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karim-sabyl a écrit:
L'islam n'a pas de terre,
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Murakuch a écrit:
pas besoin des serviteurs zélés sur terre ...
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le citoyen a écrit:Citation
karim-sabyl a écrit:
L'état marocain est au service du peuple marocain et non l'inverse.
Affirmatif, et c'est pour ça que l'Etat doit intervenir parce que le peuple a été insulté.
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karim-sabyl a écrit:
Le peuple n'a pas été insulté parce que lui qui a inventé ses blagues.
-- Ce sont les journalistes qui disent çà , s'ils ont des témoins prêts à dire devant la justice : oui cette blague est de moi, celle-ci encore oui.... ( référence de leurr SOURCES ), je pense que la ou les charges retenues seront amoindries....
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Bader-Eddin a écrit:
Quand on dit que ces blagues existaient toujours dans la société et que "Nichan" les a seulemnt classé ,pourquoi ne pas mettre les photos des couples mariés dans leurs lits tant qu'à faire!!
ça reste un pint de vu....
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a écrit:
Casablanca, jeudi 21 décembre 2006, 16h. Nous soussignés, journalistes de l'hebdomadaire Nichane, avons été notifiés d'une décision du Premier ministre marocain datée du 20 décembre 2006, et fondée sur l'article 66 du Code de la presse, selon les termes de laquelle : “à compter de la date de cette décision, l'hebdomadaire Nichane est interdit de diffusion sur la voie publique à l'échelle du territoire national”. Nous comprenons par cette formulation que Nichane est définitivement interdit de diffusion et donc de parution. Or, l'article 66 du code de la presse ne donne en aucun cas au Premier ministre le pouvoir d'interdire définitivement un titre de presse. Selon cet article, “le Premier ministre (… peut) interdire la diffusion sur la voie publique de toute publication contraire à la moralité publique”. Que le numéro de Nichane sur les “blagues” marocaines soit “contraire à la morale publique”, c'est à la justice de le déclarer, et un procès est en cours à ce propos. Mais considérer que le magazine Nichane est, à chaque numéro et par essence, potentiellement “contraire à la morale publique” est un précédent aussi dangereux qu'illégal, qui menace la profession journalistique dans son ensemble. Par conséquent, nous dénonçons cette mesure administrative arbitraire et attentatoire à la liberté de la presse, et réclamons son annulation.