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Mohammed
O
20 janvier 2005 23:56
Mohammed

Paroles: Mourad Musset / Musique : OlivierLeite

As-tu eu le choix de ta naissance et là on s'avance avancé
Pour parler des problèmes de terriens immigrés
Dieu a créé la terre pour les hommes
La volonté était qu'ils apprennent à partager
De la Terre ils pouvaient bénéficier pour cultiver
Des hommes et des femmes s'ils voulaient procréer
Mais la simplicité s'est très très vite envolée
Et l'industrie est très très vite arrivée
Chasser tous les hommes qui n'accepteraient de s'installer
Et maintenant il faut des papiers pour traverser des contrées.

Je m'appelle Mohammed
Tout le monde il me connaisse
J'aurais pu m'appeler Joseph
Mais je m'appelle Mohammed

Puis les hommes se sont imaginés des codes pour s'identifier
Identifier tous ceux qui n'accepteraient de participer
A leurs lois votées par une assemblée bien connotée
Et maintenant il faut des papiers pour traverser des contrées
Contrôlées va chier !
Jamais je n'accepterai de servir un état que je n'ai pas demandé
Des lois que je n'veux surtout pas partager
La Terre des Dieux et quel qu'il soit n'appartient à aucun homme
Donc là il y a maldonne alors on s'la donne contre ça
On se donne mais ne se vend pas

Que tu sois blanc rose ou noir, ne nous intéresse pas
Pauvre ou riche, ne nous intéresse pas
D'Amérique ou Africa, ne nous intéresse pas
Musulman, juif, chrétien, cela ne nous fait rien
Pour nous le combat commence avec toi quand tu voudras

Je m'appelle Mohammed
On m'renvoie toujours au bled
Le lendemain tu me retrouves en Suède
Il n'y a pas de remède

En France, toutes ces familles déchirées
Et ces mères ? Jetées à coups de pieds d'un coté
Le père ? Renvoyé au pays par l'armée
Les enfants parqués, brisée la vie d'une famille
Comme si tout cela n'était qu'un jeu de billes
Mais où est passé notre hospitalité
Cette capacité d'accueillir des gens en difficulté

Des réfugiés exilés venus dans l'espoir d'avoir un métier bien payé
Pour envoyer chaque année de l'argent au deblé
Lorsque l'on sait qu'une paye d'un exilé fait vivre un village entier
A moi ça me donne de quoi penser, ne pouvons nous pas les aider ?
Les aider ? Ne voulons-nous nous en mêler ?
OK l'Etat n'a rien à y gagner
Donc l'état n'y est pas mêlé..

Je m'appelle Mohammed
Ecoutez moi quand je plaide
Pour vous aider je m'entraide
J'ai un passeport si cela vous aide


la rue ketanou

grinning smiley
f
21 janvier 2005 00:05
c koi la musique de cette chanson, car les paroles jaiment beaucoup tellemen elles son vraies
O
21 janvier 2005 00:18
fatiha60 a écrit:
-------------------------------------------------------
> c koi la musique de cette chanson, car les paroles
> jaiment beaucoup tellemen elles son vraies


je suis complétement d'accord avec toi...

grinning smiley
s
21 janvier 2005 00:20
Sur un air de la traviata !!!
siryne
O
21 janvier 2005 00:25
traviata ..... ???????? confused smiley
s
21 janvier 2005 00:36
T'aime pas ???
siryne
O
21 janvier 2005 00:38
la fiancée de l'eau


Morte de sécheresse
La fiancée de l'eau
A marié son sang
A celui du ruisseau
Prince range ton drap blanc

Prince range ton drap blanc
Il ne sera jamais
Le drapeau rougissant
De sa virginité
Regarde son honneur

Regarde son honneur
S'enfuir par la mort
Regarde triste voleur
L'absence dans son corps
Tu peux creuser la terre

Tu peux creuser la terre
Avec tous tes remords
Creuser jusqu'en enfer
Creuser, creuser encore
Non, tu n'auras rien d'elle

Non, tu n'auras rien d'elle
Il n'y a plus rien à prendre
Elle s'est jetée au ciel
Tu commences à comprendre
Que tout n'est pas à vendre


la rue ketanou

Le jour ou j'ai écouté ce morceaux ( la mélodie y fait beaucoup aussi...) pour la pemiére fois, il ma extirpé une larme...


grinning smiley
s
21 janvier 2005 00:48
C'etait sur un air de gnawa ?


Je plaisante !
siryne
s
21 janvier 2005 00:59

La Rue Kétanou
La chance




La chance est un train qui passe
Un pote qui te paie un verre
Un singe qui fait la grimace
Le coup de pied au derrière

{Pont:}
C'est le soleil qui se lève
C'est le soleil qui se couche
C'est avoir toujours des rêves
Même si ceux-là sont farouches

Bon, ta douce est partie
Bah peut-être qu'elle reviendra
Si elle revient pas tant pis
C'est qu'elle n'est pas faite pour toi

T'as de la chance qu'elle ait compris
Bientôt tu le comprendras
Quand dans un autre lit
La chance te retentera

{Refrain:}
Je comprends que ça va pas
Mais ne reste pas tout seul
La chance ne sourit pas
A ceux qui lui font la gueule
La chance elle aime pas ça !
Les regards d'épagnol

La chance elle est comme ça,
Elle aime qu'on s'occupe d'elle
Qu'on lui tende les bras
Qu'on lui dise qu'elle est belle

Qu'elle soit trèfle à quatre feuilles
Ou de l'or dans la rivière
La chance elle se cueille
Avec les yeux grands ouverts

C'était la femme de ta vie
Depuis environ six mois
Mais à quinze ans et demi
On change d'avis quelques fois

Allons fêter ton chagrin
Ton premier chagrin d'amour
Qu'il est beau le vilain
Faisons vite il sera court !

{au Refrain}

Y'en a pas loin d'ici
Qui n'ont plus que l'humilité
D'avoir la chance d'être en vie
Et font tout pour le rester

Si la chance elle se souhaite
Que nos chansons soient des prières
Et que le reste reste le reste
Sinon on s'met en colère

Allez viens chanter tout ça
Tu vas voir ça fait du bien
C'est pas les hiphiphiphoura
Juste le sourire qui revient



siryne
O
21 janvier 2005 01:00
Magnifique syrine


grinning smiley

O
21 janvier 2005 01:04
la rue kétanou

C'est pas nous qui sommes à la rue
C'est la rue kétanou
Nao son en que son da rua
É a rua que é nossa

Crevons la sourde oreille
En avant la musique
Chauffe, chauffe, chauffe le soleil
Souffle un vent de panique

Gagnons les causes perdues
Déployons notre jeunesse
Sa fougue et son chahut
Sa rage et sa tendresse

Abracadabra le miracle
On va transformer cette salle
En grande scène de spectacle
Mesdames et messieurs, on joue pour vous ce soir

Entrée libre pour tout le monde
Chacun aura sa place
Là, dans la dernière ronde
Sans première ni deuxième classe
Refrain

Les gosses sur les épaules
Les filles par la main
On s'ra triste, on s'ra drôle
Partagez notre chemin


Et vive la bohème
Et vive les voyages
Leurs réponses, leurs problèmes
Peut-être leurs dérapages


Nous couchons si souvent
Avec la belle étoile
Son amour est vivant
Gonfle notre grande voile

Et grave dans notre voix
L'empreinte des gouttes de pluie
La chaleur et le froid
L'enfer, le paradis


LA RUE KETANOU
s
21 janvier 2005 01:11

La Rue Kétanou
Le clandestin



Il vagabonde et s'enveloppe
Dans les lumières de la ville
Des vitrines, des bars, des sex shops
Sans papiers, il se faufile

Il s'enlise dans un bain de foule
Cachette mouvante qui lui fait peur
Parfois il perd pied et il coule
Dans la folie des profondeurs

Il s'enfonce dans une langue bizarre
Qui bourdonne et fourmille de voix
Il se cogne contre des regards
Il est tellement maladroit

Prudemment, il planque son nom
Il ne veut pas le gaspiller
Il n'utilise plus qu'un surnom
Deux ou trois fausses identités

{Refrain:}
Clandestinement dans Paris
Il regonfle tout son courage
Il sait le secret écrit
Entre les lignes de son visage

Discrètement sans faire de bruit
Il cherche quelque chose à manger
Un abri où passer la nuit
Un robinet pour se laver

Il s'inquiète devant ces ivrognes
Qui couchent dans les grottes de la rue
Eux, ils n'ont plus de langue, ils grognent
Ils perdent la tête et ils puent

Il s'inquiète devant cet hiver
Le gel et les flocons de neige
Et puis devant un autre hiver
Devant d'autres flocons de neige

Il s'inquiète devant la police
Qui contrôle les gens de sa race
Il se souvient de la milice
Et il regarde ses godasses

Il se dit que ça va bien
Qu'il s'est échappé de la guerre
Puis il glisse au fond de ses mains
Une larme, une prière

siryne
O
21 janvier 2005 01:15
Tu es trop forte...

grinning smiley


Chouf la gazelle

Paroles : Florent Vintrigner - Olivier Leite
Musique : Olivier Leite

Chouf la gazelle sur le trottoir d'en face
Ça y est c'est elle, elle elle prend toute la place
Dans mon coeur qui s'enflamme
Au feu ! C'est une pyromane
Ma lune de miel elle a dû dégringoler
Du septième ciel, il faut la raccompagner
Je connais le chemin, je prends cette mission en main
Mademoiselle pardonnez-moi cette audace
Emotionnelle, vous émanez tant de grâce
Tant d'azur, tant d'éclaircies, tant de soleil, tant de paradis
Je n'ai pu résister à la folie de vous chanter
Une ritournelle mais vous pouvez me chasser
D'un coup d'ombrelle, d'un coup d'oeil, d'un coup de pied
Je vois bien que vous vous méfiez, c'est pas grave, je le sais
Tant de mufles, tant de goujats ont dû essayer avant moi
Leur carrousel, leur manège autour de vous
Douce cruelle, juste un petit rendez-vous
Petit, tout tout petit, je vous en prie, dites-moi " oui "
Ou alors " oui ", " OUI ".....

Chouf la gazelle

La rue ketanou
s
21 janvier 2005 01:20
Bonne nuit , mr l'Ogre !


La Rue Kétanou
Exil


Les oiseaux qui voyagent en cage
Recroquevillent leur amplitude
Ils traînent derrière eux leur paquetage
Par moins cent mille mètres d'altitude

L'horizon est un inconnu
A qui ils demanderont asile
Ils espèrent être les bienvenus
Dans le costume de leur exil

{Refrain:}
Et ils portent au fond de leur coeur
Une poignée de sable du désert
Ils sentent souvent son odeur
En souvenir d'un bord de terre

Les oiseaux qui voyagent en cage
Chantent dans leur tête des légendes
Avec de grands chevaux sauvages
Qui repeuplent les no man's land

Ils chantent dans leur tête jusqu'au jour
Où ils pourront à haute voix
Annoncer le compte à rebours
De l'explosion de leur joie

{au Refrain}

Les oiseaux qui voyagent en cage
Soulèveront un jour la terre
Pour qu'elle dépasse les nuages
De brume, de feu et de poussière

Et qu'il ne reste que le soleil
Et sa caresse sur leur peau
Et qu'il ne reste que le soleil
Et sa caresse sur leur peau

siryne
O
21 janvier 2005 01:23
merci à toi aussi M'dame syrine


où je vais

Paroles : Florent Vintrigner-Loïc Lantoine-Mourad Musset
Musique : Florent Vintrigner


Je ne sais pas où je vais, oh ça je l'ai jamais bien su

Mais si jamais je le savais, je crois bien que je n'irai plus

Aujourd'hui je t'aime, oui mais demain, on ne peut jamais être sûr de rien

On va toujours seul sur la route, je continue coûte que coûte


Et puis une route en croise une autre et puis une autre et encore une autre

Pourvu que la tienne, oh mon amour, croise la mienne tous les jours


Et oui je suis une cigale, t'inquiète fourmi j'crêve pas la dalle

La musique c'est un bon gagne-pain, où que je sois, je ne manque de rien

Je chante toujours de quoi grailler, de quoi trinquer, de quoi causer


Un jour ici, l'autre là-bas, la SNCF ne m'aura pas


Et toi qui n'a qu'une seule adresse au pauvre si tu veux j'ten laisse


Mais échange de bons procédés, si tu veux bien m'héberger


Ben je serai le bienvenu, ben nous serons les bienvenus



LA RUE KETANOU

O
21 janvier 2005 01:29
Samuel, et Jonas,
ont quitté le pays.
Fatima et Marie,
ont sacrifié leur vie.
Parce qu'ils ont voulu,
s'en remettre à demain.
Dessiner l'avenir le brandir de leurs mains.

Continuez la mémoire héritée des ancêtres,
pour qu'on ne voit jamais sa terre... disparaître.
Cette terre... poussière... fortune du manant
la monnaie des colons,
la fierté de l'Orient.

Si la vie m'a mis là,
c'est qu'elle doit avoir ma peau !

Cette terre déserte,
qui baigna dans le sang.
Lorsque les Blancs entrèrent
au grès des quatre vents.
Cette terre défendue,
maintes et maintes fois reprise,
que nos pères ont tenue,
quand le monde lâchait prise.

{Refrain:}
Si la vie m'a mis là,
c'est qu'elle doit vouloir ma peau ! (inch Allah)
Si la vie m'a mis là,
c'est qu'elle doit avoir ma peau !

Quand les jets de nos pierres,
face aux canons des chars,
étaient murs de poussière
nous privant de victoire.
Un peuple délogé,
isolé de son sol,
qui voudra rattraper
l'histoire en son envol.

Ici, la vie, la mort, ont le même visage
Et l'avenir se dessine entre ruines et carnage.
Que les pages du Coran,
explosent de lumière.
Je vous implore, Allah,
ils ont volé ma terre.

{au Refrain}

Je vous envoie l'espoir,
inondé de louanges.
Ils voient en vous démon,
je vous sais être un ange.
Nourri par les prophètes,
les plus impitoyables,
qui gravent sur nos cœur,
les cendres du diable.

Moi, qui n'ai que ma vie
à offrir en cadeau,
je ferai de mon âme,
le plus grand des oiseaux.
Pousser par le soleil,
(libérant l'horizon)
j'userai de ma vie,
comme l'un de leurs canons.

{au Refrain}

Complainte de nos femmes,
espoir d'enfant martyrs,
qui jettent dans les flammes des lambeaux d'avenir.
Blessures... trop profondes,
pour être pansées,
comme un appel au monde
ou à la liberté.

Regarde de sa main
ce que l'enfant dessine {x5}
le monde de demain
avec la Palestine .

Si la vie m'a mis la c'est qu'elle doit avoir ma peau.

TRYO

[www.tryo.com]
O
21 janvier 2005 09:24
bonhomme de chien

Paroles : Marc Barbier / Musique : Mourad Musset

Refrain
Il vivote dans les rues les squares et les jardins
Marchant regard éperdu, il fait son bonhomme de chien

Et oh pas de carrière pour l'avenir car hier n'est plus à venir
Il vit le moment présent, après l'hiver vient le printemps
Il gagne un peu d'argent, oh pas beaucoup évidemment
Juste assez pour ne pas mourir, le temps d'avoir des souvenirs
Il croit pas trop en Dieu et puis même si il y croyait
C'est déjà dur seul à seul alors pensez seul à deux

Refrain

On lit sur son visage oh la jeunesse qui se ride
Au-dessus de ses yeux, ses cheveux se débrident
Il a l'âge des grands nuages qui ne tiennent pas en cage

Allant parcourant d'air vents du large vent arrière
Mais à grands coups d'éclairs l'orage blesse le nuage
La pluie saigne très claire les larmes de son grand âge
Il est libre à son compte prenant les jours comme acompte
Se nourrissant de pommes, oh le joli freedom

Refrain

Oh c'est en été que j'ai lu dans une rubrique aux faits divers
Qu'un vieillard mourut. d'un coup de foudre révolu
Il est léger comme l'air il n'a plus soif à sa faim
Ma chanson n'a plus d'espoir, il n'y a pas de mots sans fin
Notre chanson n'a plus d'espoir, il n'y a pas de mots sans fin

Refrain
Il vivote dans les rues les squares et les jardins
Marchant regard éperdu, il fait son fantôme de chemin


s
21 janvier 2005 09:42
Salut mr l'Ogre , bonne journée , bye ,

La Rue Kétanou
Les mots



Approchez, approchez Mesdames et Messieurs
Car aujourd'hui grande vente aux enchères
Dans quelques instants mes deux jeunes apprentis saltimbanques
Vont vous présentationner des ... mots

{Refrain:}
Un mot pour tous, tous pour un mot
Un mot pour tous, tous pour un mot

Des gros mots pour les grossistes
Des maux de tête pour les charlatans
Des jeux de mots pour les artistes
Des mots d'amour pour les amants
Des mots à mots pour les copieurs
Des mots pour mots pour les cafteurs
Des mots savants pour les emmerdeurs
Des mobylettes pour les voleurs

Aujourd'hui grande vente aux enchères
On achète des mots d'occasion
Des mots à la page et pas chers
Et puis des mots de collection

{au Refrain}

Des morues pour les poissonniers
Et des mochetés pour les pas bien beaux
Des mots perdus pour les paumés
Des mots en l'air pour les oiseaux
Des mots de passe pour les méfiants
Et des mots clés pour les prisonniers
Des mots pour rire pour les enfants
Des mots tabous pour l'taboulé

{au Refrain}

Des mots croisés pour les retraités
Et des petits mots pour les béguins
Des mots d'ordre pour les ordonnés
Des mots fléchés pour les Indiens
Des momies pour les pyramides
Des demi-mots pour les demi-portions
Des mots courants pour les rapides
Et le mot de la fin pour la chanson

siryne
O
21 janvier 2005 09:57
Bonjour syrine

AHAHAHA...il est terrible ce morceau trés marrant,

C'est un bonheur de ce reveiller le matin en akoustikent " La rue Ketanou "...avant d'aller bossé....

Tu te reveille du bon pied grinning smiley

Bonne journée à toi et pas d'éxé......;grinning smiley


sur les chemins de la bohême

Paroles : Florent Vintrigner - Olivier Leite
Musique : Olivier Leite

Sur les chemins de la bohême
J'ai croisé le bout du monde
Des p'tits matins au café crème
Où je taxais ma première blonde
Avant de partir le pouce en l'air
A l'autre bout du bout du monde

Sur les chemins de la bohême
J'ai croisé la neige et le soleil
Une fille qui m'a dit je t'aime
Un soir où elle n'avait pas sommeil
Avant de partir le coeur en l'air
A l'autre bout du bout du monde

Sur les chemins de la bohême
J'ai parlé des langues étrangères
Mes pas poursuivaient un poême
Je me suis lavé à l'eau de mer
Avant de chanter des mots en l'air
Sur des musiques vagabondes

Sur les chemins de la bohême
On m'a chouravé ma guitare
Un viel homme m'a donné la sienne
En me racontant son histoire
Et je lui dédierai cet air
A l'autre bout du bout du monde


LA rue Ketanou;

Ils sont en concert au cabaret sauvage " paris",


grinning smiley

Allezzzzz Zouuuuuu....sur les chemins de la bohême je me rend de ce pa au boulot...winking smiley
t
21 janvier 2005 10:09
ogre : un nouveau romantik est né lol
Emission spécial MRE
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