La propagande de guerre utilise des mécanismes chaque fois plus sophistiqués et efficaces, car la manipulation grossière reste beaucoup plus facile à découvrir par le public.Un de ces mécanismes est de « vendre » la guerre comme « humanitaire ». Cela a été testé, rappelle Ángeles Díez, pour la première fois dans le conflit de Yougoslavie (1999) et ce système s'est répété depuis dans les guerres d’Afghanistan, en Irak, en Libye et en Syrie. Que signifie une « guerre humanitaire » ?
Au niveau national le racisme des médias français envers les arabes et les noirs de ce pays, un racisme démontré par l’importance du traitement donné aux événements en fonction de la couleur de peaux et de la religion des intervenants de ces mêmes événements. C’est dire la sagesse des populations noires et arabes de ce pays, à ne pas se révolter devant de tels injustices…
Prends pour exemple le conflit syrien, sans le travail de propagande médiatique de Al Jaazeera et les monsonges et videos truquées qui ont trop influencé les gens et les groupes armés à s'inflitrer en Syrie, le pays serait toujours stable à cette heure ci.
La presse libre n'existe pas (John Swaiton, éditeur du New York Times)
29/05/2010 à 07h55 - mis à jour le 29/05/2010 à 08h15 | vues | réactions
" La presse libre n'existe pas. Vous, chers amis, le savez bien, moi je le sais aussi. Aucun de vous n'oserait donner son avis personnel ouvertement. Nous sommes les pantins qui sautent et qui dansent quand ils tirent sur les fils. Notre savoir faire, nos capacités et notre vie même leur appartiennent. Nous sommes les outils et les laquais des puissances financières derrière nous. Nous ne sommes rien d'autre que des intellectuels prostitués ".
John Swaiton, l'éditeur du New York Times, lors de son discours d'adieu.