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Maroc : Le mode d’apprentissage à l’école critiqué par la Banque...
v
16 novembre 2018 09:57
mais un petit rappel ne fait pas de mal grinning smiley
Citation
Jdidi2000 a écrit:
Pas besoin de la banque mondiale pour le savoir, on le sait depuis des décennies.
J
16 novembre 2018 10:00
Il ne fait pas de bien non plus.
J
16 novembre 2018 11:12
Absentéisme ne fait pas honneur à l enseignement et ce n est pas l élevé en cause mais bien ces fonctionnaires qui veulent uniquement le salaire sans jamais penser à l avenir de l élevé et d une génération entiere
J
16 novembre 2018 11:40
Ce n'est pas le sujet, on parle des méthodes d'apprentissage
b
16 novembre 2018 13:06
Effectivement, on peut constater pour certains adultes formés par l'enseignement public, par exemple certains avocats (réputés licenciés en droit), une carence dans la manière de poser et de soumettre une problématique à l'interrogation, à la critique, parfois même à l'analyse verbale, sémantique, propositionnelle ou logique d'une phrase portant un verbe traduisant un acte, une action.

Un souvenir et un comble pour ceux qui ont été censés formés à analyser, à interpréter des lois et des textes juridiques.

Cependant, on tisse des relations pertinentes entre des concepts porteurs de sens, selon des démarches et des modes de raisonnement mémorisés : raisonnement déductif, par l'absurde etc ...

Ainsi, le développement de l'aptitude à mémoriser est une condition nécessaire, mais non suffisante, sinon les magnétophones seraient dotés d'intelligence..

On ne peut faire l'impasse sur l'apprentissage et la mémorisation des règles de grammaire, de calcul, de la logique, de définitions mathématiques, de théorèmes, de formules physiques ou chimiques, comme des méthodes d'analyse du discours (thèse, antithèse, synthèse) de résolution (méthode d'Eudoxe, de Gauss, d'approximations successives, d'intégration par parties, de résolution d'équations différentielles que je cite, car leur méconnaissance ou absence de mémorisation est signée par la feuille blanche) etc ...

A mon avis le problème est plus d'ordre pédagogique : apprendre à exploiter pertinemment l'appris, le savoir : lui donner sens et le mettre en oeuvre.

Les professeurs mettaient en relief cette inaptitude à donner sens, chez les élèves, en incluant par exemple dans un exercice des données supplémentaires qui ne servaient à rien, révélant un nombre d'élèves qui s"étaient évertués à tenter de les utiliser dans la résolution de l'exercice.

Des professeurs qui cherchaient à s'assurer de la "bonne réception" et compréhension du savoir transmis.

Bref développer d'abord les facultés de mémorisation dès la prime enfance, de prise de sens de la représentation verbale, comme des différents modes de raisonnement.

Dans l'enseignement public le cours est souvent magistral avec peu d'échanges, alors que dans les écoles de la mission le cours était interactif incluant des échanges entre les élèves et les profs, s'arrêtant sur les causes des errements, développant les facultés d'auto-correction, de compréhension et l'assurance d'une certaine maîtrise des concepts et des cours.
Une différence de formation que l'on note et reconnait de prime abord.





Citation
Jdidi2000 a écrit:
Ce n'est pas le sujet, on parle des méthodes d'apprentissage



Modifié 3 fois. Dernière modification le 16/11/18 17:54 par blagueur.
J
16 novembre 2018 22:50
C totalement le sujet, c est dans l article
Citation
Jdidi2000 a écrit:
Ce n'est pas le sujet, on parle des méthodes d'apprentissage
J
16 novembre 2018 23:09
Oui l'article en parle comme facteur entrant en jeu mais ne
Traite pas de l'absentéisme des enseignants en soi. Un fléau bien sûr.
 
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