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Il monte, il monte Bouhemou
18 février 2005 21:53




Il est d’une discrétion qui frôle la timidité. Et pourtant, le sourire ne le quitte jamais. Aimable et très sympathique, l’homme attire par sa courtoisie et son sens du contact. Lui, c’est Hassan Bouhemou, 37 ans, valeur sûre du nouveau système de gouvernance des affaires royales. Méconnu du grand public, mais reconnu par le monde des affaires pour son efficacité et son pragmatisme, il n’a jamais tenté d’afficher ses compétences ou de se prévaloir de son rang, pourtant important dans l’entourage royal.
Patron de Siger (anagramme de Regis, qui veut dire Roi en grec), holding qui regroupe toutes les affaires de la famille royale, il s’est vu confier une mission à la hauteur de ses ambitions: celle de gérer d’une façon moderne et rentable les avoirs de la plus haute autorité du pays. Responsabilité qui n’est pas à la portée de n’importe qui.
Délicate et complexe, elle est allée à Hassan Bouhemou, l’homme sur qui le Palais compte énormément pour que l’ONA devienne la locomotive de l’économie marocaine. C’est pourquoi il a été récemment nommé patron de la SNI (Société nationale d’investissement), qui contrôle depuis plus d’un an l’ONA, à l’issue d’une opération de rotation de participations.
Orchestrée par Siger, cette opération vise à organiser l’actionnariat de la holding, dont l’éparpillement avait causé dans le passé un manque de visibilité sur la stratégie du groupe. Maintenant que c’est réorganisé, il ne reste plus qu’à placer des hommes compétents et dignes de confiance pour mettre en application la nouvelle structure. Hassan Bouhemou était parmi ces hommes. Né à Rabat, dans une famille modeste, Hassan Bouhemou symbolise cette génération de jeunes quadras, issue du peuple, qui est appelée à façonner le nouveau mode de gouvernance des affaires. Pourtant, à ses débuts dans le secteur privé, rien ne prédestinait cet homme à la chevelure abondante et au visage long à faire partie de l’équipe de choc qui dirige actuellement les affaires économiques du Palais.
Après de brillantes études supérieures dans les deux écoles françaises les plus prestigieuses, Ecole des mines de Paris et l’Ecole Polytechnique, il entame sa carrière professionnelle dans la multinationale française Schlumberger où il a occupé pendant deux ans la fonction stratégique d’ingénieur en recherche et développement. En dépit de toutes les opportunités qui s’offraient à lui pour une belle carrière en France, il n’a pas résisté à la nostalgie du pays. Il estimait qu’il était de son devoir de participer au développement du pays où il est né, a été éduqué, et où il a puisé toutes les qualités humaines qui façonnent sa personnalité.
Il est de la trempe des jeunes managers à la fibre patriotique aussi enracinée que celle des combattants, cités dans l’histoire, qui ont sacrifié leurs vies pour le pays.
Pour lui, chacun, dans son domaine de travail ou de prédilection, doit apporter une pierre à l’édifice du Maroc. C’est ainsi qu’il a fait sa rentrée définitive au Maroc en 1992. Aussitôt arrivé, il reçoit plusieurs offres d’emploi de nombreuses entreprises qui veulent se l’arracher vu l’importance de ses diplômes et sa forte personnalité. Il choisit une banque de la place, la BMCI, dans laquelle il s’est vu confier la gestion du département des grandes entreprises. Remarqué par les concurrents, il a été débauché par Othman Benjelloun, patron du groupe BMCE, qui lui propose en 1994 le poste d’administrateur directeur général de la société Marfin, spécialisée dans la gestion d’actifs. A l’époque, le groupe BMCE avait grandement besoin d’hommes compétents comme Hassan Bouhemou pour réussir la construction du pôle «banque d’affaires».
Le passage par le groupe BMCE a été pour lui un formidable tremplin vers des horizons certes prometteurs, mais non moins difficiles. Quand il a été appelé en 2001 pour diriger la holding royale Siger, il savait que la tâche s’avèrerait périlleuse au point qu’il a pris du recul le temps de comprendre son nouvel entourage et sa nouvelle fonction.
En 2005, c’est la consécration. Sa nomination à la tête de la SNI augurait d’une large satisfaction de ses supérieurs au Palais, qui l’ont porté aux devants de la scène pour mieux lui permettre d’exprimer ses talents de manager chevronné et ambitieux.
Très proche de Mounir Majidi, son supérieur hiérarchique, il s’est vite adapté au monde très select de l’aristocratie marocaine, mais il n’a pas perdu un iota de l’humilité qu’on lui connaît depuis toujours. Modeste, très proche des gens, il n’hésite pas à venir en aide à ses amis, très nombreux d’ailleurs, à qui il voue une grande affection. Sensible de caractère mais ferme de tempérament, il est d’une rigueur implacable qui reflète l’homme qui veut réussir dans ses missions. Jusqu’à présent, il n’a pas déçu ceux qui lui ont fait confiance.




maroc-hebdo
:o
e
18 février 2005 22:16
Oui, et alors

On t'a payé pour lui faire de la pub? Mais franchement on s'en fou royalement.


Encore, un lech.... bot...

J'aimerais bien connaitre l'état des pauvres marocains, pas d'un riche... Et tant mieux, il le mérite peut-être?!
19 février 2005 04:33
comme d'habitude tu n'as rien compris.
:o
c
19 février 2005 11:34
toi tu veux pas connaitre l'etat des pauvres au maroc, tu veux juste denigrer le maroc. T'as dernierre visite a israel date de quand??
elcapone a écrit:
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> Oui, et alors
>
> On t'a payé pour lui faire de la pub? Mais
> franchement on s'en fou royalement.
>
>
> Encore, un lech.... bot...
>
> J'aimerais bien connaitre l'état des pauvres
> marocains, pas d'un riche... Et tant mieux, il le
> mérite peut-être?!


e
19 février 2005 11:59
d'avant hier pour israël, et d'hier pour le maroc, mon ami col_asu winking smiley

et toi ta visite du maroc date de quand?



e
19 février 2005 14:47
il est bon de rappeler à tous que ce forum n'est pas un outil du pouvoir politique marocain,,,,,,amir tu es libre de te plier en deux quand tu verras bouhemou, nous autres on s'en fiche royalement.......des bouhemous de ce monde.......mais si ce bouhemou, pour ne citer qu'un example, transformerai un quartier pauvre de casa ou rabat en qq annees ( on lui donne 5 ans ) en un quatier ou il fait bon vivre et elever une famille, on en fera notre prochain roi..........en attendant on veut pas entendre parler des bouhemous............
19 février 2005 18:45
je te rappele que ce n'est qu'un corier collé.

mais je vois que toi aussi tu n'as rien compris.
:o
e
19 février 2005 18:48
amir a écrit:
-------------------------------------------------------
> je te rappele que ce n'est qu'un corier collé.
>
> mais je vois que toi aussi tu n'as rien compris.
>
> --------------------------------------------------
> -


alors pedagogue pourqoui tu ne nous expliquerais pas ce que tu voulais dire?
c
19 février 2005 18:53
et ce benhamou il va faire quoi a votre avis; se remplir les fouilles comme ceux qui l ont precedes ,pourquoi changer ,tant qu on gagne on continue.
benhamou,sefrioui,benslimane ,laanigri ,basrimeme combat c est a celui qui pille le plus.
pauvre de nous on a vraiment pas merite ca ou plutot si ;puisque on leur fait de la pub en plus
l
20 février 2005 16:06
salam alikoum,

Merci bcq amir pour ton article c'est bien de montre que meme ds notre pays y'as des gens des familles modestes pouvent reussir pour moi c'est un symbole pour tt le monde avec l'etude en peux arrive, il ne faut pas dessuade les gens avec des remarque comme ca "on a rien a foutre" on va pas bouge comme ca il faut encourage tt le monde comme ca en aura des resultas, si on sous estime tt le monde les pays europeene de l'amerique font les reconcrire et puis tt le monde parts du maroc et on va laisse la miser


salam alikoum
c
20 février 2005 16:34
tout le monde peu arriver c est certain, mais le probleme c est une fois qu il est arrive qu est ce qu il devient, a mon avis comme ceux qui l ont precede.
et ne parles pas d etudes car il y a au maroc des milers de diplomes sans emplois
 
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