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Mise en garde contre le soufisme Al-Imâm Ibn al-Djawzî
4 janvier 2014 21:26
Je condamne le soufisme pour des pratiques que la « Charî’ah » désapprouve :


Al-Imâm Ibn al-Djawzî


Ibn ’Aqîl (rahimahullâh) a dit :

Je condamne le soufisme [1] pour des pratiques que la « Charî’ah » désapprouve :
Ils ont fondé des endroits de rassemblement d’inactivité qu’ils appellent « al-Arbita », qu’ils ont remplacé aux mosquées. Ce ne sont ni des mosquées ni des demeures, ni des compartiments. Ils s’y sont installés plutôt que de gagner leur vie et y mènent une vie bestiale en mangeant, buvant, dansant et chantant.

Ils raccommodent leurs vêtements avec des morceaux de tissu en soie colorés, ce qui a attiré les masses. Ils ont séduit les femmes et les jeunes garçons en faisant des dessins sur leurs vêtements. Quand ils pénètrent dans une demeure où se trouvent des femmes, ils n’en ressortent sans avoir perverti les cœurs des femmes contre leur mari. Ils acceptent la nourriture et les dons de la part des oppresseurs, des pervers et des voleurs parmi les collecteurs d’impôts, les soldats et les douaniers. Ils vont en compagnie de beaux garçons aux « Samâ’at » [lieu où ils écoutent les chants et les mélodies]. Ils les amènent dans des rassemblements illuminés par des bougies et se mêlent aux femmes étrangères sous prétexte de les faire habiller d’une « Khirqa » [L’habit de laine du soufi par excellence] et partage l’habit de toute personne en entrant en transe.

Ils appellent la réjouissance musicale extase [Wajd], l’invocation temps [Waqt] et le partage des habits des gens règle [Houkm]. Ils ne sortent d’un lieu où ils ont été invités qu’après avoir imposé une autre invitation et disent que c’est une obligation. Croire à une telle chose est mécréance [Koufr] et sa pratique est perversité [Fisq].

Les soufis croient que chanter au rythme des barres de fer est une forme d’adoration, ainsi qu’il nous est parvenu de leur part que l’invocation lors d’un chant ou d’un groupe est exaucée, mais une telle croyance est aussi mécréance, puisque quiconque croit qu’il peut se rapprocher d’ALLâh via des rites qui sont déconseillés [Makrouh] ou illicite [harâm] devient mécréant [kâfir]. Car de telles conduites sont considérées par les savants comme illicites ou déconseillées.

En outre, les Soufîs abandonnent leur volonté à leurs gourous en disant qu’on ne peut s’opposer à leurs décisions en quoi que ce soit. Ainsi, le SHeikh se trouve au-dessus de tenir des propos blasphématoires de mécréance et d’égarement [dhallâl] qu’ils appellent extase et de faire des actes reconnus par la religion comme perversion.

S’il embrasse un jeune garçon, on dit que c’est une miséricorde, s’il se tient à l’écart avec une femme étrangère, on dit que c’est sa fille qui porte « al-Khirqa » et s’il attribue un habit à une personne autre que son propriétaire et sans accord de ce dernier, on dit que c’est la règle de « al-Khirqa ».
[...]

Les Soufîs sont les premiers à avoir de termes comme « Ceci est la Loi [Charî’a] et cela est la réalité [Haqîqa] », mais cela est une chose inacceptable. La Loi est ce qu’Allâh a prescrit pour le bien de l’humanité et de toute affirmation au-delà, relève dans les esprits de l’inspiration des « Chayâtine » [Satan]. Toute personne recherchant la vérité [haqq] en dehors de la Loi divine est en égarée [maghrour] et trompée [makhdou’]. Quand ils entendent quelqu’un rapporter un hadîth du Prophète (sallallahu ’alayhi wa sallam), ils disent : « Les pauvres ! Ils prennent leur hadîth d’un mort et vers un mort. Tandis que nous prenons le nôtre du Tout Vivant, l’Immortel [al-ladhî lâ yamût] ».

Si quelqu’un dit : « Mon père m’a dit d’après mon grand-père », on lui dira : « Mon cœur m’a dit d’après mon Seigneur ». Ainsi, ils se sont égarés et ont détourné beaucoup de faibles d’esprit, en inventant des légendes et en dépensant pour cela de l’argent.

En réalité, les Jurisconsultes [Fuqahâ] ont le même rôle que les médecins. L’argent dépensé pour eux est comme faite pour le traitement, alors que l’argent dépensé pour tels imposteurs est comme la dépense faite pour les chanteuses [al-moughaniyât]. La haine des soufis contre les Jurisconsultes [savants musulmans] est une grande mécréance [Zandaqa] car ces derniers les mettent en garde contre leur égarement [dhallâlahoum] et leur perversité [fassiqahoum]. Certes, la vérité [al-haqq] pèse lourd au même titre que la Zakât. Il est de ce fait plus facile pour certains de dépenser de l’argent pour les chanteuses et les poètes pour leurs louanges. Ils détestent également les Gens du Hadîth [Ashab al-Hadîth]
[...]

Ils n’y a pas plus dangereux pour la « Charî’ah » [Loi Divine] que les gens du « Kalâm » [Rhétorique] et les Soufîs. Les premiers corrompent la foi des gens par des doutes [Choubouhât] dictés par leurs esprits et les derniers pervertissent les actes des gens et cherchent à démolir les fondements et les commandements divins. Ils préfèrent le chômage et l’écoute des chansons.

Quant aux premières générations [Salaf], elles n’étaient pas comme eux, au contraire, elles étaient soumises dans leur dogme [’Aqîda] et étaient actives et consciencieuses.

Mon conseille pour mes frères, c’est de ne pas se faire influencer par les paroles des gens du « Kallâm », et de ne pas prêter l’oreille aux simplicités des Soufîs. Travailler pour gagner sa vie est meilleure que le chômage du Soufisme, et s’attacher aux vérités vaut mieux que d’approfondir des choses copiées à la manière des faux dévots. Ceci étant, nous constatons que le but des gens du Kalâm, est de semer le doute dans les esprits, et celui des Soufîs est de pervertir [...].[2]



Notes


[1] Les ’Ulémas ont dit que l’Islâm n’a pas connu le nom de « Soufîsme », ni à l’époque du Prophète, ni à celle de ses compagnons et moins encore à l’époque de ceux qui sont venus après les compagnons du Prophète (sallallahu ’alayhi wa sallam). L’apparition de ce phénomène a concordé avec l’apparition d’un groupe d’ascètes qui portaient des habits en « Soûf » [laine en arabe], d’où leur surnom de « Soufî ». Certains affirment également que leur nom vient du mot « Soufiyyâh » qui signifie sagesse en grec et non du mot « safâ » qui signifie en arabe la pureté comme certains l’affirment, car l’adjectif dérivé du « Safâ » est « Safâ-î » et nom « Soufî ». Il regroupe plusieurs confréries telles que le Tîdjâniyyah, la Qâdarîyyah, la nakhchabandîyyah, la Châdhalîyyah, la Rifâ’îyyah, etc.

Ibn Taymiyyah (rahimahullâh) de son côté dit : « Les musulmans des premières générations [Salaf] appelaient « al-Qurrâ’ » les hommes de religions et de science ; ce terme rejoint donc à la fois « al-’Ulémâ » et « an-Nussâk ». Puis, à ensuite, le nom « as-Soûfiyyah et Fuqarrâ’ ». [Kitâb « Al-Furqân bayna Awliyâ’ ar-Rahmân wa Awliyâ’ ach-Chaytân » - p.129].


[2] Kitâb « Talbîs Iblîs » de Ibn al-Djawzî, p.384-385



Modifié 1 fois. Dernière modification le 04/01/14 21:28 par rosiles.
H
4 janvier 2014 21:34
Les souffis seraient des chômeurs , n importe quoi vraiment. Du délire wahabiste encore.

Arrêtez d assassiner les gens et de takfiriser les musulmans. Vous massacrez les savants un à un pour assoir votre idéologie sectaire wahabite et meurtrière auprés de la population.

Que dieu nous preserve de votre hérésie Ö Khawarij , le prophète salahou alayhi wa salam a dit de vous que vous êtes la pire des sédition et la corne du diable apparu dans le Nejd.
b
4 janvier 2014 21:36
salam alikoum. Le soufisme est la spiritualité en Islam
et vous etes tel des satans qui attaqué des anges
Votre méthode ne marchera jamais, vous ne faites du mal qu'à vous meme
la lumière de Awliya Allah dans le soufisme brille par elle meme, que vous le vouliez ou pas
6 janvier 2014 15:33
La face cachée du soufisme (partie 1)


Voir : Kashf Zaïf e-Tasawwaf wa bayân Haqîqatihî wa Hâl Hamlatihî de Sheïkh Rabî’ ibn Hâdî el Madkhalî.



Que les Prières et les Salutations d’Allah soient sur notre Prophète Mohammed ainsi que sur sa famille et tous ses Compagnons !



Si quelqu’un adhère au Tasawwuf au début du jour, il ne faudra pas attendre le soir avant qu’il est perdu la tête. (L’Imam Shâfi’î).



Le soufisme a vu le jour à l’époque d’el Hasan el Basrî et de Mohammed ibn Sîrîn qui s’opposèrent à ses premiers adeptes. Cependant, les premiers écrits soufis, furent composés, à ma connaissance, par el Hârith ibn Asad el Mahâsibî, l’adepte de Yazîd ibn Hârûn, l’un des Successeurs des Successeurs des Compagnons, de la dernière génération de « l’âge d’or » des musulmans. El Mahâsibî est le contemporain de l’Imam Ahmed et des grandes références « orthodoxes ». Il composa un ouvrage sur le soufisme que les traditionnalistes à l’image de l’Imam érudit Abû Zur’a condamnèrent.



Le Hâfizh e-Dhahabî souligne à ce sujet : « L’érudit Sa’îd ibn ‘Amr el Barda’î a dit : J’étais présent lorsqu’Abû Zu’ra fut interrogé au sujet d’el Hârith el Mahâsibî et de ses ouvrages. Ce dernier répondit : « Méfie-toi de ses livres ! Ce sont des livres innovateurs et égarés. Attache-toi plutôt aux annales qui te contenteront amplement.

- Ces livres offrent certaines morales, lui fit-on remarquer !

- Les morales qui ne sont pas dans le Livre d’Allah, tu ne les trouveras pas dans ces livres. Vous a-t-on déjà rapporté que Sufiân, Mâlik et el Awzâ’î ont écrit sur les inspirations et les sensations de l’esprit (el Khatarât wa el Waswâs) ? Comment les gens se précipitent-ils aussi vite vers l’innovation ! »



El Hârith est mort en deux cents quarante trois de l’Hégire, mais que valent les générations suivantes par rapport à lui, que dirait Abû Zu’ra s’il avait lu el Qawt d’Abû Tâlib ! Que valent les nouveaux écrits par rapport à el Qawt, que dirait-il s’il avait lu Bahjat el Asrârd’Abû Jahdham et Haqâiq e-Tafsîr d’e-Sulamî ! Il aurait certainement perdu la tête. Que dirait-il s’il avait lu Abû Hâmid e-Tûsî (el Ghazâlî) avec tous les Hadiths inventés que contient un livre comme el ihyâ ! Que dirait-il s’il avait lu el Ghunya du Sheïkh ‘Abd el Qâdir (el Jilânî) ! Que dirait-il s’il avait lu Fusûs el Hikam et el Futuhât e-Makkiya ! Comme el Hârith était le porte-parole de la secte à son époque, il avait pour contemporains mille Imam traditionnistes à l’instar d’Ahmed ibn Hanbal et d’ibn Râhawaïh. Cependant, quand plus tard les références traditionalistes furent ibn e-Dakhmîsî et ibn Shuhâna, les chefs de file des initiés (ou les pôles de la connaissance) s’incarnaient en les personnes d’ibn ‘Arabî et d’ibn Sib’în. Qu’Allah nous accorde Son Pardon et Sa Clémence ! »[1]



Ibn el Jawzî affirme quant à lui, à travers les paroles d’Abû Ya’qûb Ishâq ibn Hayya, dont il rapporte la chaîne narrative : « J’ai entendu dire Ahmed ibn Hanbal qui fut interrogé au sujet des Khatarât et du Waswâs : « Les Compagnons n’en ont jamais parlé ni leurs Successeurs (Tâbi’ûn). Nous avons rapporté ce genre de chose au début de notre ouvrage, de la part de Dhû e-Nûn. » Nous avons rapporté également qu’Ahmed ibn Hanbal a déclaré à l’un de ses amis, après avoir entendu certaines paroles d’el Hârith el Mahâsibî : « Tu ne dois pas selon moi t’asseoir avec ces gens-là. » »

Ibn el Jawzî poursuit : « El Khallâl relate dans son recueil e-Sunna qu’Ahmed ibn Hanbal a dit : « Mettez fermement en garde contre el Hârith. El Hârith est à la tête de tous les problèmes (liés à l’affaire de Jahm ibn Safwân). Il a réussi en effet à faire adhérer un tel et un tel au discours de Jahm. Il reste un refuge pour les adeptes du Kalâm. El Hârith est comme un lion à l’affut de sa victime. »[2]



Dans un autre passage, ibn el Jawzî s’attaque à Abû Na’îm pour avoir osé compter les Compagnons au nombre des soufis. Il souligne en effet : « Ensuite, il y a eu Abû Na’îm el Asbahânî qui leur a consacré son livre el Huliya. Dans ses pages, il attribue aux soufis des choses complètement intolérables. Sans la moindre gêne, il compte dans leurs rangs, certains élites des Compagnons tels qu’Abû Bakr, ‘Umar, ‘Uthmân, et ‘Alî. Il leur impute des annales invraisemblables. Il recense notamment dans leurs rangs, el Qâdhî Shuraïh, el Hasan el Basrî, Sufiân e-Thawrî, et Ahmed ibn Hanbal. Dans son encyclopédie Tabaqât e-Sufiya, e-Sulamî compte parmi eux el Fudhaïl ibn ‘Iyâdh, Ibrâhim ibn Adham, et Ma’rûf el Karkhî, sous prétexte qu’ils étaient des ascètes. Or, le soufisme est une tendance bien connue dont les pratiques vont au-delà de l’ascétisme. La preuve qu’il n’y a aucune comparaison à faire, c’est qu’aucun savant ne condamne l’ascétisme contrairement au soufisme comme nous allons le voir. »[3]



Après avoir donné sa propre définition du soufisme, ibn el Jawzî parcourt les siècles de son analyse pour nous faire la présentation suivante de ses ouvrages[4] : « La première génération soufie qui n’ont pas échappées aux ruses d’Iblis sur certains points, s’en tenaient à ces principes. Par la suite, sa ruse s’est abattue sur leurs héritiers et de siècle en siècle, il est devenu de plus en plus gourmant à tel point que les dernières générations sombrèrent complètement sous son emprise. Sa première ruse à leur encontre fut de les éloigner du savoir, en leur faisant miroiter que l’important, c’est de mettre en pratique. Quand la flamme du savoir s’est éteinte en eux à la deuxième génération, ils se sont égarés dans les ténèbres. Certains d’entre eux pensaient qu’il fallait entièrement renoncer à la vie mondaine. Ils se détournèrent alors de tout ce qui pouvait assurer leur quotidien et comparèrent même l’argent au scorpion. Ils oublièrent ainsi qu’il fut créé dans leur intérêt.



Ils devinrent très exigeants envers eux-mêmes ; certains allèrent jusqu’à renoncer à s’allonger. Si leurs intentions étaient bonnes, ils n’en étaient pas moins éloignés du bon chemin. L’un d’entre eux accusait un tel manque de connaissance, qu’il mettait en pratique sans s’en rendre compte, tous les Hadiths inventés qui lui tombaient sous la main.
6 janvier 2014 15:35
La face cachée du soufisme (partie 1) suite




Le discours de certaines tendances se concentra plus tard sur des thèmes comme la faim, la pauvreté, le Waswâs, et l’inspiration. Certains auteurs à l’image d’el Hârith el Mahâsibî, ont couché ces différentes expériences par écrit. Des auteurs ont par la suite fignolé (arranger) la tendance Soufie. Ils mirent en avant les caractéristiques dont ses adeptes devaient se distinguer ; il y avait le haillon (ou le froc ndt.), les chants, l’extase, la danse au rythme des claquements de mains. Ils devaient également se distinguer par la propreté et la purification. Avec le temps, leur égarement pris de l’ampleur. Leurs Sheïkh, instituaient les codes et faisaient part de leurs expériences. Ils s’accordaient tous à fuir les savants et ils se faisaient la même idée du savoir. Ils donnèrent le nom à leur expérience de « science ésotérique » (intérieure, occulte, cachée) et à la Loi divine celui de « science exotérique » (vulgaire, extérieure, apparente). La faim a provoqué chez certains d’entre eux des hallucinations. Ils prétendirent avoir connu l’amour passion avec le Créateur, dans le sens où ils se sont représentés un être de belle apparence qui exerçait sur eux une attirance physique. Leur discours varie ainsi entre l’hérésie (innovation) et l’apostasie (mécréance). Puis, le soufisme s’est divisé en plusieurs branches qui corrompirent pour chacune d’entre elles, la croyance de leurs adeptes. Les uns adhéraient au dogme de l’incarnation (Hulûl) et les autres à celui du panthéisme ou du monisme (Ittihâd).



Iblis s’acharnait ainsi à les faire sombrer dans toutes sortes d’innovations qui entrèrent dans l’usage. Dès lors, Abû ‘Abd e-Rahmân e-Sulamî composa à leur attention son livre e-Sunan et compila Haqâiq e-Tafsîr dans lequel il recense leurs exégèses du Coran les plus invraisemblables, à travers leurs expériences personnelles. Il omettait toutefois d’évoquer toute chaîne narrative, qui constitue pourtant l’un des fondements essentiels du savoir. Ils pouvaient ainsi donner au Coran les interprétations qui allaient dans leur sens. Force est de constater qu’ils sont très scrupuleux dans le choix de leur nourriture mais qu’ils le sont beaucoup moins quand il s’agit du Coran ! »



L’auteur démontre ensuite avec preuve à l’appui qu’Abû ‘Abd e-Rahmân e-Sulamî n’a aucune crédibilité aux yeux des savants. Puis, il poursuit son analyse en disant : « Abû Nasr e-Sarrâj composa par la suite un livre qu’il intitula Luma’ e-Sûfiya, et dans lequel il évoque certains dogmes et certains discours insoutenables… Abû Tâlib e-Makkî écrivit Qawt el Qulûb dans lequel il recense des Hadith complètement faux et des annales qui ne se rapportent à aucun fondement, dans des sujets tels que certaines prières du jour ou de la nuit. Il fait souvent précédé ces textes de la formule : « un certain mystique a dit : ». Or, cette formule n’a aucun sens ! Il évoque entre autre dans cet ouvrage que le Très-Haut se dévoile sur terre à Ses élus.

D’après el Khatîb, avec sa chaîne narrative, Abû Tâlib se rendit à Bassora après la mort d’Abû el Husaïn ibn Sâlim. Il adhéra à sa tendance et se rendit à Bagdad où une assemblée se rassembla autour de lui à l’occasion d’un sermon dans lequel il divagua en déclarant notamment : « Rien n’est plus nuisible à la création que le Créateur ! ».



‘Abd el Karîm ibn Hawâzin el Qushaïrî est l’auteur de Kitâb e-Risâla dans lequel il se lance dans des aberrations sur l’extinction soufie (el Fanâ wa el Baqâ), la résignation absolue (el Qabdh wa el Bast), le temps, l’état, l’extase, l’existence, le recueillement (el Jam’ wa e-Tafriqa), l’état d’éveil et d’enivrement, la gustation et l’assouvissement, l’effacement (el Mahw wa el Ithbât), le dévoilement, les différentes manifestations divines (el Muhâdhara wa el Mukâshafa/e-Lawâih wa e-Tawâli’), l’étincellement, la formation et l’affermissement des éléments (e-Takwîn wa e-Tamkîn), la loi du commun et la réalité soufie (e-Sharî’a wa el Haqîqa), etc. Sans compter que l’explication qu’il donne à ses aberrations est encore plus incroyable. Plus tard, Mohammed ibn Zhâhir el Maqdasi a écrit Safwat e-Tasawwuf dans lequel il évoque des choses qu’un homme sensé aurait honte d’évoquer…

Par la suite, Abû Hâmid el Ghazâlî composa el Ihiya à la manière des soufis. Ce livre est truffé de Hadithsinventés mais son auteur ignorait qu’il en était ainsi. Il traite notamment de la Mukâshafa sans respecter les principes du Figh traditionnel. Il assume entre autre que le soleil, la lune et les étoiles dont l’histoire Ibrahim (r) fait mention, représentent des lumières qui en fait sont le voile du Très-Haut ; il n’y est donc pas question, un peu à la manière Bâtinite (ésotérique), des astres auxquels on pense au premier abord.



Dans son autre livre el Mufassih bi el Ahwâl, il avance que les Soufis sont capables à l’état d’éveil, de contempler les anges et les âmes des prophètes. Ils sont même capables d’entendre leurs voix et de prendre d’eux certains enseignements. À une étape supérieure, ils passent de la contemplation des formes extérieures à un autre univers que les simples paroles ne peuvent décrire. »



Plus loin, ibn el Jawzî en arrive à la conclusion suivante : « La raison ayant poussée tous ces auteurs à traiter de ces différentes choses, c’est qu’ils maitrisaient très mal les sciences de la religion, de la Tradition et des annales en général. Ils se sont alors orientés vers la voie soufie en se faisant une bonne opinion d’elle…

La plupart de ces ouvrages ne se rapportent à aucun fondement. Ils se fondent cependant sur des expériences personnelles qu’ils se transmettent les uns les autres, qu’ils compilent dans leurs écrits, et qu’ils désignent par les « sciences occultes ».[5]

D’après Abû ‘Abd e-Rahmân e-Sulamî, avec une chaîne narrative qui remonte à ibn el Jawzî, Dhû e-Nûn est le premier dans son pays a classifié les différents « états » soufis. ‘Abd Allah ibn ‘Abd el Hakam, alors gouverneur d’Égypte et adepte de la tendance de Mâlik condamna son discours. Les savants d’Égypte l’ont exclu. E-Sulamî a dit : Abû Sulaïmân e-Dârânî fut expulsé de Damas. Ses habitants dirent qu’il prétendait voir et parler aux anges. Un groupe de personnes témoigna qu’Ahmed ibn Abî el Hawârî préférait les walis (saints ou élus) aux prophètes. Il dut s’enfuir de Damas et se réfugier à la Mecque. Les habitants de Bustâm condamnèrent certaines paroles d’Abû Yazîd el Bustâmî. Parmi les énormités qui furent inscrites contre lui, il dévoila un jour à el Husaïn ibn ‘Îsâ : « J’ai vécu la même ascension que le Prophète (r) ». il fut alors expulsé de la ville…

Selon un homme, Sahl ibn ‘Abd Allah e-Tusturî affirmait que les anges, les démons et les djinns se présentaient à lui et qu’il leur parlait. Le commun des gens le condamna et de graves accusations lui furent imputées. Il s’enfuit à Bassora où il mourut. E-Sulamî a dit : Ahmed critiqua el Hârith el Mahâsibî à propos de certaines de ses paroles concernant notamment les Attributs divins. Ahmed ibn Hanbal l’a alors exclu et il dut se cacher jusqu’à sa mort. »[6]



Traduit par :

Karim ZENTICI



[1] Mîzân el I’tidâl fî NAqd e-Rijâl (2/166).

[2] Talbîs Iblîs (p. 151).

[3] Talbîs Iblîs (p. 148).

[4] Voici la définition qu’il en donne : « Selon eux, le tasawwuf consiste à faire de la gymnastique spirituelle, à lutter contre ses instincts les plus vils afin de les porter vers les sommets de la vertu qui engendre les éloges sur terre et la récompense dans l’au-delà. » (N. du T.)

[5] Idem. (p. 148-150).

[6] Idem. (p. 150-151).
21 janvier 2016 22:54
Mise en gade contre site soufi doctrine malikite,
qui appel a adorer les tombe


Le soufi elmakoudi fait la promotion du site, il veux nous faire avaler que les 4 imams de 4 écoles sounites ont été des SOUFI ASHARITE qui vois l'adoration des tombe comme eux.
CES IMAMS n'ont jamais été soufi qui autorise l'adoration des tombe tout comme il n'ont jamais été Asharite

Exemple de l’Adoration des tombe.
Al-Khatîb Al-baghdâdî rapporte dans Târîkh Bagdad, qu’un des grands salafs qui ont vécu à l’époque de l’Imâm Ahmad Ibn hanbal et chez qui ce dernier envoyait son propre fils apprendre le hadîth chez lui : il s’agit du grand savant et juriste Ibrâhim Al-harbî Abû Ishâq : il disait : la tombe de Ma’arûf Al-Karkhî est un remède efficace par expérience.

voila le lien
[www.doctrine-malikite.fr]
Et, oui, Vous ne rêvez pas,

Les liste des imams affilier a tort au soufisme pour tromper les musulmans
[www.doctrine-malikite.fr]


ne prenez surtout pas les tombes comme lieu de prières! Car je vous interdis

: «Certainement ceux qui vous ont précédés (les juifs et les chrétiens) prenaient les tombes de leurs Prophètes et des saints comme lieu de prière. Quant à vous ne prenez surtout pas les tombes comme lieu de prières! Car je vous interdis catégoriquement cela ! ».(Mouslim d’après djoundoub ( qu’Allah l’agréé))


RÉVEILLEZ VOUS.
--
c
22 janvier 2016 05:54
J'ai grandi au près des soufi de la tarifa tidjanie. Je jure sur Allah que je ne les ai jamais vu faire tout ce que ton ibn jawzi a écrit. Je ne les ai jamais vu au cimetière. Ils ne dansent pas lors de leur dhikr. Vous devez remercier les soufi car sans eux l'Afrique de l'ouest ne comptera pas autant de musulman. DU Sénégal su nigeria en passant par le Mali le Niger. C'est la confrérie tidjani qui domine la bas. Le seul point négatif que je leur reproche est leur dhikr.je excessif. La prochaine fois il faut différencier le soufisme par les confréries.
22 janvier 2016 15:50
Citation
chelsea4life a écrit:
Je jure sur Allah que je ne les ai jamais vu faire tout ce que ton ibn jawzi

salam alaikum

La sectes Tidjani
le fait que tu n'a pas vu ne veux pas dire que la bid'a n'existe pas dans cette sectes Tijani, pour connaitre ce qu'est la bid'a, il faut apprendre sa religion
si moi je te dit que chez la tarika Tijani, Une simple récitation de Wird , qui s'appelle Salatul Fatih, est équivalente à toute louange qui a eu lieu dans l’univers.
-- tu dira peut être non, cela ne signifie pas ce wird n'existe pas, ils ont de invocation spécifique a un moment spécifique, qui n'a aucun fondement religieux.

je t'invite a lire Jawar alMa-ani de Tijani, page 129, tu trouvera ceci.
-- Celui qui me regarde le vendredi entrera au paradis sans jugement. Ce que tu ne sais pas mon frere ne veux pas dire n'existe pas. Ce Tijani se prend pour un prophète ou en mieux.
le Gourous Tijani a dit avoir rencontre le Prophète, je me demande quel est la différence entre le gourous Tijani et le Gourous de la sectes Ahmadi.

cheikh Ansari est un grand savant Malien et cheikh Abdurahmane ifriki. et d'autre ont dénoncer la sectes Tijani.
il y a aussi un grand savant marocain Taqidine al Hilali qui etait lui meme Tijani, a fini par laisser cette sectes par la permission d'Allah.
-- il a aussi dénoncer avec beaucoup de fermeté la secte Tijani.
ne vient pas nous dire lisez l'ouvrages, Tijani, les adepte son aveugler, qui ne distingue plus ce qui est une sounna de ce qui ne l'est pas.
qu'Allah nous débarrasse tout les sectes s'opposant a la révélation.
---

Citation
chelsea4life a écrit:
J'ai grandi au près des soufi de la tarifa tidjanie. Je jure sur Allah que je ne les ai jamais vu faire tout ce que ton ibn jawzi a écrit. Je ne les ai jamais vu au cimetière. Ils ne dansent pas lors de leur dhikr. Vous devez remercier les soufi car sans eux l'Afrique de l'ouest ne comptera pas autant de musulman. DU Sénégal su nigeria en passant par le Mali le Niger. C'est la confrérie tidjani qui domine la bas. Le seul point négatif que je leur reproche est leur dhikr.je excessif. La prochaine fois il faut différencier le soufisme par les confréries.
c
22 janvier 2016 16:58
Bien sûr qu'il y' a de l'innovation dans la confrérie. Concernant la salat fatihi, ce qui tu dis est incorrect. L'avis des tidjani concernant celui qui récite une fois cette salat. 1 fois la salat fatih = 1000 fois la récitation du coran. Lol.
Ils ont une autre salat appelée jawharatul Kamal qu,il ne faut pas réciter en marchant ou dans une voiture. Lol. C'est vrai que confrerie contient de nombreuses innovations. Mais moi je t'ai répondu concernant ce que ibn jawzi a dit concernant les soufi. Ahmad tidjani dit qu'il est un cherif (est ce vrai ?). Il dit que le prophète lui a donné la salat fatih en rêve. Lol
D
22 janvier 2016 19:03
C'est l'obscurantisme contre La Lumière, à la fin c'est toujours La Lumière qui gagne.
L'ombre n'existe que parce que La Lumière existe elle n'est que temporaire alors que La Lumière est éternelle …
15 avril 2017 17:45
tu sors une phrase comme ça, pourquoi ne sites tu pas tout le texte ? il ne dit pas d'invoquer le mort, il invoque Allah, mais c'est juste qu'il considère qu'un lieu ou un croyant est entéré est plus propice de se faire accepter son dou'a, c'est comme le fait d'aller à la mosqué ou dans un lieu saint, la récompense est plus grande, et le dou'a sont plus a même d'être accepter. c'est la même chose quand tu te leves au dernier tiers de la nuit, c'est pas le dernier tiers qui fait que tu seras béni c'est Allah, ce moment est un instant favorable (un meilleur moyen). le lieu ou le temps, ça rajoute de la valeur à tes adoration. Alors mon pov c'est à toi de te reveiller de ce charlatanisme.

Al-Khatîb Al-baghdâdî rapporte dans Târîkh Bagdad, qu’un des grands salafs qui ont vécu à l’époque de l’Imâm Ahmad Ibn hanbal et chez qui ce dernier envoyait son propre fils apprendre le hadîth chez lui : il s’agit du grand savant et juriste Ibrâhim Al-harbî Abû Ishâq : il disait : la tombe de Ma’arûf Al-Karkhî est un remède efficace par expérience.


L'invocation par l'intercession des saints qu’ils soient vivants ou morts est totalement licite comme on a démontré: en réalité on s’approche de Dieu et on est exaucé (entre autre aussi) par ce tawassul : grâce à leurs actes et par leurs stations chez Allah si on les aime et on les respecte : « l’homme suit la religion de son ami intime.. » ou encore : « l’homme est avec celui qu’il aime… » comme a dit le prophète (paix et bénédiction soient sur lui). Notre demande est ainsi formulée pour Dieu seul, par les bonnes oeuvres de ces saints.
Plusieurs Hadîths encouragent le tawassul à Allah par les actes des plus pieux... Citons à titre d’exemple : Abû Saïd Al-khudarî rapporte que le prophète sur lui la paix a dit : « Celui qui sort de chez lui pour aller à la prière et dit : « O Allah, je t’implore par la grâce de ceux qui te prient et par ma marche (vers la mosquée), car je ne suis sorti ni par ostentation ni pour l’honneur, je suis sorti par crainte de Ta colère, recherchant ton agrément. Je Te demande de me préserver de l’Enfer et de me pardonner mes pêchers, car nul ne pardonne les pêchers si ce n’était Toi. ». Dieu vient à lui et soixante dix milles anges demandent le pardon pou lui. »[10

Citation
rosiles a écrit:
Mise en gade contre site soufi doctrine malikite,
qui appel a adorer les tombe


Le soufi elmakoudi fait la promotion du site, il veux nous faire avaler que les 4 imams de 4 écoles sounites ont été des SOUFI ASHARITE qui vois l'adoration des tombe comme eux.
CES IMAMS n'ont jamais été soufi qui autorise l'adoration des tombe tout comme il n'ont jamais été Asharite

Exemple de l’Adoration des tombe.
Al-Khatîb Al-baghdâdî rapporte dans Târîkh Bagdad, qu’un des grands salafs qui ont vécu à l’époque de l’Imâm Ahmad Ibn hanbal et chez qui ce dernier envoyait son propre fils apprendre le hadîth chez lui : il s’agit du grand savant et juriste Ibrâhim Al-harbî Abû Ishâq : il disait : la tombe de Ma’arûf Al-Karkhî est un remède efficace par expérience.

voila le lien
[www.doctrine-malikite.fr]
Et, oui, Vous ne rêvez pas,

Les liste des imams affilier a tort au soufisme pour tromper les musulmans
[www.doctrine-malikite.fr]


ne prenez surtout pas les tombes comme lieu de prières! Car je vous interdis

: «Certainement ceux qui vous ont précédés (les juifs et les chrétiens) prenaient les tombes de leurs Prophètes et des saints comme lieu de prière. Quant à vous ne prenez surtout pas les tombes comme lieu de prières! Car je vous interdis catégoriquement cela ! ».(Mouslim d’après djoundoub ( qu’Allah l’agréé))


RÉVEILLEZ VOUS.
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Modifié 1 fois. Dernière modification le 15/04/17 17:46 par Roi de Coeur.
*
15 avril 2017 19:03
Salam alayk

Photo supprimée par le membre  Photo supprimée par le membre
*
15 avril 2017 19:16
Salam alayk

Ce qui est malheureux c'est que les sujets postés par le posteur ne sont qu'un appel à la haine et à la division entre les musulmans, et cela a été observé depuis des longs mois dans ce forum. A croire que quand il était tout petit un soufi l'a remis à sa place et à partir de là il a développé une haine farouche contre eux.
15 avril 2017 20:12
Exactement comme toi de t'es faire remis à ta place par les salafis.

Citation
*IGNISAID* a écrit:
Salam alayk

Ce qui est malheureux c'est que les sujets postés par le posteur ne sont qu'un appel à la haine et à la division entre les musulmans, et cela a été observé depuis des longs mois dans ce forum. A croire que quand il était tout petit un soufi l'a remis à sa place et à partir de là il a développé une haine farouche contre eux.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 15/04/17 20:13 par al Khidr.
[Cheikh Soulayman Rouhaylî] Le Minhaj des Salafs : https://www.youtube.com/watch?v=hcKVtfSM9aU
15 avril 2017 20:21
haine gratuite envers tout le monde. si seulement ça s'arrêtait au soufi
Citation
*IGNISAID* a écrit:
Salam alayk

Ce qui est malheureux c'est que les sujets postés par le posteur ne sont qu'un appel à la haine et à la division entre les musulmans, et cela a été observé depuis des longs mois dans ce forum. A croire que quand il était tout petit un soufi l'a remis à sa place et à partir de là il a développé une haine farouche contre eux.
15 avril 2017 21:03
Salam Alaikum ROSILES

Abdoullah aimait beaucoup le Prophète et prenait plaisir à lui offrir toutes sortes de produits raffinés qu’on importait à Médine. À chaque fois qu’une caravane marchande arrivait avec des produits comme du beurre ou du miel, il en achetait pour le lui offrir. Plus tard, quand le marchand exigeait d’être payé, Abdoullah le conduisait chez le Prophète et disait au marchand : « Donne ton prix à cet homme. »

Le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) disait alors : « Ne me l’as-tu pas offert en cadeau? »

Et Abdoullah répondait: « Oui, ô messager de Dieu; mais je n’ai pas les moyens de le payer. »

Les deux se mettaient alors à rire et le Prophète payait le marchand.

C’était là le genre de relation intime et décontractée qui liait Abdoullah au Prophète.

Il faut dire, cependant, qu’Abdoullah était un alcoolique. Souvent, il était si ivre que, incapable de marcher, il devait être traîné jusqu’au Prophète afin que ce dernier le condamne pour ivresse publique et, chaque fois, il demandait qu’on lui applique le châtiment prescrit pour une telle offense. Cette scène se reproduisait de façon régulière.

Une fois, alors qu’Abdoullah venait de recevoir une énième sentence pour la même offense, un des compagnons du Prophète dit : « Que Dieu le maudisse! Combien de fois a-t-il déjà reçu cette sentence! »

Mais le Prophète réprimanda le compagnon en lui disant : « Ne le maudit pas, car je jure, par Dieu, que tu n’as aucune idée à quel point il aime Dieu et Son messager. » (sahih al-Boukhari) Puis, il ajouta : « N’aide pas le diable contre ton frère. »

--

Pour le reste, merci beaucoup pour ton topic ROSILES, je vais de ce pas le sauvegarder afin d'en faire profiter mes amis et rire avec eux de ton humour. Tu es très fort ROSILES, on croirait presque que tu es sérieux. ptdr
D
15 avril 2017 21:26
Bonjour, j'aime beaucoup cette histoire d'Abdoullah Decapre, c'est tellement vrai que même l’alcoolique peut être fou de Dieu et très proche de Lui ... Et il y a beaucoup de mystiques tout à fait anonymes ...



Modifié 1 fois. Dernière modification le 15/04/17 21:29 par Dominique Talib.
15 avril 2017 21:33
Salam Alaikum Dominique,

C'est en lisant ce genre d'histoire qu'on a envie d'en apprendre plus sur l'Islam et sur le Prophète sws.

Certains veulent le faire passer pour un chef de guerre tyrannique et sévère, alors qu'il est avant tout un homme infiniment bon, doux et aimant.
*
15 avril 2017 21:42
Salam alayk al Khidr :

Comme d'habitude tu ne salue pas, pourtant ta haine envers moi est si grande que que même tes phrases sont floues. Ils ont remplacé l'appellatif "musulmans" par salafis quelle honte !

Exactement comme toi de t'es faire remis à ta place par les salafis.

Articule car on ne comprend rien à ce que tu dis.


Citation
al Khidr a écrit:
Exactement comme toi de t'es faire remis à ta place par les salafis.
*
15 avril 2017 21:47
Salam alayk Decapre:

Pourtant il parait que celui qui boit du vin et qu'il récidive pour la quatrième fois il doit être tué.


Citation
Decapre a écrit:
Salam Alaikum ROSILES

Abdoullah aimait beaucoup le Prophète et prenait plaisir à lui offrir toutes sortes de produits raffinés qu’on importait à Médine. À chaque fois qu’une caravane marchande arrivait avec des produits comme du beurre ou du miel, il en achetait pour le lui offrir. Plus tard, quand le marchand exigeait d’être payé, Abdoullah le conduisait chez le Prophète et disait au marchand : « Donne ton prix à cet homme. »

Le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) disait alors : « Ne me l’as-tu pas offert en cadeau? »

Et Abdoullah répondait: « Oui, ô messager de Dieu; mais je n’ai pas les moyens de le payer. »

Les deux se mettaient alors à rire et le Prophète payait le marchand.

C’était là le genre de relation intime et décontractée qui liait Abdoullah au Prophète.

Il faut dire, cependant, qu’Abdoullah était un alcoolique. Souvent, il était si ivre que, incapable de marcher, il devait être traîné jusqu’au Prophète afin que ce dernier le condamne pour ivresse publique et, chaque fois, il demandait qu’on lui applique le châtiment prescrit pour une telle offense. Cette scène se reproduisait de façon régulière.

Une fois, alors qu’Abdoullah venait de recevoir une énième sentence pour la même offense, un des compagnons du Prophète dit : « Que Dieu le maudisse! Combien de fois a-t-il déjà reçu cette sentence! »

Mais le Prophète réprimanda le compagnon en lui disant : « Ne le maudit pas, car je jure, par Dieu, que tu n’as aucune idée à quel point il aime Dieu et Son messager. » (sahih al-Boukhari) Puis, il ajouta : « N’aide pas le diable contre ton frère. »

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Pour le reste, merci beaucoup pour ton topic ROSILES, je vais de ce pas le sauvegarder afin d'en faire profiter mes amis et rire avec eux de ton humour. Tu es très fort ROSILES, on croirait presque que tu es sérieux. ptdr
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