père, le jour de la fête des Pères....
Nuit calme à La Courneuve après la mort d'un enfant
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PARIS (Reuters) - Aucun incident n'a été signalé dans la nuit à La Courneuve, où un enfant de 11 ans a été tué dimanche, vraisemblablement victime d'un règlement de comptes entre bandes rivales, a-t-on appris lundi de sources judiciaires.
Atteint de deux balles, Sidi-Ahmed Hammache, qui habitait avec sa famille la cité Balzac, est décédé dimanche après-midi à l'hôpital de Bobigny. Une autopsie devait être pratiquée lundi matin.
L'enquête de flagrance a été confiée au service départemental de police judiciaire (SDPJ) de Seine-Saint-Denis. Pour l'instant, l'affaire n'a donné lieu à aucune interpellation mais la brigade criminelle recherche un suspect décrit par plusieurs témoins comme le tireur.
Le SDPJ a procédé dimanche soir et lundi matin à plusieurs auditions. "Dans l'immédiat, rien ne permet de défendre la thèse présentée par les médias" d'une rivalité entre gangs, voire entre membres d'une même famille, a-t-on souligné de sources judiciaires.
La mort du jeune garçon a provoqué un vent de panique dans le quartier et conduit la préfecture à renforcer le dispositif policier pour la nuit afin de prévenir tout débordement.
Selon Le Parisien, qui cite des témoins, deux coups de feu ont été tirés dimanche en milieu d'après-midi devant la "barre" Balzac - un immeuble long comme une rue construit dans les années 60 et où résident plus de 1.200 personnes.
Sidi-Ahmed, descendu dans la cour pour laver la voiture familiale, aurait été touché au moment où il courait se mettre à l'abri dans un hall de l'immeuble.
"Ce quartier n'est pas une zone de non droit", plaide le maire de La Courneuve, Gilles Poux, dans Le Parisien.
"Tous les services publics sont présents, ce n'est pas un quartier exclu. Malheureusement cette dynamique n'est pas perçue par tout le monde et cela fait persister les problèmes de l'économie parallèle, les trafics... ça existe, il ne faut pas se voiler les yeux", déplore-t-il.
"La cité Balzac est un quartier difficile mais comme plein d'autres et pas plus que d'autres en Seine-Saint-Denis", reconnaît-on au tribunal de Bobigny.
C'est un drame!il n'y a pas de mots pour qualifier cette horreur!11 ans!c'était un bébé...il n'avait rien demandé à personne et cette mort atroce! Je pense en priorité à la famille..que dire dans ces moments de douleur intense qui puisse apaiser leur coeur? Les parents de cette cité vont vivre dans la peur et l'angoisse quotidienne. Espérons que l'auteur de ce crime sera arrêté et jugé à la hauteur de son acte.
Y a pas de mots pour expliquer ça, une mort gratuite, c'est tout simplement ecoeurant...en tt cas je souhaite bcp de courage à ses parents, Allah y rahmo ou hadam lagar.
C'est en voyant de tels drames qu'on peut remercier Hassan II rahimahou Allah, pour la politique qu'il a mené contre les armes a feu. Aujourd'hui a part les fusils de chasse il est je pense presque impossible de pouvoir acheter des armes a feu, et c'est tant mieux
c'est vraiment désolant de voir jusqu'où peut emmener la bêtise
Modifié 1 fois. Dernière modification le 21/06/05 09:21 par mar_1.
[b]"Quand le dernier arbre aura été abattu - Quand la dernière rivière aura été empoisonnée - Quand le dernier poisson aura été péché - Alors on saura que l'argent ne se mange pas."[/b] [i]Géronimo[/i]
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