McDonald's Exploite Des Enfants Chinois > La majorité des 400 travailleurs qui produisent les jeux destinés aux > Joyeux Repas (Happy Meals dans les restaurants français) des Mac Donald's > n'ont pas encore 14 ans. La journée de travail est de 16 heures tous les > jours de la semaine et ils dorment entassés dans des chambres tout près de > la manufacture. > Quelques chiffres: > Cette fabrique a été découverte par le South China Morning Post grâce à > une information du Comité Industriel Chrétien dont le siège est à Hong > Kong. La fabrique City Toys est située aux environs de Shenzhen dans le > sud de la Chine. Les jeunes ont seulement deux jours libres par mois mais > ils ne peuvent sortir de la zone parce qu'il n'y a aucun transport vers la > ville. > > Les dortoirs ont une surface de 18 mètres carrés, sans services sanitaires > et les lits n'ont pas de matelas. Quinze jeunes dorment dans chaque pièce. > Une jeune travailleuse a raconté au journaliste qu'elle n'avait pas encore > 14 ans mais qu'elle avait reçu de l'aide pour falsifier ses documents > d'identité. > > Le plus étrange selon le représentant du syndicat c'est que tous dans la > région savent que ces jeunes falsifient les documents pour augmenter leur > âge, même si on peut voir facilement qu'ils n'ont pas 12 ans. Le > divertissement dans les temps libres consiste en des films sales et le > contact avec les parents est difficile puisqu'il n'y a qu'un téléphone > généralement brisé. > > Les jeunes travailleurs de City Toys racontent que les symptômes les plus > communs sont: les crampes, les douleurs à la poitrine, les maux d'estomac > et de tête, des étourdissements permanents de même que des infections > bronco-pulmonaires, des diarrhées et des parasites. > >
"Les jours s'allongent et notre vie rétrécie bien heureux seront ceux qui ne tombent pas dans l'oubli"
Triste réalité, pour ajouter ma pierre à l'édifice, il faut savoir, que les Etats Unis d'amrérique ( les ricains ) ont mis bcp de temps avant de ratifié la convention internationale des droits de l'enfant.
Aujourd'hui les ricains ont signé la convention mais il ne sont pas d'accord sur l'ensemble des textes de loi de la convention.
Selon l'Organisation internationale du travail, 246 millions d'enfants âgés de 5 à 17 ans, soit un sur six dans le monde, travaillent, et 75 % d'entre eux ont des tâches dangereuses à accomplir.
Mettre un terme au travail des enfants dans le monde n'est pas seulement un impératif moral, mais aussi un enjeu économique, estime l'Organisation internationale du travail (OIT). Dans un rapport rendu public mercredi 4 février, cette agence des Nations unies estime que l'élimination du travail des enfants et leur envoi à l'école généreraient à long terme sept fois plus de bénéfices que de coûts, soit 5 100 milliards de dollars (4 110 milliards d'euros), pour les pays pauvres.
Cette étude - une première dans son genre - précise que le travail des enfants peut être éliminé par l'éducation universelle d'ici à 2020 pour un coût estimé à 760 milliards de dollars (605 milliards d'euros).
Pendant les cinq premières années de l'abolition du travail des enfants, les coûts excéderaient certainement les bénéfices. Cette tendance s'inverserait ensuite et, après seize ans, les bénéfices pourraient atteindre environ 60 milliards de dollars (48 milliards d'euros) par an. "Ce qui est une bonne politique est aussi une bonne politique économique", a déclaré M, Juan Somavia, directeur général du BIT, dans un communiqué présentant l'étude. "Eliminer le travail des enfants apportera un énorme retour sur investissment et aura un impact inestimable sur la vie des enfants et de leurs familles."
Selon cette étude, le coût annuel pour l'élimination du travail des enfants, estimé à 95 milliards de dollars (76 milliards d'euros), représenterait seulement 20 % des dépenses militaires des pays en voix de développement ou en transition.
Une fois l'élimination du travail des enfant atteint, les bénéfices excéderaient globalement les coûts dans un rapport de 6,7 à 1. Certaines régions tireraient plus de bénéfices que d'autres. En Afrique du Nord et au Moyen-Orient, le rapport serait de 8,4 à 1, alors qu'il serait de 5,2 à 1 en Afrique subsaharienne. En Asie, il serait de 7,2 à 1 et en Amérique latine de 5,3 à 1.
Les familles pauvres qui vivent aussi sur les salaires de leur enfant souffriront à court terme de n'importe quel programme pour abolir le travail des enfants. A long terme, la plupart d'entre elles, selon cette étude, y gagneraient, un enfant instruit ayant un potentiel bien plus élevé de mieux gagner sa vie qu'un enfant n'ayant pas été à l'école.
Selon l'OIT, chaque année supplémentaire d'école pour un enfant jusqu'à l'âge de 14 ans aboutit à un gain supplémentaire de 11 % par an pour les futurs salariés.
L'étude prévoit un soutien financier aux ménages qui envoient leurs enfants à l'école, suggérant une forme de transfert de bénéfice, fondée sur un programme réussi au Brésil, qui verse 60 à 80 % de la valeur de travail d'un enfant aux familles pauvres. L'étude montre également que les améliorations dans le domaine de la santé, avec l'élimination du travail des enfants, apporteraient des bénéfices économiques tangibles.
L'exploitation de l'enfance se fait le plus souvent 95 % dans les pays pauvres ! Comme ça les grands, au lieu de travailler, ils vont au café ! Dans ma ville de Tanger, beaucoup d'enfants travaillent et tout le monde trouve cela NORMAL . Drôle de monde pourri .
OAK BROOK, Illinois (AP) - Jim Cantalupo, le PDG de McDonald's qui s'est employé l'an dernier à redonner du lustre à la chaîne de restauration rapide, est décédé tôt lundi à l'âge de 60 ans.
Selon Jim McKenna, directeur du conseil d'administration, Jim Cantalupo a succombé à une crise cardiaque à Orlando, en Floride, où se tenait une convention de McDonald's.
"Jim était un homme brillant", qui a fait preuve "d'énergie et de passion pour son travail. Il a imprimé une marque indélébile sur le système McDonald's", a-t-il souligné.
Jim Cantalupo, alors à la retraite, avait été nommé PDG en janvier 2003 à la suite d'un important remaniement à la direction. Il avait travaillé pour McDonald's pendant 28 ans. AP